Sagesse De Paul Verlaine

 « Spleen et idéal » - Hugo Victor – Hernani (1830) - Mérimée Prosper – Carmen (1845) - Musset Alfred de – « Tristesse » tiré de Poésies nouvelles - Rimbaud Arthur – « ma bohème » - Stendhal – Le rouge et le noir (1830) - Verlaine Paul – « après trois ans » tiré de poèmes saturniens (1866) – « mon rêve familier » tiré de poèmes saturniens (1866) Chronologie des oeuvres: - texte 3 - texte 3 - texte 3 - texte 3 - texte 3 Préface

la vouvoie. (+ voir analyse p.8 du syllabus) Les caractéristiques du symbolisme Le symbole : Expression verbale, suggestive d’images généralistes d’impression, de rapprochements et d’analogies. 1) Musicalité et harmonie des textes poétiques (Verlaine). 2) Généralisation du symbolisme à tous les arts (peinture, poésie, théâtre, musique, …). 3) Utilisation constante des symboles, beaucoup de métaphores et d’allégories. 4) Correspondances et analogies entre les âmes du monde, des choses, de la

dans une chevelure…). Les poètes de la fin du siècle Rimbaud Verlaine et Rimbaud - Les figures de Verlaine (1844-1896) et de Rimbaud (1854-1891) prolongent le type du poète maudit par leurs vies hors des normes sociales. Si Arthur Rimbaud (Une saison en enfer ; Illuminations) reste comme le « voleur de feu », le voyant et l’aventurier éphémère de la poésie avec ses fulgurances et ses révoltes, Paul Verlaine, avec une œuvre plus longue, est associé à la musicalité, au lyrisme mélancolique

noms d’au- teurs et de personnages : Baudelaire, Verlaine, Mallarmé, Rollinat et des Es- seintes – Arthur Rimbaud ne connaîtra le succès qu’après 1886 – qui forment ce qu’on appelle la mêlée symboliste. Comme Maurice Barrès l’explique dans la suite de son propos, le fondement de la nouvelle littérature réside dans le fait que l’expérience cognitive, c’est-à-dire poétique, est désormais une expérience sensorielle : une jouissance des sens. Après Paul Bourget qui a offert, en 1881, un brillant essai

régulière se caractérise par la légèreté) Exemple : « une grenouille vit un bœuf Qui lui sembla de belle taille » (Jean de la Fontaine, Fable I) o hexamètres : 6 pieds Exemple : « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ». (Paul Verlaine, Romances sans paroles) Il existe aussi des vers de 2 et de 4 syllabes, des vers impairs : 3, 5, 7, …syllabes (rarement utilisés), des vers libres : suite de vers de longueur inégale et dont les rimes sont combinées de façon variée ; dans

clarté déserte de ma lampe"), à voyager. Toutefois, c'est sans certitude: " Et, peut-être, les mâts, invitant les orages Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles flots... " c) Paul Verlaine Il est né à Metz en 1844.Ses premiers poèmes parurent dans des revues. Il rencontre Banville, Baudelaire et Hugo. Son premier recueil, Poèmes saturniens, paraît en 1866, grâce à l'appui financier de sa cousine. Peu de temps après la parution

Charles (1821-1867) : « Les Fleurs du mal » 1857 ; « Les paradis artificiels » (essai) 1860 ; «  le peintre de la vie moderne » 1863 (essai) ; « Le spleen de Paris » 1869. - Verlaine Paul (1844-1896) Très influent dans le milieu symboliste : « Poèmes saturniens » 1866 ; « Fêtes galantes » 1869 ; « Sagesse » 1881 ; « Jadis et Naguère » 1884. - Rimbaud Arthur (1854-1891) Admirateur de V.Hugo. « Premières Poésies » 1868-1870 ; « Une saison d’enfer » 1873 ; « publication des

d’arts poétiques ont fixé l’ensemble des règles à suivre, comme Boileau, théoricien du classicisme au XVII°, dans son traité en alexandrins intitulé Art poétique, ou encore les principes, souvent novateurs, d’une possible création, comme le poème de Verlaine intitulé également « Art poétique » commençant par : « De la musique avant toute chose » pour se terminer sur le vers suivant, qui marque la spécificité du genre poétique : « Et tout le reste est littérature. » D’autres arts poétiques sont présentés

pu percer le mur de mon miroir Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie Comme on oublie Je t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne Pour la santé Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion Pour ce cœur immortel que je ne détiens pas Tu crois être le doute et tu n'es que raison Tu es le grand soleil qui me monte à la tête Quand je suis sûr de moi. Paul Eluard (1895-1952) - Le Phénix  A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue

.......................................4 2) Le symbolisme..................................................................................................5 2.1. Introduction au symbolisme 2.2. Chanson d'automne, Paul Verlaine 2.2.1. Discours d'escorte 2.2.2. Biographie de Paul Verlaine 2.3. Le Pont Mirabeau, Guillaume Apollinaire 2.3.1. Discours d'escorte 2.3.2. Biographie de Guillaume Apollinaire 2.3.3. Analyse de l'œuvre 3) Le surréalisme......................................................