Sarcasme

Violemment hostile au coup d'état du 2 décembre 1851, Victor Hugo se réfugie à Guernesey d'où il ne reviendra qu'après la chute du 2nd Empire, 20 ans après. Dans Les Châtiments, il proclame son admiration pour Napoléon Ier, pour mieux accabler de ses sarcasmes Napoléon III qu'il a surnommé "Napoléon le petit". Cette œuvre dont le premier texte s'intitule "Nox" (nuit) et le dernier "Lux" (Lumière) révèle un engagement qui jamais ne faiblira. La tonalité est d'ailleurs donnée par la préface ou Hugo écrit

fils fait la guerre » La mère: « La mère fait du tricot » Le père: « Il fait des affaires » Voilà l'auteur nous annonce la couleur, c'est ce qu'ils sont, c’est naturel, c’est comme sa ils ne se posent pas de questions, chacun à sa fonction. Le sarcasme domine le poème : «  Il trouve ça tout naturel le père » « Elle trouve ça tout naturel la mère » «Ils ne trouvent rien absolument rien le fils » Les trois individus sont bêtifiés, le poète est exaspéré car ils ne remettent rien en question, et

fanatiques « puisent leur fureur dans la religion qui les condamnes » ( paragraphe 2 ). Auparavant, Voltaire a enchaîné plusieurs exemples de cruauté présents dans les textes religieux fondateurs, mais on remarque une forte présence des exemples de sarcasme et d'ironie : voir la définition de l'enthousiasme, voir aussi ironie présente dans la description des actes de bravoure « coucher avec lui » « hachée en morceau ». Il dénonce également les frénétiques qui avaient des convulsions miraculeuses. Il

l'idéal du matérialisme, de la débauche et de l'impiété. II est, comme Faust , un symbole de l'éternel problème de la vie : après avoir suivi une voie différente, il arrive au même but, il se rencontre avec lui dans une même idée de doute, dans le même sarcasme contre le monde et contre Dieu. La légende de Don Juan est d'origine espagnole. On racontait qu'à Séville, sous le règne de Pierre le Cruel selon les uns, au temps de Charles-Quint selon les autres, un certain Don Juan, de l'illustre famille Tenorio

fièvre ; mais pendant que je rêvais ainsi, il m’a semblé tout à coup que ces noms fatals étaient écrits avec feu sur le mur noir …. Rêve, vision ou réalité, je serais devenu fou ». Enfin, la souffrance et l’agitation du condamné autorisent l’emploi de sarcasme. D’un part, le condamné se moque de son destin : « j’irai à mon tour les rejoindre au cimetière de Clamart. Où l’herbe pousse si bien ! … C’était l’araignée que j’avais dérangée et qui s’en fuyait ». D’autre part, le condamné essaie d’être raisonnable

habitué le lecteur. L’univers de la narration se tisse dans l’absurdité, l’irrationalité, l’incohérence. Il se tisse également dans le fragment, la déconstruction et la discontinuité. L’écriture sollicite les figures de l’ironie, la dérision et les sarcasmes qui sont autant de clins d’œil pour le lecteur dont la contribution est constamment maintenue en éveil pour décrypter les discours sous-jacents que lui adresse l’auteur. 333 Synergies Algérie n° 4 - 2009 pp. 333-334 Faouzia Bendjelid La dislocation

recommandées, …) * Glorifie un collaborateur un jour pour mieux le démolir ensuite * Très fier de pouvoir dire: « il m’a résisté, je l’ai cassé ». 7 L’Anxieux Agressif Agressif de manière plus ou moins voilée avec les autres: * ironie, sarcasmes, taquinerie, «blagues» * Rejet, indifférence * Avec les femmes: machiste et sexiste 8 Le Manager Incompétent Essaie de masquer son incompétence. Va avoir tendance à: * Minimiser les mérites des autres * S’attribuer les réussites des autres

d'évoquer la mort malheureuse de Jason, qui selon la tradition se suicide ou est écrasé par la poupe de la nef Argo (1386 sv.).Cf. arguments 1. Un nouvel échange s'amorce entre Jason et Médée, fait de répliques brèves dans une métrique chorale. Les sarcasmes de Médée accablent Jason. Elle lui refuse d'embrasser ses fils, pour lesquels il a des accents de tendresse qu'interrompe l'envol du char de Médée. Dans sa dernière réplique, Jason invoque à son tour Zeus et prend les dieux à témoins de sa détresse

l’amour qui me jette sur tes traces ».Il lui donne des ordres « arrête » ; « modère ta course » ; « ralentis ta fuite ». Et il la traite aussi « d’imprudente ». 3) Et un dieu qui fait preuve de sarcasmeApollon utilise aussi le sarcasme avec Daphnée, il lui dit : « Prends garde de ne pas tomber en avant ! Que tes jambes ne subissent pas, indignement blésées, la marque des ronces et que je ne sois pas pour toi une cause de douleur ! » par là il entend de manière très ironique que

qui devait être le Capitaine Fraiser. Elle était la seule qui correspondait à la description faite par O'Neill, bien qu'elle soit tout de même beaucoup plus grande qu'une Lilliputienne. Bien sûr qu'elle l'est, s'admonesta Sam. Le Colonel, avec son sarcasme habituel, avait largement exagéré. Pour autant que Sam puisse voir, elle avait cependant l'air à peine assez vieille pour être dans l'armée, et certainement tout juste assez pour être Capitaine, médecin de surcroît, responsable de l'infirmerie d'un