Sarcasme

faisait sur ce front impassible, et donnait ce total lugubre, la gaîté ; un coin de la bouche était relevé, du côté du genre humain, par la moquerie, et l’autre coin, du côté des dieux, par le blasphème ; les hommes venaient confronter à ce modèle du sarcasme idéal l’exemplaire d’ironie que chacun a en soi ; et la foule, sans cesse renouvelée autour de ce rire fixe, se pâmait d’aise devant l’immobilité sépulcrale du ricanement. Ce sombre masque mort de la comédie antique ajusté à un homme vivant, on pourrait

prude (la religion est une de ses valeurs principales), « victime » de Valmont. Analyse de texte générale Genre : roman épistolaire (lettres  polyphonie  plusieurs styles) Visée : - Argumentative (Merteuil convint V. en utilisant le sarcasme et la moquerie En s’aidant de la faiblesse des autres personnages  montre la puissance de langage de Merteuil. ) - Epidictique car blâme de Valmont (et indirectement de Tourvel et de Cécile également) Registre : ton froid  M. est dépréciative

(LABRÈCHE, 2000 : 94) 2. «Avoir une famille sera si bon pour mon équilibre qu’un jour je pourrai me promener en fildefériste sur les garde-fous du pont Jacques-Cartier, en décidant quand tomber. C’est-tu pas merveilleux!» (Ibid., p. 121) SARCASME 3. «Elle a pleuré. Sûrement des larmes de crocodile avec lesquelles on pourrait faire une valise.» (Ibid., p. 128) 4. «Il faut l’admirer, l’idolâtrer, l’aduler, lui vouer un culte, parce que soi-disant il peint de beaux tableaux… Tuer le veau

savoir officiellement. Avis, notification. 2°Action de dénoncer (une mauvaise action). Accusation, Délation, Trahison. Dénonciations calomnieuses. Dérision : n.f. 1°Mépris qui incite à rire, à se moquer de (qqun, qqch). Dédain, Ironie, Mépris, Sarcasme. Tourner en dérision : se moquer d’une manière méprisante de. 2°Chose insignifiante, dérisoire. Eloge : n.m. 1°Discours pour célébrer qqun ou qqch. 2°Jugement favorable qu’on exprime au sujet de qqun. Compliment, Félicitation, Louange. « Sous

l’homme) devient homme quand il rit. Le rire est d’abord une émotion qui apparaît dans le soulagement lié à la cessation de danger. Dans la mythologie grecque on trouve Momos, fils de Nux (la nuit) dieu de l’Olympe. Il présente la raillerie, le sarcasme, la moquerie qui engendre le rire. *Antiquité Pendant l’antiquité romaine, on fête Saturne, dieu des moissons (Cronos en grec) dans les Saturnales. Les Atellanes (=catégorie de comédie du théâtre latin IVe S) sont des farces burlesques, tournant

registre sert à mieux dénoncer la guerre. ¤Ironique : A l’intérieur de cette vision élogieuse de la guerre, démystification de la scène. Moquerie + raillerie => légèreté du discours : aspect ludique. ‘’Enfer’’ => la guerre. Sarcasme Contraste entre héros et coquin. ¤Pathétique : -l.15-25 : burlesque grotesque (humour noir) -vision de la mère massacrée - Les héros : monstres barbares. Le pathétique touche le lecteur. V) Conclusion

(découvrit deux dents d’or). Un autre example de ce jeu de focalisations presente dans la description de M. Reseau. La fin de cette tirade s’adressait à un monsieur ennuyé, que nous sûmes ainsi être notre père. Nous pouvons ressentir ici une note de sarcasme envers leur pere. Dans la proposition suivante il y a le regard de garcon. Il est stupéfait avec les chaussures et la taille de nez de son pere. De nouveau il y presente la description photographique de garcon. Il portait un grand nez et des bottines

pour ces deux personnages est plus fort que tout, même plus fort que la peur. Ensuite, le départ de sa mère et son amour pour Clarence rendent le jeune garçon dépressif. En effet, Léon ne rit jamais et la seule forme d’humour qu’il emploie est le sarcasme. Il décrit les gens de son entourage en les comparant à n’importe quoi. Par exemple, en parlant de son père, le jeune garçon dit : « le pouvoir lui allait aussi mal qu’à un policier qui aurait gardé son pyjama […] »[3] et ce n’est que le début d’une

L’opposition entre le statut social du maître et le fait que celui soit plus apeuré que son valet par la situation est comique, le spectateur se moque d’Iphicrate en même temps qu’Arlequin : « Ah ! je vous plains de tout mon cœur, cela est juste » (sarcasme) « je vous plains, par ma foi, mais je ne saurais m’empêcher d’en rire ». Comique de situation, comique de caractère (couard). II. L’enjeu de la pièce : le conflit entre maître et esclave Comme vu précédemment, la scène d’exposition permet de

même tps très irrespectueuse de se moquer de sa maitresse sans même a désigner » En contraste, elle emploie le pronom personnel "je" significatif du lien rompu entre maîtresse et suivante, se référant à sa propre identité. Ainsi, elle traite avec sarcasme et mépris celle qui l'a faîte souffrir. De plus, étant de ce fait maîtresse à son tour elle peut adopter librement la parole, indicateur de prise de pouvoir, ayant la liberté d'exprimer ses pensées sans menace et elle s’en donne à cœur joie. une