Sabotage

Situation du texte: La septième partie évoque la reprise du travail après la grève. Sabotage de Souvarine. Le chapitre trois est construit temporairement. La première partie : sous terre. La deuxième partie : à la surface. Négrel décide de descendre et remarque le sabotage. La troisième partie : compte à rebours. L’attente, le bruit, le silence. Distinction du bas - haut. Dans le paragraphe précédent : début de la mise à mort (première secousse). Après la première secousse, le silence s’installe

ville les « ont dit » dans les livres et ce qu'on nous apprend, le couvre feux qui arrive après 11 novembre 1942 n'était pas permanent : c'est à dire que lorsque les troupes de résistances, s'attaquer aux allemands par des assassinats ou encore par sabotages, c'est dans ces circonstances là que le couvre feux était imposé aux Agenais et aux communes dans les alentours vers 20h, les habitants devaient alors fermer les volets et se coucher. Les troupes allemandes rodaient dans la ville et les communes

impliquait une dizaine de dirigeants d’Umkhonto we Sizwe, branche militaire du Congrès national africain (ANC), jugés pour 221 actes de sabotage. Ces dirigeants étaient Nelson Mandela, Walter Sisulu, Ahmed Kathrada, Govan Mbeki, Dennis Goldberg, Raymon Mhlaba, Lionel Bernstein, James Kantor, Elias Motsoaledi et Andrew Mlangeni. Les faits reprochés sont : sabotage, destruction de biens (tous deux passibles de la peine de mort), violation de la loi sur l’interdiction du communisme. Le 12 juin 1964,

noms et actions). La « flèche » pointée vers 6 photos rectangulaires présente les actes réalisés par ces résistants : attentats, assassinats, déraillement, sabotage, des armes… La photo centrale est une présentation à la presse du butin découvert par la police. Le désordre de la disposition de ces photos renforce l'impression de chaos occasionné par les « terroristes »; en revanche, la photo centrale, bien droite

La Résistance et la Collaboration I)La Résistance Cette lutte a consisté en des actions de renseignement, de sabotage ou des opérations militaires contre les troupes d'occupation (essentiellement allemandes) et aussi les forces du régime de Vichy. Mais elle englobe aussi des aspects plus civils et non-violents comme l'existence d'une vaste presse clandestine, la diffusion de tracts, la production de faux papiers, l'organisation de grèves et de manifestations, la mise sur pied de multiples

vivante des actions de sabotage des voies ferrées menées par les résistants pour empêcher l'acheminement des produits vers l' Allemagne sans oublier la déportation des Juifs dans les wagons vers les camps de mort en Pologne et en Allemagne . Ces trains transportaient aussi les français en Allemagne pour l'exécution de S VO et G V C (service de travail obligatoire et pour garder les voie de chemin de ferre . | Doc : 2 Cette image de train déraillédû au sabotage des maquisards et vient

le Nazisme et contre l’occupant allemand. En 1944, le poète d’origine arménienne Missak Manouchian devient le chef de ce réseau très performant qui devient rapidement célèbre par des coups d’éclat (assassinat d’Allemands et de collaborateurs, sabotage de convois allemands, assassinat de Ritter, un général allemand responsable du STO en France…). En 1944, suite à une trahison, le réseau est neutralisé par une vague d’arrestations. Torturés longuement puis exécutés, les membres du réseau Manouchian

Kennedy se rendent aux soldats de Fidel Castro, l’invasion est un échec. Castro dispose de forces nettement supérieures et vraiment décidées à combattre, ce fût la victoire en 72 heures. Mais la CIA ne renonce pas, des plans sont mis en place : sabotages d’installations industrielles et agricoles, démarches diplomatiques en bref Miami est métamorphosée en un quartier général de l’anticastrisme. En résumé, la CIA décide de détériorer la vie du peuple de Fidel Castro (incendies volontaires, empoisonnement

grande, de couleur rouge pour attirer l'attention et effrayer les passants. Le rouge est la couleur du sang, du crime, et des communistes. Dans sa composition, une grande flèche rouge dirige le regard vers les photo du bas, représentant des actes de sabotage et un corps criblé de balles. · Une question est posée, en haut de l'affiche : " Des libérateurs ? ", et tout en bas, sous la grande flèche rouge, la réponse : " La libération ! Par l'armée du crime." vise à prouver que les résistants, tous étrangers

refus de la répression et des mesures antisémites, volonté de combattre pour libérer la France. La résistance a revêtu des formes multiples qui allaient de l'attentisme prudent ou l'écoute de la BBC, jusqu'à la l'action directe ( attentats, sabotages ) ou la lutte armée dans les maquis, en passant par les manifestations patriotiques, le renseignement, la diffusion de la presse clandestine, la participation à des réseaux d'évasion, le refus du Service du travail obligatoire ( STO ) mis en place