Sagesse Cynique

Adage Rien de trop A cette pensée se rattachent les trois apophtegmes de loin les plus fameux parmi tous ceux des sages, a tel point qu’au témoignage de Platon dans Charmide ils avaient été gravés par les Amphictyons devant les portes du temps de Delphes comme si elles paraissaient dignes de Dieu. Le troisième est « Rien de trop ». Il inculque la mesure et je rejet de l’excès. La Bible premier fondement nous invite déjà à cette mesure : « Ne sois pas juste a l’excès, ni sage outre mesure.

des actes inconscients. Si l'on tente de traduire du grec le mot « sophia », on aboutit à deux traductions : savoir et sagesse. L'étymologie de ce mot nous indique donc un lien étroit entre ces deux notions de savoir et de sagesse. Ainsi, le savoir se résume à la sagesse. Comment peut se manifester la sagesse ? Elle peut se manifester dans nos actions. Le savoir et la sagesse sont donc indissociables au sein de nos actes.

cette lettre est adressée à Ménécée, son disciple. Epicure lui expose sa philosophie du bonheur. Il lui prodigue un certain nombre de conseils pour une vie heureuse et lui explique la conduite et les principes à adopter. Ici, Epicure fonde une sagesse du plaisir basée non sur la jouissance, mais sur les plaisirs naturels et nécessaires, la maîtrise des passions, l'absence de souffrance pour le corps et l'absence de troubles pour l'âme. Pour lui, le plaisir est loin d'être un raffinement et un luxe

qu'il précise les ambitions de la démarche philosophique. Le philosophe au 18ème siècle est un honnête homme sur le plan social et moral. Mot qui revient régulièrement : raison, probité etc.… décrivent bien le philosophe. C'est celui qui aime la « sagesse », la « vérité », la « connaissance ». Axes d'étude : I> Construction du texte II> Les caractéristiques du philosophe sont misent en relief grâce aux effets de récurrences. III> Ce portrait est révélateur et significatif des valeurs des lumières

de la connaissance puisque le désir sera déçu de sagesse (désir de savoir, désir de ne pas rester dans l'ignorance). Grâce à son père, il tendra toujours vers la plénitude, on pourrait dire qu'à cause de sa mère, il est faible (manque...) pourtant c'est grâce à cela qu'il cherche la plénitude. Ainsi pour Platon, Eros est philosophe, il se situe entre l'ignorance et la connaissance du sage cf. ethymologie de la philosophie "amour/désir de la sagesse" = le désir promet l'ascension à la connaissance

tem¬pé¬rance, la jus¬tice, la chas¬teté, la pro¬di¬ga¬lité, la cha¬rité, la modes¬tie, l’humilité, la jus¬tice et la sagesse. Elles sont clai¬re¬ment moins uti¬li¬sées comme res¬sorts autant dans la publi¬cité ou le mar¬ke¬ting que dans la vente. Et cela ne date pas d’hier ! Nous avons donc, en com¬men¬çant par les quatre ver¬tus cardinales : • La pru¬dence : c’est avec la sagesse la vertu la plus uti¬li¬sée dans le mar¬ke¬ting et la publi¬cité, notam¬ment dans les dif¬fé¬rentes formes d’assurances

loi qu'on se prescrit, d'une loi pour tous, alors ne doit-on pas exclure ses désirs parce qu'on ne les a pas choisi et qu'ils sont particuliers? Ne vaut-il pas mieux obéir à la nature, à l'ordre, se dominer, souffrir, supporter et se taire selon la sagesse des stoïciens. Selon eux le bonheur est dans la vertu, seule la vertu compte: il faut donc être indifférent à tout ce qui relève de la sensibilité, des désirs, des mirages de l'imagination et nier la douleur. Le stoa était le portique sous lequel

Dissertation de philosophie Ce texte de Jean-Jacques Rousseau a pour thèmes la relation entre le désir, le bonheur et la sagesse. D’après lui, le bonheur ne serait atteint que lorsque l’on trouve l’équilibre entre les facultés de raisonner et les désirs, ce qui serait une preuve de grande sagesse. Dans un premier temps, l’auteur juxtapose une série de phrases ayant pour but de démontrer les liens existants entre désir et bonheur. Il associe le désir à une privation pénible pour aboutir

dans le recueillement une possibilité de s’éloigner de toute turbulence de l’esprit, et accorde ainsi à la prière une vertu médicinale : « C’est à quoi tendait la prière, et ce n’était pas mal trouvé ; devant l’immensité de l’objet, devant cette sagesse qui sait tout et a tout pesé, devant cette majesté incompréhensible, devant cette justice impénétrable, l’homme pieux renonçait à former des pensées ». Faut-il alors se tourner vers Dieu, ou sur toute autre transcendance, pour réduire au silence une

connaissance source de pouvoir devient donc une idée porteuse de l’espoir qu’ont les humanistes dans la capacité de l’Homme à porter son effort sur l’apprentissage et ainsi suivre le cheminement vers l’acquisition de nouvelles valeurs puis vers la sagesse plutôt qu’en des luttes de pouvoirs au sens politique du terme. Enthousiasmé par la bonté naturelle de l’Homme, Rousseau quant à lui, considère que le pouvoir doit venir des individus eux-mêmes. La connaissance de soi devient également un objectif