Sartre Travail Et Liberte

il nous fait repousser les limites du possible. Platon (427-347 av J-C) Les objets de nos désirs sont des objets transitionnels. C’est l’état de Plénitude ou de Complétude. Ce que nous désirons pour lui, c’est le Bien. Sartre (1905-1980) Sartre dit que l’Homme est un Etre en manque et c’est pour cela qu’il désire que l’Homme est un Pour Soi (Tout autre chose, animaux ou végétaux sont En Soi). L’En Soi coïncide avec lui-même alors que l’Homme ne coïncide jamais avec lui-même, il

que d’autres ne le sont pas. C’est précisément ce qu’il nous faudra élucider, en tentant de voir, justement, ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Enfin, nous verrons en quoi la notion de bonheur est intrinsèquement liée à celle de liberté : l’homme libre, en effet, est responsable de sa propre existence, et par conséquent de son propre bonheur. PROPOSITION POUR UN PLAN I- Qu’est-ce que le bonheur ? a) Différence entre le plaisir, la joie et la béatitude. Aristote – Spinoza

CITATIONS SUR LA LIBERTÉ ...       " Dans le plupart des pays, les citoyens possèdent la liberté de parole. Mais dans une démocratie, ils possèdent encore la liberté d'avoir parlé ". André Guillois.  " Le visage de mon prochain est une altérité qui ouvre l'au-delà. Le Dieu du Ciel est accessible sans rien perdre de sa transcendance, mais sans nier la liberté du croyant. ". Emmanuel Lévinas.  " Liberté efflanquée vaut mieux que gras esclavage ". Thomas Fuller. "Pour promettre l'Eternité

possède des moyens d'accéder à une certaine connaissance et donc une maîtrise de lui-même. Il est du devoir du sujet de connaître ce qui le gouverne. « Là où était le ça, le je doit advenir. » (Wo Es war Soll Ich werden) Freud III - La question de la liberté du sujet : A - Un sujet libre qui agit selon le futur : Selon Freud, c'est l'inconscient produit par le passé qui influence le sujet. Ernst Bloch voit les choses différemment. Pour lui, toute action présente du sujet est faite par anticipation

et une censure qui est elle-même inconsciente et qui travaille à maintenir les pulsions inconscientes en les refoulant. Dans ce sens, sans conscience il y a une absence de responsabilité. Tout acte refoulé par la conscience, ne pourrait pas être considéré comme nous ayant pour responsable, on ne peut pas prévoir ce qu'il va nous arriver dans 5minutes comme un arrêt cardiaque par exemple. Pourtant la conscience est le fondement de la liberté, du sujet ainsi que de ses aptitudes.  Freud affirme "ça

en découle une lutte première. Le vaincu va se soumettre au vainqueur en choisissant la vie à la liberté. Le vainqueur en choisissant le liberté revendique sa liberté et va utiliser le vaincu comme témoin de sa victoire. Ainsi nait l’esclave, du latin servis, qui a été conservé, qui abandonne son travail. 2. L’indispensable présence d’autrui. L’essence de nos rapports est donc le conflit. Sartre explique de l’erre et le néant que l’autre est indispensable à mon existence en la confirmant mais

INTRODUCTION I – Situation de départ 1 -Postulats communs aux deux axes professionnels : la formation pour publics en difficulté et le sport en centre social 2 - Similitudes des approches 3 – Corrélation philosophique : Sartre II – Illustration philosophique 1 – Rappel de définition du marxisme 2 – Rappel de définition de l’existentialisme 3 – Corrélations et complémentarités 4 – Compléments dans la théorie sartrienne des groupes et rassemblements III – Conclusion

Travail et Liberté Activité 5 1. De la division de travail A travers ce dialogue entre Socrate et Adimante, Platon (428-348 av. J.C.) met en évidence la nécessité de répartir les fonctions et les tâches au sein de la société. L’individu doit se spécialiser afin de produire mieux et plus. « SOCRATE — Faut-il que chacun remplisse sa propre fonction pour toute la communauté, que l’agriculteur, par exemple, assure à lui seul la nourriture de quatre, dépense à faire provision de blé quatre fois

conscience est-elle source de contrainte ou de liberté ? La conscience est la pensée réflexive qui peut revenir sur elle-même et s’analyser. Prendre conscience et se remettre en question permettraient de distinguer le bien du mal pour l’être humain. Mais il n’a jamais été précisé si cette capacité de discernement était une force ou une faiblesse pour l’homme. Nous en venons à nous poser la question la conscience est-elle source de contrainte ou de liberté ? Prendre conscience nous amène à prendre

l’ensemble des évènements que j’ai traversé et que je traverserai. Mais alors je rencontre, d’un côté, le problème de la mémoire : comment je reconstruis ma propre histoire au service de mon identité présente. De l’autre côté, le problème de ma liberté : que je suis est susceptible de me surprendre et de faire des choses dont je ne me serais pas cru capable pour le meilleur ou pour le pire. Faudrait-il pour autant radicalement renoncer à se connaître, ou, du moins à mieux se connaître ? La