Satire Des Médecins

 Rabelais, Gargantua, 1534 Auteur : Rabelais était un prêtre, médecin et écrivain, il est mort en 1553. Il a beaucoup voyagé en Europe et notamment en Italie, qui l’a inspiré. Mouvement : Période : Renaissance qui est le passage du Moyen-âge au monde Moderne. (Découverte des textes antiques, découverte de nouveaux mondes, nouvelles cultures +évolution des sciences et du technique = imprimerie, cartographie, chirurgie) HUMANISME. L’art devient la préoccupation essentielle de l’Homme) Œuvre :

bâtonner le jeune Arouet après que l'auteur de Zaïre eut dénoncé sa tricherie au jeu de la reine. Mais d'une manière générale, Voltaire égratigne tout le monde : le fanatisme des prêtres et leur ignorance, la vénalité des ministres, la sottise des médecins, le coût de la justice et son manque d'impartialité. Sans arrêt, nous devons chercher les clefs qui nous ramènent à la Régence ou au règne de Louis XV. En fait derrière la fiction babylonienne, Voltaire nous brosse le portrait de Paris, n'hésite

de ce siècle, se démarque par ses comédies qui critiquent les vices et les travers humains. Dans le Malade imaginaire , une comédie ballet qui a vu le jour en 1673, met en scène Argan, un hypocondriaque, exploité par des médecins charlatans, et qui veut marier sa fille à l’un

lui faisant croire que des soldats l’attaquent. On pense encore à la scène de fausse consultation dans Le Médecin volant où Sganarelle boit de l’urine pour déterminer de quoi Lucinde est malade. Mais au théâtre, il n’est pas que les gestes qui peuvent divertir, souvent les auteurs pour faire rire et divertir le spectateur ont recours au comique de caractère et c’est souvent à travers la satire d’un personnage caricatural que l’on rit. Par exemple dans le vaudeville d’Eugène Labiche, Le voyage de M

INTRO (1min) : · Texte + nom + œuvre 1673 JB Poquelin Le Malade Imaginaire· Acte III scène 10. Dans ce passage, Toinette se déguise en médecin pour poussez le jeu le plus loin possible afin de décrédibiliser les médecins et créer un électrochoc. LECTURE (2min)1. Décrédiliser Purgon et sa médecine 1. Diagnostic exagéré de Toinette qui soigne les déséquilibres du corps pas la surenchère. 1. Bilan de la visite/ réaction entre Béralde et Argan. Pb : (voilà la pb que

aussi présente dans le texte : en effet, La Fontaine fait une satire des médecins. Ils les qualifient comme étant des fraudeurs : « médecins, il en est de tous arts » (vers 5), «  de toutes parts » (vers 6), « de tous côtés » (vers 7) : la répétition de l’adjectif indéfini « tout » montre bien que toutes sortes de médecins viennent de partout : il y a aussi bien des médecins qualifiés et expérimentés que frauduleux ! De plus, les médecins sont comparés à «  des donneurs de recettes » (vers 7), c’est-à-dire

sous un tout autre aspect, à savoir une représentation de la maladie de Paget qui déforme les os. On suppose qu’à ce titre, Metsys aurait pu vouloir retranscrire une part de cette réalité car l’artiste s’intéressait beaucoup aux difformités. Deux médecins anglais qui ont étudié avec une grande attention ce portrait émettent cette hypothèse. Selon eux la vieille femme grotesque représentée ici, aurait une maladie de Paget et c’est de manière précise qu’il l’a peinte. La maladie de Paget est une dystrophie

l’anéantit et l'inspire pour les dix années qui suivent (Mademoiselle Fifi, Une vie, etc.). En 1891, il avoue à son médecin: « Il y a des jours où j'ai rudement envie de me foutre une balle dans la tête. ». Un an après, à Nice, il s'ouvre la gorge. Son état physique est mental s'aggrave de jours en jours, ses malaises sont de plus en plus fréquents. En janvier 1892, il est interné par ses médecins à la clinique et c'est là-bas qu'il mourra le 6 juillet 1893, âgé de 43 ans, après de longs mois de délires

Cléante, Béralde, Toinette. Sujet : Cette ultime comédie de Molière est à la fois une satire du monde des médecins et l'étude du cas moral posé par un respectable bourgeois, Argan, qui s'imagine être un grand malade. Après l'obsession du cocuage avec Arnolphe (L'École des femmes), l'obsession de la dévotion avec Orgon (Le Tartuffe), ou de l'argent avec Harpagon (L'Avare), voici celle de la maladie et des médecins avec Argan. Les extravagances de ces maniaques pourraient n'être que dérisoires et comiques

charlatans pour parvenir à cela ; la seconde, deux courtisans le Loup et le Renard, rivalisent de cruauté pour s'éliminer mutuellement et s'attirer les faveurs du roi. A travers le travestissement animal et le registre burlesque, La Fontaine fait la satire de l'absolutisme royal et des courtisans. I - Une parodie de conte : un roi crédule, une cour de charlatans et de bonimenteurs 1) Le caprice du monarque : la quête impossible de l'éternelle jouvence On constate de la part de l'auteur, une