S Informer Est Il Un Droit Dans Une Démocratie

La démocratie peut-elle être médiatique ? Selon la célèbre formule d’Abraham Lincoln, seizième Président des Etats-Unis, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». En effet, le terme de « démocratie », venant du grec « démos » et « kratos », signifiant « peuple » et « pouvoir » est le régime dans lequel le peuple est souverain. Partant, il s’oppose à la monarchie (gouvernement par un seul) et à l’oligarchie (gouvernement par un groupe restreint). Pour tous

Dissertation sur la thèse de Jean-François Revel Introduction : A la fin du XXème siècle, période où la démocratie est considérée comme un miracle de la civilisation, où elle est largement sujet d’actualité, et où la majorité du peuple y prend part en votant comme bon lui semble, malgré parfois une certaine ignorance du sujet en question, le philosophe, journaliste et écrivain français, Jean-François Revel, déclare paradoxalement, dans un Entretien avec Pierre Assouline en 1988 que : «

LE ROLE DE LA PRESSE DANS LA DEMOCRATIE La presse est un moyen de communication et d’expression essentiel au fonctionnement de la démocratie. Elle satisfait le droit à l’information des citoyens. En France, le pluralisme est la règle essentielle concernant la presse : le pluralisme est un système d'organisation politique qui reconnaît et accepte la diversité des opinions et de leurs représentants. Le rôle de la presse est de tenir au courant la population des activités dans le monde, à propos

Thème du dossier : La démocratie en France et en Europe Sujet : Le droit de vote Introduction : La démocratie en France et en Europe représente les libertés. Une des premières libertés est de donner le droit de vote. Est- ce que ne pas aller voter est une menace pour la démocratie ? Document 1 : « Pour pouvoir voter, il faut être âgé d'au moins 18 ans et être inscrit sur les listes électorales. Longtemps fixé à 21 ans, l'âge électoral a été abaissé à 18 ans sous Giscard d'Estaing

Quelles sont les limites à la liberté de l’information qu’ont dû affronter les médias à l’époque contemporaine ?Le droit d’informer et celui d’être informé fondent ensemble la liberté de la presse. Celle-ci est inscrite dans nos lois fondamentales à la démocratie depuis le 29 juillet 1881. Le droit à l’information défend la liberté des journalistes leur permettant de mener à bien leur travail d’enquête. Ce n’est seulement dans ce contexte de liberté que la presse peut assumer pleinement son rôle

sociale permettant au citoyen de se tenir informé et de participer activement et parfois même directement à la vie politique. Le Trésor de la langue française définit la transparence comme la « qualité d’une institution qui informe complètement sur son fonctionnement, ses pratiques ». En 1985, Gorbatchev, président de l’URSS lance une nouvelle politique « la Glasnost » qui signifie littéralement « transparence », dans le cadre de cette politique, il va informer les citoyens sur le fonctionnement passé

place être traité dans les démocraties modernes. Certains le voudraient-ils que les médias omniprésents s'empresseraient de révéler la réalité et le mensonge. Idée maîtresse Pour autant, les hommes politiques peuvent-ils dire la vérité ? Il semble de nos jours mora lement obligatoires d'accepter que la vérité soit dite aux citoyens quels qu'ils soient. Pour- Problématique de tant la paix sociale, la sécurité et la liberté d'une nation montrent que le droit de savoir a des quoi s'agit-il

« La Démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres déjà essayé dans le passé » Winston Churchill Introduction : Winston Churchill est un homme d’Etat Britannique, 1er ministre de 1940 à 1945, il incarne la Résistance du peuple durant la seconde guerre mondiale. En 1947, il déclare devant la Chambre des Communes : « La démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres déjà essayé dans le passé ». Un discours qui intervient dans le cadre de sa défaite face

Lincoln : «  La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peule et pour le peuple », selon W. Churchill elle est « le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». C’est un régime ou ni un individu ni un groupe ne s’approprie le pouvoir mais l’idéal démocratique vise plus encore : un peuple de citoyens actifs qui se gouvernent pour leur bien à tous. La Déclaration des droits de l’homme distingue la démocratie des autres régimes par une différence de nature : la démocratie vise le bonheur

provocateur qui est déjà la source d’une polémique outre-Atlantique. La pertinence de son interrogation – pourquoi les démocraties prennent de mauvaises décisions ? – ne fait pas de doute dans le contexte d’une Amérique engagée dans une guerre sans fin en Irak, mais elle pourrait intéresser bien d’autres contextes. La proposition centrale de l’ouvrage est la suivante : « la démocratie, étant le pouvoir du peuple, est donc le pouvoir des fous. » L’auteur part d’un paradoxe bien connu en science économique