Rôle Fordisme 30 Glorieuses

1789/1793 1816 1816 1847 2e Cycle 1847 1873/1874 1873/187 4 1896 3e Cycle 1896 1920 1920 1945/194 5 10 La dépression longue des années 1970 – 1980, survenant après une période de croissance accélérée d’environ un quart de siècle (les trente glorieuses) tend à accréditer l’idée selon laquelle cette succession assez remarquable constituerait les deux phases classiques d’un cycle long (4e cycle). Phase A 4e Cycle 1945 1970 Phase B 1970 1990-1991 Entre 1991 et 2000, l’économie américaine a connu

producteurs d’idée laissent la fabrication d’objets au pays du Sud, ce qui entraine une désaffectation des pays du Nord du travail le moins qualifié. En effet, au cours des années quatre-vingts, le salaire des travailleurs les moins qualifiée a chuté de 30 % aux Etats-Unis alors qu’en France, le chômage des travailleurs non qualifié est passé de 3 % à 20 %. Par conséquent, L’ouverture internationale vient seulement renforcer le caractère inégalitaire de la création d’idée, elle ne le crée pas. Cette

publique, c'est à dire que l'Etat ne doit pas intervenir financièrement sur le marché. Créer de la monnaie de manière artificielle pour relancer l'économie ne relance jamais l'économie ! Conséquence : augmentation des prix ! Paragraphe 6 : Le rôle de l'Etat : Courant qui dénonce l'intervention de l'Etat dans l'économie. Car cela aboutit à perturber le fonctionnement des marchés. SECTION II : LE COURANT MARXISTE : comparé aux deux autres courants : pas vraiment de mise en place dans

débat sur la répartition du revenu dispo’ entre la conso’ et l’épargne, ce débat oppose traditionnellement les éco’ néoclassiques qui insistent sur la primauté de l’épargne, le rôle fondamental du taux d’intérêt comme prix d’arbitrage entre conso’ et épargne. Et puis les éco’ Keynésien qui sont beaucoup plus sensibles au rôle de la conso’ dans le soutien à l’activité économique. Mercredi 29 Septembre 2010. Première partie : Les précurseurs. 1.1 Les néoclassiques, les économistes libéraux

l’évolution démographique, on obtient une valeur égale à environ 1,52%. Ce résultat de 1,89% a été obtenu avec la guerre de 1870 et la grande dépression du XIXè siècle (1870-1892/96), avec aussi deux guerres mondiales au XXè siècle, et la crise des années 30. Lorsque l’on regarde l’évolution de la production, on a une accélération très nette qui s’opère au cours du XXè siècle, et tout particulièrement dans l’après seconde guerre mondiale. La présentation sur un graphique semi-logarithmique cache la forme

- Répartit° secondaire : act°redistributive (correct° répartit° primaire du marché) => règles dans la def de R comme SMIC (1970), minimum vieillesse (1956) ou RMI (1988) et R de transferts (alloc fam, retraites chômage, etc.) = indicateur du rôle de l’Etat et du marché et de leur poids respectif dans l’éco. Ex : modèles anglo-saxons, act° redistributive moins présente. Répartit° des R = révélatrices des choix éco et de stés - Plan éco : priorité = profits => pol d’offre libérale

temps libre, qui font supporter les conditions du travail industriel, et qui, du même coup y attachent [M. Pialoux, 1993 ; M. Pialoux, 1995]. Attachement paradoxal ? Pas tant que cela. La psychodynamique du travail [C. Dejours,1996] insiste sur le rôle privilégié du travail dans la satisfaction sublimée des pulsions inconscientes. Le travail apporte argent, considération, relations, et peut être valorisé pour cela. Il peut aussi être investi comme activité passionnante, ou parce qu’on se projette

pays, on reporte ce problème sur une différence de « production globale ». Cependant lorsqu'une décomposition des sources de croissance s'est produite entre travail, capital et « production globale », on a remarqué que la productivité jouait un rôle primordial. Lorsque cette décomposition est appliquée aux dragons, en termes de progrès technique, ces derniers ne font pas vraiment partis des meilleurs. L'essentiel de leur réussite résulte donc des efforts domestiques dont ils ont fait preuve.

le 1er Atlanta - libéralisation du commerce (GATT puis OMC) - raisons politiques, économiques et touristiques pour les flux humains C- Des espaces moteurs - Tripolarisation : EU : 300 millions d’hab, 28 % PIB mondial ; UE : 495 millions d’hab et 30 % du PIB mondial ; Japon : 128 millions d’hab, 10 % du PIB mondial. - 4 villes mondiales de 1er plan : Tokyo (33 millions d’hab), NY (22 millions d’hab, Paris (10 millions d’hab), Londres (10 millions d’hab) schéma sur ville monde possible - NPI

montré que la croi ssance est indispensable au dévelop pement, expliquer pourquoi elle n’est pas suff isante (S 99) I La croissance est indispensable A les facteurs économiques de la croissance et du développement (croissance extensive et intensive ; rôle du capital, du travail, du partage des gains de productivité; de la DIT...) et ex. de stratégies de développement réussies (NPI) B les théories économiques du développement : Rostow et le décollage des économies, une approche libérale du développement