Sanctuaire

Les jeux olympiques et le sanctuaire d’Olympie Introduction : sont un événement international majeur, regroupant les sports d’été et d’hiver, auquel des milliers d’athlètes participent. Les Jeux olympiques se tiennent tous les quatre ans I) Les jeux olympiques (en grec ancien : Oλυμπιακοὶ Aγῶνες ) Les jeux olympiques (Oλυμπιακοὶ Aγώνε) ont été créés en Grèce en 776 avant Jésus-Christ. Il s'agit d'un événement considérable. En effet, s'il existait déjà de nombreuses fêtes qui permettaient d'exalter

rituelles ornant les murs symbolisaient les devoirs du Pharaon à ses dieux ; la forêt de colonnes végétales, l'image de la terre féconde. Tous les matins, au lever du soleil, le prêtre purifié, entrait dans le sanctuaire, brisait le sceau d'argile qui garantissait la fermeture du naos, le sanctuaire, faisait apparaître l'image de la divinité et lui récitait des hymnes d'adoration. Le dieu ou la déesse était ensuite lavé, encensé, habillé, parfumé, on lui offrait les offrandes qui étaient consumées

vie quelques années auparavant.Le cylindre de Nabonide retrouvé à Sippar est un long texte où le roi Nabonide de Babylone (556-539 av. J.-C.) décrit les réparations qu'il a effectuées en vue de restaurer trois temples : le sanctuaire du dieu de la lune Sîn à Harran, le sanctuaire de la déesse guerrière Anunitu à Sippar le temple de Šamaš également à Sippar. Une copie fut mise au jour dans le palais royal de Babylone, aujourd'hui conservée à Berlin tandis qu'une autre copie est possession du British

nom de la Grèce à l’époque : Hellas. Ils s’appellent ainsi à cause des romains qui le surnommaient comme ça sous une forme méprisante. L’historien Hérodote emploie donc ce terme hellénikon, ce qui uni tous les grecs : même origine, même langue, sanctuaire et sacrifice commun et enfin semblable mœurs et coutumes même manière de vivre. Ces sacrifices communs vont émerger et se mettre en place vers le milieu du VIIIe siècle avant notre ère. Cela n’était pas perceptible avant, car avant cette date les

argien Polymèdes et datées du début du VI siècle ressortent particulièrement : on a voulu y voir les figures de Cléobis et Biton, qui auraient tiré le char de leur mère, prêtresse d’Hera sur une distance de 45 stades, entre la ville d’Argos et le sanctuaire de la déesse. Les corps sont solidement construits et présentent quelques traits essentiels sur le plan anatomique ; mais les têtes ont encore une massivité quasi géométrique et la face est aplatie. Source : Les trésors de la Grèce, Stefano Maggi

Le Shintoïsme I) L’origine du Shintoïsme Le Shinto (shintoïsme) ou “la voie des dieux est étroitement liée à la mythologie Japonaise. Il est pour ainsi dire aussi ancien que le pays et très lié à sa culture. La plupart des sanctuaire sont dédié à des divinités présentes dans les mythes puisqu’on croit que la nation et sa prospérité résultent de l’intervention divine d’Amaterasu. Le Shinto est centré sur les rapports entre le monde naturel et ses habitants. Il s’efforce de maintenir l’équilibre

caractère religieux même si l’indouisme n’est pas une religion en soi mais plutôt un mode philosophique. Le temple tamoul, comme la cathédrale chrétienne, représente un homme sacrifié, allongé sur le dos. De la tour architecture d'entrée-le gopuram- au sanctuaire, on va des pieds à la tête de l'être humain, en passant par les 7 chakras. L'explication, c'est que l'homme est à l'image de Dieu et que nous avons tous en chacun de nous une parcelle du divin. Le temple n’a qu’une signification selon moi : prier

mêmes divinités les a conduit à partager les mêmes sanctuaires. La croyance est le deuxième trait d’union parmi toutes les cités. Finalement, ils partagent l’identité grecque. Comme le disait Platon, les populations de toutes ces cités partageaient la même pevdia (la pédagogie, donc l’éducation), une manière commune que les Grecs avaient pour instruire les jeunes. Cela offrait une cohésion dans les populations de ces cités. La question des sanctuaires est très importante. Ces lieux, qui s’élevaient

L’évolution de l'architecture aux moyen-age Avant le moyen age le temple païen n'est qu'un sanctuaire où ne pénètrent que les ministres du Culte et les initiés, le peuple reste en dehors de ses murs, aussi les monuments de l'antiquité, en Italie, sur le sol des Gaules, ne pouvaient convenir aux chrétiens. La basilique antique, avec ses larges dimensions, sa tribune, ses ailes ou bas-côtés, son portique antérieur, se prêtait toutefois au culte de la nouvelle foi, étant le lieu de tous les

portiques jouent un rôle essentiel. Ainsi, les architectes et ingénieurs Attalides ont réalisé des prouesses dans trois domaines: les portiques à étages, l’utilisation de la voutes comme pour les couloirs des gymnases et la construction d’aqueducs. Le Sanctuaire d'Athéna Polias Niképhoros, dédié à la déesse protectrice de la ville, est le plus ancien temple de Pergame (IVe siècle av. J.C.). Il a été érigé dans un endroit de choix de l’acropole, sur la terrasse du théâtre. Il servait aussi à commémorer les