Sarcasme

pièces charmantes le montrent amoureux d’espiègles fillettes. Mais dans ce lot brille déjà la très offensive Vénus anadyomène qui ne sort plus de la mer comme celle de Bouguereau, mais d’une baignoire, «Belle hideusement d’un ulcère à l’anus». Le sarcasme fait tout naturellement partie de son langage, et il commence à camper toute une série de grotesques – bourgeois de À la Musique, ecclésiastiques d’Un cœur sous une soutane. Portée par les événements, sa colère trouve un aliment tout frais dans

ridicules → litote, qui en dit plus en feignant d’atténuer le propos « Contemple-les » : impératif dont l’admiration sous-entendue (par l’idée de contemplation) est démentie dès la fin du vers par le terme affreux (antithèse : contempler / affreux) → sarcasme → Lexique ouvertement péjoratif : affreux, ridicules, terribles), adverbe évaluatif qui intensifie le jugement (degrés de l’adjectif) : « vraiment affreux » → Noter les rimes qui renforcent ce jugement, associant tous les termes péjoratifs : affreux

Jocaste.Annonce du plan 1. L’homme face aux Dieux a) impiété ironique de Jocaste : - formule ironique de Jocaste « Ecoute ce que sont devenus les oracles augustes d’un dieu » - dans la tirade d’Œdipe, sarcasmes sur les prédictions de « Pytho » sur les oiseaux qui criaillent » : formule méprisante, déjà pendant son entrevue avec Tirésias , Œdipe se flattait d’être plus habile que le devin, sa,ns recourir aux oiseaux. - Formules dévalorisantes

ceux de sa race, à un tempérament aucunement précis. Elle peut devenir subitement enragée tout comme son caractère peut devenir doux comme celui d'un agneau en quelques secondes seulement. Malgré ce trait, Ambre est surtout joyeuse, aimant user de sarcasme et d'ironie. Ambre peut-être totalement réservé comme extravagante sans bon sens! Son caractère passe toujours du coq à l'âne. De plus, Ambre a de petites tendances sado-masochistes. Et ce, quelle que soit son attitude du moment! Arme(s): Préférant

parodie, elle est omniprésente dans le conte. Voltaire se sert d'oeuvres connues pour exprimer le plus efficacement ses idées. Pour l'ironie, il dénonce par l'absurde une situation intolérable, un scandale au sens le plus fort du terme, en utilisant le sarcasme, pour interpeller le lecteur. Et enfin pour l'implicite, l'art de raconter permet de détourner la narration vers un autre projet : la polémique et la dénonciation. Pour conclure, La satire est représentative de la morale que l'auteur veut en dégager

charmeur qui sans gène s'assit près d'elle lorsqu'il fût arrivé à sa hauteur. - "Oh... Malick ! Que fais tu ici ? Tu n'étais pas sencé être en retenue ? Ou bien entrain de feuilletter un de tes TomTom et NaNa ?" demanda-t-elle avec lassitude et sarcasme. - "Ah ah ! Ton humour c'est amélioré à se que je vois... Et toi ? Que fais tu ? Ah non ! Ne me dis rien, je sais ! Tu lis n'es ce pas ? Un Martine ? Ou un Ange et compagnie ?" dit-il d'un ton moqueur. - " Je vois que tu connais bien le sujet.

souffrance L'oiseau est victime des jeux cruels des marins : les moqueries des hommes s'entendent dans les exclamations v9 v10 v12 un rire mauvais se répercute à travers les allitérations dures en 'k' (comme, comique, qu'il) ils rivalisent de sarcasmes à travers la symétrie de construction du 2è hémistiche 9 10 ils surenchérissent dans la persécution, dans l'alternance v12 qui introduit un crescendo : l'oxymore « infirme qui volait » marque l'acmé de la douleur avec l'imitation Les hommes se

mentionnés ci-haut. Par contre, mettons les choses au clair. Il est évident que dans les deux textes la joie n’est pas le thème prédominant. La joie est traitée de façon triste, mais est tout de même évoquée. Nelligan, l’exploite souvent avec le sarcasme, tandis que Garneau parle d’une joie certes, mais qui semble inaccessible. Dans le texte d’Émile Nelligan on voit clairement la gaieté de l’auteur vers la fin du poème. En fait, le poète se rend compte qu’il a atteint le bonheur après toutes ses

personnage infidèle, séducteur, libertin, blasphémateur : Dom Juan, jeune noble accompagné dans ses aventures par son fidèle valet Sganarelle. Jeune et beau, il est méchant homme d’une insolence totale, parfois violent, se sert de l’ironie et du sarcasme, de l’impertinence et de l’offense. Il transgresse les règles sociales, il vit à l’écart, il est constamment en fuite (face aux frères d’Elvire notamment), et il représente un danger pour la société car il séduit toutes les femmes, y compris celles

registre comique (on cherche à faire rire ou sourire) comporte de nombreuses nuances importantes : la satire (registre satirique) est une critique, virulente et moqueuse, d’un ridicule, d’un défaut ou d’un vice; elle est proche de la raillerie, du sarcasme ; elle utilise la déformation par exagération, peut se rapprocher de la caricature. l’ironie (le registre ironique) - du grec eironéia, " interrogation " : il faut que le lecteur s’interroge sur ce qu’on a pu vouloir dire - consiste à dire