Sainte-Adèle

l’écrivain, très attaché à sa fille (qu'il surnomme Didine ou Didi), trouve celle-ci trop jeune (bien qu'elle soit l'aînée) pour pouvoir penser au mariage. Après avoir patienté cinq ans, Léopoldine épouse Charles Vacquerie le 15 février 1843 en l'église Saint-Paul à Paris, dans la plus stricte intimité. Le lundi matin 4 septembre de la même année, vers dix heures, Charles Vacquerie, qui séjourne à Villequier avec sa jeune épouse depuis deux jours, embarque, en compagnie de son oncle, Pierre Vacquerie (1781-1843)

rencontre Charles Vacquerie, le frère d’Auguste, en 1838. Ils se marient en février 1843, et meurent par noyade le 4 septembre de la même année, sur la Seine entre Caudebec-en-Caux et Villequier. Léopoldine Hugo, Charles Vacquerie, Adèle Hugo (femme de Victor Hugo) et Adèle Hugo (sa fille), Auguste Vacquerie ainsi que d’autres membres de la famille sont enterrés au cimetière de Villequier, En 1951, le Conseil Général de Seine Maritime rachète aux descendants Vacquerie la maison avec son jardin tandis

e recueil s'organise en deux parties, respectivement intitulées Autrefois et Aujourd'hui, comprenant chacune trois livres. * Autrefois (1830 - 1843) * o I. Aurore : C'est le livre de la jeunesse évoquant les souvenirs de collège du poète, ses premiers émois amoureux et ses premières luttes littéraires. * o II. L'âme en fleur : C'est le livre des amours, constitué de poèmes évoquant les premiers temps de son union avec Juliette Drouet. *

le troisième fils de Léopold et Sophie Hugo. (Victor Hugo est pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid, le collège des Nobles.) A 14 ans, il déclare déjà : « Je veux être chateaubriand ou rien ». Il se fiance en 1819 avec Adèle Foucher, une amie d'enfance, qu'il épousera en 1822. Peu après nait Léopold, le premier de leurs 5 enfants. Celui-ci mourra prématurément. En 1825, Victor Hugo est fait chevalier de la Légion d'Honneur. Il devient chef de file d'un groupe de

séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom[10]. En septembre 1815, il entre avec son frère à la pension Cordier. D'après Adèle Hugo, c'est vers cet âge que Victor Hugo commence à versifier. Autodidacte, c'est par tâtonnement qu'il apprend la rime et la mesure[11]. Il est encouragé par sa mère à qui il lit ses œuvres, ainsi qu’à son frère Eugène. Ses écrits sont relus et corrigés

pas être aussi catastrophique ! VICTOR : Si vous saviez ! JOURNALISTE : Expliquez-vous ! VICTOR : J’ai cru trouver l’amour et la joie avec ma femme, Adèle FOUCHER Mais je n’ai trouvé que le malheur nous avons eu 5 enfants : -Léopoldine -Charles -François-Victor -Adèle -Léopold Figurez-vous que Léopoldine est morte noyée en 1843 et Adèle est completement folle depuis 1855. Heureusement que j’ai ma chère Juliette Drouet ! JOURNALISTE : Et qui est Juliette ? VICTOR: ma maitresse JOURNALISTE:

Paris car cette dernière s’est séparée de son mari suite à une liaison qu’elle entretenait avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom (Victor). C’est à treize ans que d’après Adèle Hugo (sa femme), il a commencé à versifier, autodidacte, il apprend tout doucement l’usage de la mesure et de la rime. Encouragé par sa mère et Eugène, son frère, il fait corriger et relire ses écrits par maître d’études de la pension Cordier. Agé

Napoléon III (1808-1873) : Le 2 décembre après un coup d’Etat, il dissout l’Assemblée et établit une nouvelle constitution. Il instaura un régime dictatorial etVictor Hugo était plus pour la démocratie. Juliette Drouet (1806-1883) : Cette actrice rencontra Victor Hugo en 1833, leur liaison dure 50 ans. Inspiratrice de plusieurs passages de l’œuvred’Hugo, elle lui écrit 17000 lettres. Léopoldine Hugo (1824-1843): Les morts prématurées et tragiques de sa fille et de son gendre auront un très grand

raconte que cette touche d’authenticité rend le film encore plus agréable et émouvant. Le critique illustre aussi l’histoire du film dans un cours résumé qui met en place l’histoire et les personnages. Il glorifie aussi les deux actrices principales, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux, qui jouent des rôles splendides dans film de Kechiche ainsi que la récompense de ceux-ci au Festival de Cannes 2013 : « Avec une sensualité infinie, sa caméra saisit la vérité du moment, d’autant que les deux actrices

d’Abdellatif Kechiche (cf. L’Esquive) : la salle de classe. Femme, Adèle (Adèle Exarchopoulos) ne l’est évidemment pas : elle a 17 ans et contrairement à l’adage rimbaldien, elle est plutôt sérieuse pour son âge – elle aime lire, travaille plutôt bien et ne court ni les garçons, ni personne. Le roman graphique dont est adapté le film, Le bleu est une couleur chaude de Julie Maroh, suit le personnage (qui ne s’appelle pas Adèle mais Clémentine) jusqu’à son trépas. Kechiche a éludé tous les développements