Sacha Gordine

Enfant de la balle, excellent guitariste, Sacha Distel grandit au beau temps du jazz des années cinquante, avant de devenir un des artistes français les plus connus à l'étranger. Le chanteur de "Scoubidou" et "Raindrops keep falling on my head" disparaît en juillet 2004 à 71 ans. Né le 29 janvier 1933 à Paris, Sacha est le fils de Léo Distel, ingénieur, et d'Andrée, née Ventura, pianiste, ancienne lauréate du Conservatoire. Il est le neveu de ray ventura, qui connut la célébrité au music-hall dans

miroir.” Sacha Guitry Dans sa citation, Sacha Guitry affirme que le théâtre peut être considéré comme un miroir contemporain des individus et de la societé. Par sa citation et via la métaphore, Sacha Guitry valorise au plus au point la représentation théâtrale. Il attribue une fonction essentielle au fait de se rendre au théâtre en le comparant avec une tâche d’hygiène quotidienne, censée être satisfaite par tous. Afin de remettre la citation dans son contexte, il faut savoir que Sacha Guitry

qui devait devenir une pièce de théâtre mais, faute de temps et de financement, cette pièce ne fut pas montée tout de suite. En 1955, alors qu'il était à Paris où il avait été envoyé comme attaché culturel à l'ambassade du Brésil, il rencontra Sacha Gordine qui lui demanda s'il n'avait pas une idée de scénario pour un film sur le Brésil. Vinícius lui présenta son projet de pièce puis ils allèrent ensemble au Brésil et là, alors que le projet du film se concrétisait, Vinícius trouva les financements

une pièce de théâtre, Orfeu da Conceição, mais, faute de temps et de financement, cette pièce ne fut pas montée tout de suite. En 1955, alors qu'il était à Paris où il avait été envoyé comme attaché culturel à l'ambassade du Brésil, il rencontra Sacha Gordine qui lui demanda s'il n'avait pas une idée de scénario pour un film sur le Brésil. Vinícius lui présenta son projet de pièce puis ils allèrent ensemble au Brésil et là, alors que le projet du film se concrétisait, Vinícius trouva les financements

engager la responsabilité de l'État. ●  CE 4 nov. 1970, de Malglaive: Lebon 635. 34. Pour être régulière, la publication doit être faite au Journal officiel de la République française. ●  CE 30 oct. 1964, Sté Prosagor, Sté Les films Sacha Gordine et Sacha Gordine: Lebon 496 ● 20 oct. 1967, Sté fr. d'entreprise de dragages et de travaux publics: JCP 1968. II. 15393, note Ruzié ●  TGI Seine, 13 oct. 1959: Rev. crit. DIP 1961. 140 ●  Cons. const. 9 avr. 1992, Maastricht I, no 92-308 DC, § 6: RJC I-496;

veut alors acheter le film pour lui redonner vie. Il avait eu vent de la récupération par les autorités américaines d’un négatif confisqué par les allemands. A l’époque, plus personne n’est propriétaire du film car la RAC est en procès contre Sacha Gordine, un producteur qui n’avait toujours pas payé les droits du film qu’il avait acheté[21]. En attendant que l’affaire soit réglée, les autorités américaines remettent le négatif à leurs homologues français qui… le perdent. Jean Renoir s’entoure alors

accompagnaient son père : Mon père nous rendait visite entre deux voyages à Brazzaville. Il ne conduisait pas et, comme il fallait bien que quelqu'un l'emmène en voiture de Paris jusqu'au village, ses amis, à tour de rôle, l'escortaient : Annet Badel, Sacha Gordine, Robert Fly, Jacques Boudot-Lamotte, Georges Giorgini, Geza Pellmont, le gros Lucien P. qui s'asseyait sur un fauteuil du salon, et chaque fois nous craignions que le fauteuil ne s'effondre ou ne se fende sous son poids ; Stioppa de D., qui portait