Saison humide

Seminaires mediterraneens CIHEAM - Options Mediterraneennes 52 M Mohammed Jellali INTRODUCTION Depuis de nombreux siècles, les populations du Maroc ont vécuen parfaite symbiose avecle milieu hydrique, sachant tirer profit des années humides et s'accommodant des années de sécheresse atténuant en les impacts, grâce à un sens averti de l'économie dans l'utilisation de l'eau. Les conditions socio-économiquesde l'utilisation de l'eau ont toutefois notablement changé depuis le début du siècle

28°C 27°C 26°C 24°C 23°C Moyenne Precip. 64mm 69mm 46mm 53mm 99mm 183mm 107mm 99mm 145mm 180mm 89mm 58mm Comme ont peut le constater sur le document le climat est tropical à deux saisons : la saison sèche, de novembre à avril et une humide de mai à octobre, pendant laquelle les pluies peuvent être violentes mais de courte durée. La température de l'air est quasi constante toute l'année, aux alentours de 22° à 28°( 24° de moyenne ). La température de l'eau

du El Niño : la Niña". B. Les conséquences L'évaporation des eaux chaudes de l'Océan Pacifique est à l'origine de la saison des pluies en Asie.
La première conséquence d'El Niño est de créer une sécheresse en Asie et en Océanie à une période où de fortes pluies devraient tomber. En contre partie, de l'autre côté de l'océan pacifique, sur les côtes de l'Amérique, la pluie

de bananes avant leur pleine maturité.         mais aussi.....                                                 La culture... en raccourci  Le climat et le terrain Climat: les régions principales de la culture des bananes sont dans un secteur humide des tropiques jusqu'à 500m d'altitude et entre 20° de latitude Nord et 20° de latitude Sud. C'est dans ce climat que les bananes se développent le mieux. Un déplacement vers une altitude plus haute prolonge la phase végétative d'environ un mois si

fin des années 1960, le Bénin comme toute l’Afrique de l’Ouest est sujet à forte variabilité pluviométrique. Celle-ci se manifeste, en particulier, par une modification du régime des précipitations (début tardif ou précoce, rupture au cœur de la saison, fin précoce) et par une diminution des hauteurs annuelles (Bokonon-Ganta, 1987 ; Boko, 1988 ; Afouda, 1990 ; Houndénou, 1999 et Yabi, 2002.) ; tout ceci constitue une entrave à l’agriculture (70 % de la population active), particulièrement la production

demandé ce qu’il en serait si la terre était un globe à une position fixée par rapport au Soleil ? Tout d’abord les saisons n’existeraient pas, c’est parce qu’elle vogue, en traçant une ellipse et non un cercle parfait, qu’elle est tantôt plus proche du Soleil en été, tant plus éloignée en hiver que tu témoignes de l’avancement de l’année, au fil des saison. S’il n’y avait pas de saison, alors comment définirions nous le cycle d’une année, définie par l’écoulement de tous les mois avant de revenir au

agriculteurs, rencontrés est le risque de perdre leurs activités principales comme l’élevage ou l’agriculture si la dégradation de la pluviométrie s’accentue. Aujourd’hui, ils sont très éprouvés par l’irrégularité et le déficit des pluies au cours des saisons humides. Face au risque de perdre ce à quoi ces populations accordent le plus d’importance, nous avons essayé de savoir comment elles mettent en œuvre des stratégies pour lutter contre les vulnérabilités engendrées par les aléas climatiques. Vue à la

élevée ou au moins moyenne -une allure longiligne -un profil généralement convexe Les moutons du sahel sont généralement de bons animaux de boucherie. La production laitière des brebis est généralement faible. Elle varie entre les races et les saisons de 200 à 600g pour une durée de lactation de l’ordre de 5 mois (Figure 1 ) 2-le mouton Djallonké C’est le mouton du sud qui vit du Sénégal jusqu’en Afrique centrale dans les zones où la pluviométrie devient supérieur

décennie; 1998 a été l’année la plus chaude et (jusqu’à l’été 2002), on a connu, pour les 19 des 20 dernières saisons, des températures supérieures à la normale. • Aux échelles mondiale et régionale, le climat peut fluctuer considérablement d’une année et d’une décennie à l’autre en raison des variations naturelles du système climatique. Cependant, la multiplication d’années ou de saisons chaudes, ou des deux, au cours de la dernière décennie est inhabituelle, et de plus en plus difficile à expliquer

 « tropical océanique », c'est-à-dire qu’il est chaud et humide sans excès. Comme dans la plupart des îles du Pacifique Sud, ce type de climat présente deux « saisons principales » séparées par des « intersaisons » ce qui permet de distinguer : - La " saison des pluies ou saison chaude " : qui s'étale de mi-novembre à mi-avril, pendant laquelle les précipitations peuvent être abondantes et les températures élevées (26°C en moyenne). - La " petite saison sèche " : enregistrée de mi-avril à mi-mai, période