Satire Sociale Dans Candide

elle est écrite pour susciter « crainte et pitié » chez le spectateur (Aristote). La comédie : un genre très riche et vivant qui s'étend du XVIIe siècle à nos jours. Elle bénéficie d'une liberté de forme et de ton et a souvent pour objet la satire sociale, politique ou religieuse. Le drame : inventé par Diderot au XVIIIe siècle, il mêle les registres sérieux et légers en multipliant les intrigues sur des sujets de la vie quotidienne des spectateurs. C La représentation théâtrale La mise en scène

Voltaire Candide, chapitre 1 Introduction      Dans ce début de chapitre 1 de Candide, Voltaire donne l'image du meilleur des mondes possibles, avec des préjugés sur l'innocence (cf. Eden), et plein d'illusions sur la réalité. C'est l'incipit du conte, et il a pour fonction de présenter les personnages, le contexte, la situation initiale. Cela se fait par petits paragraphes successifs, correspondant à peu près chacun à un personnage; le chapitre est clôt par le départ de Candide et sa découverte

sens, qu’elle progresse comme avec Don Quichotte de Miguel de Cervantès, qui est un rêveur idéaliste et défenseur des opprimés. Le roman a également une dimension sociale et politique, il permet de présenter la vision que l’auteur a de la société et de transmettre son point de vue. C’est une littérature engagée comme pour Candide de Voltaire qui parcourt le thème de l’esclavage et le rouge et le noir de Stendhal qui nous apprend surtout les comportements de la société. L’analyse des sentiments

dans lequel il vit. 1. L’écrivain critique, dénonce afin d’améliorer la société : 1. Suivant l’exemple des auteurs du XVII° qui aspirent à « plaire et instruire », l’écrivain peut critiquer les travers de son époque à travers une satire sociale ou morale, ceci afin d’amener le lecteur à réfléchir et à s’amender. Ex : les moralistes du 17° que sont La Fontaine (Fables) , Boileau et ses Caractères, La Rochefoucauld et ses Maximes, mais aussi les dramaturges avec Molière et le fameux « Ridendo

CHAPITRE 8 : Candide, Voltaire Livre lu et analysé en classe : VOLTAIRE, Candide Extraits de Lettres persanes de MONTESQUIEU. Objectifs : Critiquer et interpréter un texte littéraire Apprentissages : - Le siècle des Lumières - Approche de l’œuvre de Voltaire - Influence des Lumières chez Voltaire. Compétences abordées dans ce chapitre : - C1 : lire un texte littéraire présentant le point

→ Rousseau. 6. Thomas More : 1516, c'est un humaniste anglais catholique. Texte très neutre qui décrit un pays de l'utopie. C'est de la littérature d'idée, de l'utopie. L'île d'utopie est évoqué dans sa géographie et dans son fonctionnement sociale. Pays imaginaire. I. Les caractéristiques de l'île * Un lieu retiré, à l'écart. * Champ lexical de l'île. * Aménagé pour la protection. * Un lieu qui a une prédisposition idéal. * Symétrie qui connote la perfection. II. L'île

plusieurs difficultés face au pouvoir religieux et tyrannique de l’époque. De même, à travers les personnages du roman épistolaire , les Lettres persanes, Montesquieu donne sa propre idée surprise des gens, des modes, des rues, etc. Cette œuvre est un satire des mœurs française à la fin du règne de Louis XIV. A travers des récits de voyages de personnages étrangers se rendant en France, on les retrouve surpris de ce qu’ils peuvent observer, à cause de préjugés et idées reçues positives de ce pays. Ainsi

découvre les théories d'Isaac Newton et la philosophie de John Locke qui l’influencera fortement. Il est marqué par la grande liberté d'opinion dont jouissent les Anglais. Il forme le vœu de tout faire pour réformer la société française au niveau social et judiciaire. Sa lutte contre l’intolérance et le fanatisme religieux De retour à Paris en 1729, il fait jouer ses deux tragédies Brutus (1730) et Zaïre (1732), qui connaissent un grand succès. À quarante ans, Voltaire connaît un prestige

| | |la chanson (légèreté de la forme) | |4. Genre didactique[xi] |Enseignement moral, politique et |Connaissance (des autres et de soi)|La satire[xii] (où la morale l’emporte sur le récit)| | |philosophique | |et la fable (où le récit l’emporte sur la morale) | |B. PROSE

échos sur cet ouvrage, son libraire déclare qu'il « vaut mieux que Candide en ce qu'il est infiniment plus vraisemblable ». La force de l'ouvrage ne vient pas seulement de cette vraisemblance, mais aussi de la mixité des formes et des thèmes. Il est à la fois conte philosophique, apologue, satire et roman, et vient critiquer les doctrines des jansénistes et des jésuites, ainsi que l'empire de la religion, des conventions sociales et de la hiérarchie qui s'organise autour du pouvoir, entre autres