Saint-Vaast-la-Hougue

premier roi des Francs de la dynastie carolingienne. 752 : Conquête de la Septimanie sur les Musulmans par Pépin le Bref et siège de Narbonne jusqu'en 759. 753 : Création de la Marche de Bretagne. 754 : Sacre de Pépin le Bref par le pape Étienne II à Saint-Denis, et expédition franque contre les Lombards en Italie. 756 : Donation de Pépin, qui permet la formation territoriale des États pontificaux (Rome, Pérouse, Ravenne) après l'expédition en Italie. 760-768 : Expéditions de Pépin contre l'Aquitaine

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sont facilitées par le climat intellectuel nouveau qui s’épanouit à l’époque, avec le développement de l’humanisme. Les humanistes (du latin médiéval humanista = instruit, cultivé) sont les lettrés qui étudient les textes anciens et les écritures saintes. Les humanistes veulent rompre avec le Moyen Age, qu’ils qualifient de barbare : « Le monde se ressaisit comme s’il se réveillait d’un long sommeil », écrit le flamand Erasme. Ce « réveil » s’appuie sur un retour aux sources de l’Antiquité grecque

multitude de notules relatives à des questions de toponymie et signées de Camille Jullian, Albert Grenier, etc. Il en existe un relevé en deux mémoires de fin d'études, dactylographiés, de l'Institut des Techniques de la Documentation : - M. de Lingua de Saint-Blanquat, Dépouillement systématique et analytique des articles et comptes rendus d'ouvrages relatifs à la toponymie française dans la Revue des Etudes anciennes, de son origine, 1899 à 1918. Paris, 1964, 37 pp. - G. Delaunay, Relevé des articles et

D'ESQUEHERIES HOLNON PETANQUE LA PETANQUE FONSOMMOISE PETANQUE FRESNOYSIENNE JUSSY PETANQUE GAUCHY PETANQUE PET BRISSY HAMEGICOURT PETANQUE BOHAINOISE ST QUENTIN PETANQUE GAZ SPORTS ST QUENTIN LA BOULE ORIGNYQUOISE LA BOULE SEBONCOURTOISE ASPTT DE SAINT QUENTIN LA PETANQUE GUISARDE RIBEMONT PETANQUE LA PETANQUE BOUESIENNE LEHAUCOURT PETANQUE LA BOULE DE FER P C ESSOMES SUR MARNE NESLES LA MONTAGNE PET CASTELTHEODORICIENNE PET CROUTTES VILLIERS LA PETANQUE JAULGONNAISE LA PETANQUE FRONTONNAISE A SP

comte de la Vaubyessard et baron de la Fresnaye, tue a la bataille de Coutras, le 20 octobre 1587. » Et sur un autre : « Jean-AntoineHenry-Guy d'Andervilliers de la Vaubyessard, amiral de France et chevalier de l'ordre de Saint-Michel, blesse au combat de la Hougue-Saint-Vaast, le 29 mai 1692, mort a la Vaubyessard le 23 Janvier 1693. »128 Elle y recormait toute Phistoire d'une classe sociale qu'elle admire et a laquelle elle desire appartenir. La scene au chateau est une veritable mise en scene

cachetée d’un petit cachet de cire bleue, suppliait M. Bovary de se rendre immédiatement à la ferme des Bertaux, pour 27 remettre une jambe cassée. Or il y a, de Tostes aux Bertaux, six bonnes lieues de traverse, en passant par Longueville et Saint-Victor. La nuit était noire. Madame Bovary jeune redoutait les accidents pour son mari. Donc il fut décidé que le valet d’écurie prendrait les devants. Charles partirait trois heures plus tard, au lever de la lune. On enverrait un gamin à sa rencontre

cachetée d’un petit cachet de cire bleue, suppliait M. Bovary de se rendre immédiatement à la ferme des Bertaux, pour 27 remettre une jambe cassée. Or il y a, de Tostes aux Bertaux, six bonnes lieues de traverse, en passant par Longueville et Saint-Victor. La nuit était noire. Madame Bovary jeune redoutait les accidents pour son mari. Donc il fut décidé que le valet d’écurie prendrait les devants. Charles partirait trois heures plus tard, au lever de la lune. On enverrait un gamin à sa rencontre

attendit encore un an que le gamin eût fait sa première communion. Six mois se passèrent encore ; et, l'année d'après, Charles fut définitivement envoyé au collège de Rouen, où son père l'amena lui-même, vers la fin d'octobre, à l'époque de la foire Saint-Romain. Il serait maintenant impossible à aucun de nous de se rien rappeler de lui. C'était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l'étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire

attendit encore un an que le gamin eût fait sa première communion. Six mois se passèrent encore ; et, l’année d’après, Charles fut définitivement envoyé au collège de Rouen, où son père l’amena lui-même, vers la fin d’octobre, à l’époque de la foire Saint- Romain. Il serait maintenant impossible à aucun de nous de se rien rappeler de lui. C’était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l’étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire