Sabotage

tv/#/carte-des-recits/ © Musée de la Résistance nationale, Champigny-sur-Marne Un acte de sabotage de la Résistance contre les transports de l’armée allemande en Saône-et-Loire en 1944 La lutte armée prend des formes diverses, mais se caractérise par une confrontation directe avec l’occupant ou ses infrastructures pour déstabiliser l’effort de guerre allemand et préparer le débarquement : sabotages des lignes électriques et des chemins de fer , des moyens de communication, attaques de troupes

contre le Nazisme et contre l’occupant allemand. En 1944, le poète d’origine arménienne Missak Manouchian devient le chef de ce réseau très performant qui devient rapidement célèbre par des coups d’éclat (assassinat d’Allemands et de collaborateurs, sabotage de convois allemands, assassinat de Ritter, un général allemand responsable du STO en France…). En 1944, suite à une trahison, le réseau est neutralisé par une vague d’arrestations. Torturés longuement puis exécutés, les membres du réseau Manouchian

frontières de l’activisme, qui est souvent confondu avec le militantisme, mais si l’on remonte à son  étymologie, on peut décrire l’activisme comme une stratégie d’influence qui utilise comme principal moyen  l’action directe. Manifestations, désobéissance civile, sabotages, campagnes d’affichage, hacktivisme ou  encore blocages et obstructions, sont quelques exemples de ces moyens d’action directe. Souvent,  l’activisme est présenté comme une forme plus « radicale » de militantisme, dont les actions sont parfois  illégales

bénéficier pleinement de cette ressource, et qui à finalement crée le sabotages d'usines et de raffineries durant la guerre qui engendrent une baisse des exportations de pétrole à travers le monde et une pénurie d'essence. Et pour finir, comme lors de toutes guerres, il y a eu une pénurie des productions et importations des produits de première nécessité, de la nourriture, médicaments, etc. et une pollution de l’eau (dut notamment au sabotage pétrolier). Maintenant nous allons parler des conséquences sociales

collaboration, refus de la répression et des mesures antisémites, volonté de combattre pour libérer la France. La résistance a revêtu des formes multiples qui allaient de l'attentisme prudent ou l'écoute de la BBC, jusqu'à la l'action directe ( attentats, sabotages ) ou la lutte armée dans les maquis, en passant par les manifestations patriotiques, le renseignement, la diffusion de la presse clandestine, la participation à des réseaux d'évasion, le refus du Service du travail obligatoire (STO) mis en place

ordres du général de Gaulle et est dirigée par Manouchian. Le réseau est composé de 23 communistes dont 20 étrangers : espagnols, italiens, arméniens et juifs d’Europe centrale et de l’est. Ils produisent de nombreux coups d’éclats (assassinats et sabotages). Mais ils sont neutralisés et arrêtés suite à une trahison d’un des membres. Ils seront torturés longuement et finalement exécutés le 21 février 1944. Seule Olga Bancic, la seule femme du groupe, sera décapitée que plus tard lorsque le droit criminel

communistes français au combat. La résistance se développa, marquée par des querelles intestines, reflet de la politique du pays. En 1940, Les britanniques créèrent le SOE ( Spécial Opération Exécutive ) pour coordonner toute action – subversion - sabotage contre l'ennemi sur le continent . Chaque pays disposait d'une section, sauf la France qui en avait plusieurs. La section RF travaillait avec les français de la France libre du général de Gaulle à Londres et était indépendante à la section F

dédié à la mémoire des femmes qui ont lutées contre la barbarie nazie durant la seconde Guerre Mondiale (1944-1945) entre Londres et Paris. Cinq femmes ont été recrutées par le SOE (Spécial Opération Exécutive : un service de renseignement et de sabotage piloté par Churchill) car elles sont contraintes de libérées un agent britannique infiltré, préparant le débarquement sur les plages normandes, prisonnier entre les mains des allemands. Elles se font passées pour des infirmières. La mission réussite

membres du groupe Manouchian qui ont été fusillés. Les cercles des photos rappellent des impacts de balles. La « flèche » pointe vers 6 photos rectangulaires présentant les actes réalisés par ces résistants : attentats, assassinat, déraillement, sabotage, des armes… Les 10 hommes de l’affiche : 10 membres du groupe Manouchian. A côté de chaque photographie sont mentionnés leurs noms, leur origine (Polonais, arméniens, Hongrois, Italien), leur religion (ils sont juifs), leur appartenance politique

refus de la répression et des mesures antisémites, volonté de combattre pour libérer la France. La résistance a revêtu des formes multiples qui allaient de l'attentisme prudent ou l'écoute de la BBC, jusqu'à la l'action directe (attentats, sabotages) ou la lutte armée dans les maquis, en passant par les manifestations patriotiques, le renseignement, la diffusion de la presse clandestine, la participation à des réseaux d'évasion, le refus du Service du travail obligatoire (STO) mis en place à