Sartre La Nausée

 L’Étranger est le premier roman d’Albert Camus, paru en 1942. Le roman, réaliste, est associé au mouvement existentialiste (XXè) dont le chef de file, Jean-Paul Sartre, fut un ami de Camus. L'auteur, Albert Camus, Philosophe romancier et dramaturge, est né en 1913 en Algérie, et est mort en France à l'âge de 46 ans. Il fait parti des auteur contemporains. Le roman laisse place au sentiment de l'absurde, et l'absence de sens dans l'existence est également à l'œuvre dans l'essai Le Mythe de Sisyphe

l’inverse, chez Alexandre Dumas, d’Artagnan apparaît doté de toutes les qualités d’un héros formidable qui, courageux, intelligent, habile à l’épée, se jette avec générosité dans le combat pour une cause juste. Au contraire, le narrateur de La Nausée de Sartre déroute le lecteur. Il s’agit d’un être ordinaire qui contemple ses mains et rapporte longuement, avec complaisance, les sensations qu’il éprouve à leur vue et à leur contact : aucune action, aucun sentiment, mais une sorte d’insistance pesante

Dans Les Mots, Jean-Paul Sartre écrit : « Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée. » Pensez-vous que la littérature soit efficace pour défendre ses idées ? En vous appuyant sur les textes du corpus sur les œuvres étudiées en classe et vos lectures personnelles, vous répondrez à cette question.Différents genres littéraires comme le roman, la fable, la poésie ou encore l'article de presse sont utilisés par les auteurs engagés du XIllème siècle au XXème siècle pour faire passer un message dans le

mouvement littéraire du XXème siècle ayant pour principe que la condition humaine est dénuée de raison d’être, de finalité, de valeur. Il a pour représentant principaux Alfred JARRY (« Ubu roi »), CELINE (« Voyage au bout de la nuit »), Jean-Paul SARTRE (« La Nausée ») et Alfred CAMUS («  L’Etranger »). Dans la littérature absurde, le personnage a des sentiments mélancoliques et pessimistes à cause du non-sens du monde qui l’entoure. Lorsqu’il essaie d’expliquer l’absurde par un discours rationnel, le

contradictoires comme le Classicisme et le Romantisme ou le Cubisme et l'Expressionisme. Mais, aucune recherche portant sur la littérature ne saurait ignorer l’essai de Jean-Paul Sartre, Qu'est-ce que la littérature ? , publié pour la première fois, en plusieurs parties, en 1947, dans la revue Les Temps modernes dirigée par Sartre lui-même (et fondée par celui-ci en 1945). L'essai est repris en 1951 dans Situations II, publié aux éditions Gallimard, puis en 1964 chez le même éditeur. Ce texte pourrait

34): 1. Le misanthrope est homme: il faut donc bien que l'humaniste soit misanthrope en quelque mesure. Mais c'est un misanthrope scientifique, qui a su doser sa haine, qui ne hait d'abord les hommes que pour mieux pouvoir ensuite les aimer. Sartre, Nausée, 1938, p.152. − Au fém., rare. C'était déjà une petite misanthrope: (...) elle croyait tous les hommes aussi méchants (Stendhal, Lamiel, 1842, p.96). 2. Emploi adj. [En parlant d'une pers.] Il pensait et disait volontiers du mal de tout le monde

passé: La princesse de Clèves; dans le futur aussi, car l'histoire c'est aussi le futur : toute oeuvre de science fiction possible) II/ Le roman ne possède pas qu'un intérêt ludique: il permet aussi de faire réfléchir (on peut penser à La Nausée de J-P Sartre), critiquer sous le couvert d'une évasion (on peut penser au roman épistolaire des Lettres Persanes, de Montesquieu) III/ Il faut outrepasser cette conception de la passivité du lecteur: le lecteur ne fait pas que recevoir, il participe

p156-159 « L’après-midi…trop fatigué » 5. L’épilogue (II, 5) p182-184 « Lui parti…de haine » B. Etudes transversales. 1. La narration. 2. Le personnage de Meursault. 3. L’absurde. 4. Une autre œuvre de Camus. 5. (La nausée de Sartre) C. Lecture cursive . Au choix : * Balzac Le père Goriot * Flaubert Madame Bovary ; L’éducation sentimentale * Stendhal Le rouge et le noir Séance 1 : Camus et L’étranger. Paru en juillet 1942 dans la France occupée

nous allons nous intéresser à la dimension absurde de cette question : pourquoi y a-t-il qqch plutôt que rien. D’abord, nous verrons que l’existence n’a pas de justification et encore moins de causes. C’est l’idée défendue par Jean-Paul Sartre dans son roman La Nausée, où il remet en question le sens que l’on donne à sa propre existence. Son personnage, Roquentin, tente de répondre à l’énigme philosophique : Pourquoi existe-t-on ? Il découvre la contingence, c’est-à-dire la possibilité de ne pas être

l’oppression extérieure et le malaise intérieur, comme le marque l’expression « en proie aux longs ennuis » (v. 2.) L’ennui, ici, n’est bien sûr pas synonyme de désagrément (sens faible qui domine aujourd’hui), mais de dégoût de la vie, de soi-même, de nausée existentielle. Il renvoie à l’idée de répétition (cf l’anaphore de « Quand ») et de néant : On aura reconnu là le fondement du spleen, qui est une forme plus radicale et violente du « mal du siècle » des romantiques. Le poème va explorer les modalités