Sam Smith

cherché à expliciter la nécessité absolue de la spécialisation et il y sont parvenus. Ce qui est toujours discuté, et discutable, ce sont les critères de cette spécialisation. Adam Smith et les avantages absolus. Le pilier sur lequel repose toute la réflexion sur le commerce international a été bâti par Adam Smith dans ses fameuses Recherches sur la nature et la cause de la richesse des nations, publié en 1776. Chaque pays doit se spécialiser dans les productions qui lui coûtent moins cher à produire

libre échange internat permet d’accroître la croissance et le dvt éco mondiaux. A. Les théories classiques & la spécialisation des éco. Les théories d’Adam Smith (1723-1790) & de David Ricardo (1772-1823) constituent le fondement des théories contemporaines du libre échange. 1. La théorie des avantages absolus. Adam Smith va développer 3 thèses concernant l’efficacité de la division du W et de la concurrence au niveau internat ; 1ére thèse : Pr lui chaque pays à î a acheter à l’étranger

€conomique 1 Histoire de la pens€e €conomique La pens€e €conomique peut ƒtre d€coup€e en trois grandes phases : les pr€curseurs (grecs, romains, arabes), les pr€-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'€conomie moderne (qui d€bute avec Adam Smith „ la fin du XVIIIe…si†cle). • [‚] les id€es, justes ou fausses, des philosophes de l€€conomie et de la politique ont plus d€importance qu€on ne le pense en g€n€ral. ‡ vrai dire le monde est presque exclusivement men€ par elles. Les hommes d€action

du soleil, terre nest pas stable, rvolutionnaire). LAmrique franaise ou anglaise volution des politiques impriales Clarification des enjeux impriaux Administration directe des empires Rorganisation conomique de lempire Mercantilisme (1676, Adam Smith) selon ce thorie, les empire Europen sont en concurrence, chaque tat doit de renforce. Ltat doit vendre plus que dacheter, chaque tat doit protger ses ressources, exiger dtre payer en or. Clarification du rle de lempire vis--vis de la mtropole Application

Projet Inf 1, 2009-2010 * & * I. L'économie 5 II. L'histoire de la pensée économique 6 a. La naissance de l'économie avec Adam Smith 6 b. L'économie pour les classiques: de Say à Ricardo 7 c. L'économie selon Marx 8 d. L'économie marginaliste ou néoclassique 8 e. L'économie selon Keynes 9 f. L'économie pour les monétaristes 9 g. L'économie des déséquilibres 10 h. La microéconomie et la macroéconomie 10 III. Le capitalisme

(plus petit), le marché régional, le marché national, le marché mondial (ex: marché européen). 3° L'origine des marchés Selon Adam Smith (1723-1790), père fondateur de l'école classique anglaise au 18ème. Ouvrage phare: Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) → doc 2 p194 : notion d'égoïsme: selon Adam Smith il s'agirait de l'intérêt individuel ou personnel. Le lien qui unit les individus d'une même société est essentiellement un lien marchand.

è La problématique La publication de l’œuvre maîtresse de Smith,Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776), coïncide av ec l’essor de la révolution industrielle dans le nord du Royaume-Uni. Smith est l’un des premiers à s’interroger sur l’origine et les mécanismes de ce capitalisme naissant. Il repère dans la division du travail le mécanisme central du progrès économique et voit dans l’échange un puissant catalyseur (= stimulant). Ainsi, la division du travail apparaît

et enfin pour terminer les mouvements sociaux et politiques de l’époque. I. LES CONDITIONS DE VIE DES BOURGEOIS ET DES MINEURS A) La grande bourgeoisie La notion de classe sociale a été inaugurée par les fondateurs de l’économie : Adam Smith et David Ricardo. Ces économistes anglais considèrent, comme la plupart des penseurs classiques anglais du 19ème siècle, les différentes classes de la nation comme correspondant à différents types de revenu. Ainsi, on a trois grands groupes qui sont

Ricardo pour soutenir cette dernière ((loi de Say (Paragraphe 1 ,2 et 3) )) RICARDO rappelle d’abord que l’utilité est un préalable à la valeur d’échange, mais qu’elle est toujours relative et ne peut donc pas être mesurée, puisque comme le soutenait SMITH, elle diffère selon les individus. La notion d’utilité, c’est-a-dire si elle ne sert pas à notre jouissances, ou en tirer quelque avantage, il ne possèderait aucune valeur échangeable, quelle que fut sa rareté, ou la quantité de travail nécessaire

choix entre les différents produits accessibles, à moins qu'ils ne produisent eux-mêmes. Pour Montesquieu[1] « c’est la concurrence qui met un juste prix aux marchandises, et qui établit les vrais rapports entre elles ». Depuis Montesquieu et Adam Smith, la concurrence est un concept fondamental de la tradition libérale et de la science économique. Selon ce point de vue, elle est un aspect de la liberté individuelle et donne non seulement le droit mais aussi la possibilité matérielle aux agents économiques