Saint-Rémy-de-Provence

le plan économique), qui souhaitent dans leur grande majorité organiser leurs opérations à proximité, dans leur région ou dans les régions limitrophes. SEMINAIRES BUSINESS Events fait ainsi valoir un avantage indéniable : son ancrage régional, en Provence Alpes Côte d’Azur et en Rhône-Alpes. Les salons SEMINAIRES BUSINESS Events sont perçus comme des opérations pragmatiques et conviviales à l’image de la province et ses acteurs locaux du tourisme. Ils répondent aux besoins des entreprises régionales

Bonnetière 37510 Ballan-Mire LABARRE Yvon La haie Mainguy 44260 Bouée LAOUENAN Loyz 11 impasse R.Morvan 29660 Carantec LE CLEAC’H Anne 23 avenue Charles 93220 Gagny LECOIS Philippe 28 rue Ste Anne 14000 Caen MADJAROVA 33 rue Bouillon Lagrange 91530 Saint Chéron MARQUES Patrick 24 allée du Domaine 69530 Brignais Jour de marché dans les Alpilles 100 x 100 Bretagne 15F 65x54 ANITA-ELEMIAH 10, rue Barrault 75013 Paris Serein 80 P Les artichauts en fleurs 40F AMBILLE Paul 2 rue du gl Pershing

Le Ministère de la Culture et de la communication (Direction régionale des affaires culturelles de Provence-Alpes-Côte d’Azur - Service Régional de l’Archéologie), le Conseil Général de Vaucluse, la Mairie de Vaison-la-Romaine, les services du Patrimoine et de la Culture de la ville, le Centre d’Action Culturelle, le Centre d’Information Culturelle, le Club Déclic de la Banque Populaire Provence et Corse, la Fondation Pierre Gianadda et la médiathèque de Martigny en Valais,Suisse.

premières œuvres autour du thème de la vie populaire. En 1886, il rejoint à Paris son frère Théo, qui dirige une petite galerie de tableaux. Puis il descend à Arles, en Provence. C'est à la suite d'une dispute avec Paul Gauguin, venu lui rendre visite, que Van Gogh se coupe l'oreille au rasoir. Il est alors enfermé à l'asile de Saint-Rémy. A sa sortie, il retourne dans la banlieue parisienne, à Auvers-sur-Oise. C'est là qu'il se suicide le 29 juillet 1890. 2) le support et la technique utilisée

rigoureux, pour le sud de la France où il emportait avec lui l'espoir de fonder une communauté d'artistes, un nouvel "Atelier du Midi" ARLES Lors de son séjour à Arles, de son arrivée le 20 février 1888, à son départ pour l'asile de Saint-Rémy le 8 mai 1889, Van Gogh allait exécuter quelque 200 toiles, plus d'une centaine de dessins, et écrire plus de 200 lettres. La maison jaune (La maison de Vincent) 1888 Rijksmuseum Vincent Van Gogh Amsterdam Arles est à l'époque une ville

même nuit, Vincent a une crise de folie et se coupe la partie inférieure de l'oreille gauche qu' il enveloppe dans du papier journal pour aller la porter en cadeau à Rachel. Le 8 mai 1889, il entre de plein gré à l'asile Saint-Paule-de-Mausole près de Saint-Rémy-de-Provence. Son état s'améliore : il peint, bavarde avec les autres malades ... jusqu'à la crise suivante, en juillet, au cours de laquelle il tente de s'empoisonner en avalant des couleu   De 1890 à sa mort.   En janvier 1890, Van

Toulouse-Lautrec. Ensemble ils se font alors connaître sous le nom des peintres du Petit Boulevard. En février 1888 van Gogh s’installe à Arles. Ce sont les couleurs vives et claires, ainsi que la chaleur de l’atmosphère du Sud qui l’attirent en Provence. Il y peint quelques deux cents tableaux et plus de cent dessins et aquarelles. Au printemps 1888 sont réalisées les peintures de vergers, en été celles de récoltes des blés. En août, en parallèle des paysages, Vincent travaille sur une série de

1880 qu’il se tourne vers la peinture. Apres avoir été marchand d’art. C’est un personnage instable mentalement qui se suicidera à l’âge de 37 ans, d’une balle dans l’abdomen. Il fut d’ailleurs interné à sa demande en 1889 à l'asile de Saint-Rémy-de-Provence et y restera une année. De cette période date un grand nombre de chefs-d'oeuvre, dont « les Blés jaunes » qu'il pouvait admirer de la chambre qu'il occupait. Il aurait plus de deux mille toiles à son actif qui datent

réalisé par Vincent Van Gogh durant la période décrite comme « la plus féconde de sa carrière ». Il réalise son premier autoportrait en 1886 et en suivront trente-quatre autres. Celui présenté ici fut créé à la fin de sa carrière, en 1889, à Saint-Rémy-de-Provence dans le midi, lors de son internement dans un asile psychiatrique alors qu‘il était poursuivi par des envies de suicide. C’est dans cette période de renouveau et une envie de découvrir sa véritable identité qu’il va peindre cet autoportrait

célèbres Tournesols[ image 2 ]. Sa chambre devient même le sujet d’un tableau, dont il fournira plus tard deux autres versions. Celle du musée d’Orsay a été réalisée en 1889 [ image principale ], alors qu’il était interné à l’hôpital psychiatrique de Saint-Rémy-de-Provence. Il l’a peinte spécialement pour l’offrir à sa mère. Une lettre à son frère Théo nous éclaire sur ses intentions : « La vue du tableau doit reposer la tête ou plutôt l’imagination », écrit-il. L’artiste qui traverse une période difficile apparaît