Satire 11 De Boileau

.............................55 Scène 9 ...............................................................................................58 Scène 10 .............................................................................................63 Scène 11 .............................................................................................69 ACTE II.............................................................................................71 Scène 1 .........................................

monde . . . . 10. L’enseignement programmé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . -6- 153 154 154 155 156 156 157 157 157 159 159 159 160 160 161 161 164 164 167 168 169 170 171 171 172 176 176 176 181 182 184 186 186 188 188 192 193 194 11. L’enseignement assisté par l’ordinateur (EAO). . . . . . . . . 12. L’enseignement militaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHAPITRE VIII. La science en France . . . . . . . . . . . . . . . . . 1. Un peu d’histoire . . . . . .

pires. Bref, il valait mieux vivre sans elles ; aussi Pécuchet était resté célibataire. — « Moi je suis veuf » dit Bouvard « et sans enfants ! » file:///C:/Users/Rectorat/Desktop/Gustave Flaubert - Œuvres - Bouvard et Pécuchet.htm 1/117 29/11/13 Gustave Flaubert - Œuvres - Bouvard et Pécuchet — « C’est peut-être un bonheur pour vous ? » Mais la solitude à la longue était bien triste. Puis, au bord du quai, parut une fille de joie, avec un soldat. Blême, les cheveux noirs et marquée

yeux froids, de mes yeux d’eau, et il lâche ma main. Je le regarde, jusqu’à ce que son désir glacé lui glace le cœur » (l. 13). C’est ici la figure de la femme froide et déterminée qui use de ses yeux comme une « arme contre le désir des hommes » (l. 11), perçus comme simples « mâle(s) », qu’elle veut dominer et punir, telle une mante religieuse qui dévore le sien après l’accouplement ou la Gorgone Méduse qui pétrifie ses proies. D’ailleurs, elle est associée à l’élément « eau », à la glace et sa

yeux froids, de mes yeux d’eau, et il lâche ma main. Je le regarde, jusqu’à ce que son désir glacé lui glace le cœur » (l. 13). C’est ici la figure de la femme froide et déterminée qui use de ses yeux comme une « arme contre le désir des hommes » (l. 11), perçus comme simples « mâle(s) », qu’elle veut dominer et punir, telle une mante religieuse qui dévore le sien après l’accouplement ou la Gorgone Méduse qui pétrifie ses proies. D’ailleurs, elle est associée à l’élément « eau », à la glace et sa froideur

éphémère : les sentiments évoqués sont à la fois particuliers et universels. 3) Cadre spatial : il s’agit d’un cadre naturel : le lac est évidemment l’élément central de ce décor, largement évoqué à travers diverses expressions (v.6 « flots chéris », v.11 « l’écume de tes ondes », v.14 « l’onde », v.16 « tes flots harmonieux », v.18 « Du rivage », v.19 « Le flot ») ; dans les derniers vers il est également fait mention d’autres éléments : « rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! » (v.49), « qu’il

yeux froids, de mes yeux d’eau, et il lâche ma main. Je le regarde, jusqu’à ce que son désir glacé lui glace le cœur » (l. 13). C’est ici la figure de la femme froide et déterminée qui use de ses yeux comme une « arme contre le désir des hommes » (l. 11), perçus comme simples « mâle(s) », qu’elle veut dominer et punir, telle une mante religieuse qui dévore le sien après l’accouplement ou la Gorgone Méduse qui pétrifie ses proies. D’ailleurs, elle est associée à l’élément « eau », à la glace et sa froideur

ordre alphabétique utilisé pour l’ensemble de la partie biographies, Salvador Dalí, Raoul Dufy, Alberto Giacometti, Francisco de Goya, Le Corbusier, Henri Matisse, Michel-Ange, Pablo Picasso, Auguste Renoir, Jean-Paul Sartre et Léonard de Vinci : ces 11 personnages ont dépassé l’espace, que je m’étais fixé, de par leur grandeur et par un choix de ma part probablement pas du tout innocent ! 6 J’ai ajouté aussi la représentation visuelle de quelques unes des pièces, gravures dans ses différentes

terminer par un développement sur la « littérature au second degré ». J’indique entre parenthèses les titres des parties, qui doivent évidemment disparaître dans la présentation définitive de la copie. ( INTRODUCTION ) Le Roman de Renart est une satire au sens étymologique du terme (mélange). A la fois « roman » (au sens de narration en langue romane) héroï-comique et burlesque, parodie (l’auteur des branchez II et Va commence son texte par une imitation des chansons de geste) mettant en scène des

.................................................................................................. 10 Pour aller plus loin ............................................................................................................................. 11 Piste 3 : L’amour la poésie, ou le sens du lyrisme ................................................................................ 12 1. Dire le désir : permanences et variations des discours amoureux .......................................... 13 2