Satire

Incipit de Candide, Voltaire I. Le schéma du conte traditionnel 1) Les éléments du conte 2) Des personnages stéréotypés II. Satire de la société féodale 1) La dénonciation des préjugés nobiliaires par l'ironie 2) La critique de la superficialité III. Satire de la philosophie optimiste 1) L'optimisme 2) Pangloss, caricature de la philosophie optimiste, dogmatique et grotesque Problématique: En quoi ce texte est-il le début d'un conte satirique? Introduction: Le XVIIIe marque

forme poétique au cours des siècles. - Caractéristiques de l'éloge et du blâme. Lecture cursive : Paul Verlaine, Poèmes saturniens. SQ1, s.1 : Nicolas Boileau, Satires VI (1660), « Les embarras de Paris » (p.247). > Remarque sur le genre ? la forme ? (poème, alexandrins, rimes suivies) > Je lis le poème. > Qu'est-ce qu'une satire ? (rappel) De quoi se moque-t-il ici ? > Eléments pour l'introduction du commentaire de ce texte : XVIIe : démographie de Paris explose, multiplicat° des transports

pimpant, enjoué adroit (...) ». Ce portrait physique malgré qu'il soit a première vue plausible est ironique, et est écrit sur le ton du registre satirique, ironique et épique. Mais cette satire physique n'est pas la seule que fait Rabelais aux moines et plus généralement à la religion. En effet, il fait aussi la satire de l'inaction et de la parole stérile de ces derniers. Cette critique est mise en valeur par le passage ou le frère Jean trouve les autres moines réunis ensemble a chanter des chants

même= dire le contraire de ce que l’on pense, et l’humour vient des hyperboles amusées du premier paragraphe. ( Montesquieu sait dresser un tableau vivant de la société parisienne. Cependant cet art du conteur est au service d’une SATIRE (transition). II- Une satire de la société A laquelle il reproche… • une curiosité grégaire et superficielle : - grégaire ( énumération « vieillards… tous » l.4 + groupes au pluriel « LES femmes, CENT lorgnettes » l.7/9, presque embarrassant.

de la justice. ( ex avc le pauvre pécheur) Satire politique : Les intrigues de la cours de Babylone évoquent celle de la cours de Louis XV Satire politique passe par l’image du Roi Moabdar, roi influençable et tyrannique. Zadig est victime du caprice du pouvoir : le roi détient tous les pouvoirs. Mme de Pompadour est associée à Missouf= La Belle Capricieuse. Les personnages répartis en adjuvants et opposants permettent de faire la satire de la cour. Avec les affrontements des personnages

Puis il fait allusion à Napoléon III V 26 : « vive l’empereur ! et vive le salaire !… » Antiphrase Le poète s’oppose clairement au régime de Napoléon III et utilise l’ironie pour le faire comprendre aux lecteurs . III . Une violente satire 1) Une satire générale Chaque catégorie sociale a le droit à des reproches Il organise sa pensée par strophe § 1 : Les courtisans , charges assez précises, le fait de les appeler courtisans connote le reproche. V 4 : terme religieux « apostats »

principes morales. Il dresse en effet le portrait de deux frères : Eugène, ayant une ambition démesurée pour le pouvoir, et Aristide, avide de faire fortune. Ces archétypes servent Zola dans sa critique, puisqu’avec le personnage d’Eugène, il fait la satire des Bonapartistes, et avec celui d’Aristide, il caricature le partisan opportuniste. Il montre plus généralement à travers ces deux personnages les caractères cupides, vaniteux, féroces, et violents de beaucoup de personnes au milieu du 19eme siècle

==> Arrias ne respecte pas les bienséances contredit le code de l'honnête homme, de la mondanité. La Bruyère se moque de ce « mondain » qui ment par pure vanité. Ce portrait constitue un blâme qui vise un défaut moral et social. II. La satire d'un vaniteux Un vaniteux piégé - Outre l'irrespect des bienséances, Arrias est un menteur. Il se laisse emporté par le désir de briller dans la conversation. Il se pense à l'abri puisque le sujet porte sur « une cour de Nord », « région

l'absurdité de la guerre entre les Turcs, les Russes et les Autrichiens. Dans le Monde comme il va, Voltaire critique la guerre entre les Perses et les Indiens, dont les soldats et capitaines ignorent la cause. Dans Candide, l'auteur procède à une satire de la guerre entre les Abares et les Bulgares qu'il juge comme « le premier mal du monde », grâce à de nombreuses amplifications, gradations et accumulations à caractère le plus souvent ironique. Par ailleurs, nous retrouvons tous les grands combats

étranges. Le fabuliste dénonce la servilité de ces derniers dès le vers 2 (l’adverbe « aussitôt » souligne leur empressement obséquieux). La charge se fait plus dure avec le vers 21 à la faveur d’une double animalisation caractéristique de la satire : le courtisan est traité de « caméléon », puis de « singe ». La reprise de « peuple » traduit la colère, l’indignation de La Fontaine. L’accusation est double : l’homme de cour est changeant, oscillant au gré des caprices du prince, comme