Alex (Denis Lavant) vit à Paris, sur le pont Neuf, auprès de Hans (Klaus Michael Grüber), son vieux compagnon qui l'aide à trouver le sommeil. Leur vie « tranquille » est perturbée par l'arrivée de Michèle (Juliette Binoche). Michèle perd la vue, et Alex découvre l'amour. Ensemble, ils vont vivre, rire, boire, danser au rythme des orchestres parisiens et sous les lumières des commémorations du bicentenaire de la Révolution française.Le tournage du film connaît de multiples avaries : l'acteur principal (Denis Lavant) se blesse le pouce en réparant une semelle de chaussure entraînant l'arrêt du tournage durant un mois (seules des scènes statiques seront filmées), Leos Carax, le réalisateur, dépasse les délais et le budget, un décor du pont doit être construit à Lansargues près de Montpellier, etc. Néanmoins, après avoir reçu le financement de trois producteurs successifs, l'apport final de Christian Fechner permet au film de sortir en octobre 1991. Il reçoit un accueil critique mitigé, à la fois encensé par la presse dite « sérieuse » et descendu par la presse « grand public ». Le journaliste Marc Esposito écrit un article dans lequel il reproche au réalisateur son sadisme à l'encontre de Juliette Binoche, qui avait partagé sa vie quelques années auparavant.Le cylindre de Nabonide retrouvé à Sippar est un long texte où le roi Nabonide de Babylone (556-539 av. J.-C.) décrit les réparations qu'il a effectuées en vue de restaurer trois temples : le sanctuaire du dieu de la lune Sîn à Harran, le sanctuaire de la déesse guerrière Anunitu à Sippar le temple de Šamaš également à Sippar.
Une copie fut mise au jour dans le palais royal de Babylone, aujourd'hui conservée à Berlin tandis qu'une autre copie est possession du British Museum de Londres.
Ce texte est écrit après le retour de Nabonide d'Arabie lors de la treizième année de son règne, mais antérieurement à la guerre contre le roi perse Cyrus II, mentionné comme l'instrument des dieux.
Le cylindre de Nabonide