Satyre

jusqu’à sa condamnation. L’extrait étudié est un passage de son jugement se situant dans la deuxième partie du livre. Notre problématique sera « Meursault a t-il était condamné pour son crime ou pour son âme ? » La première partie portera sur la satyre de la justice, la deuxième sur l’indifférence totale exprimé par l’accusé lors de son propre procès. Les propos de l’avocat général transcrit par Meursault tel que « il disait qu’à la vérité, je n’en avait point d’âme » « le vide du cœur tel

idées vague, il ne fait pas des propositions de systèmes mais plutôt de valeurs comme le bonheur, la générosité, la soif de justice, le goût du travail et de la culture. Conclusion : Ce texte est certes une utopie mais elle cache cependant une satyre constructive de la société, en effet Voltaire ne fait que proposer de nouvelles valeurs au lecteur qui sont là pour essayer d’améliorer la société de l’époque. Instaurer de nouvelles idées est le principal combat des philosophes des lumières.

II – La dépravation sexuelle 1- Forte image de cette dépravation sexuelle la longue description des candélabres posés sur la table introduisent d'une manière assez forte cette notion de dépravation sexuelle. En effet ces candélabres sont faits de satyre, êtres à corps humain, à cornes et à pieds de bouc évoquant les plaisirs lubriques et l'exhibitionniste, courant et emportant une femme évanouit. Cet objet est très représentatif du viol, de la dépravation sexuelle, et donne à la femme l'image d'un

sur son monde et son temps) Montesquieu porte alors la polyphonie à son point culminant. Plusieurs types de textes : Lettre 48 : -Un portrait -Des confessions -Des diatribes -Des récits (parfois fort long) - Des fables Synthèse : - La satyre, l'érotisme et la variété du livre ont beaucoup plu. On se met alors à écrire plusieurs types de lettres (Iroquoise, chinoise, Siamoise), jusqu'à se faire détrôner par voltaire. On parle même de ton voltairien sur certains passages de Montesquieu

l’histoire est beau, comme le sont toujours les « gentils » dans les contes, au contraire il est dit d’ Orcan, qu’il ne possède « aucune des grâces ni des vertus de Zadig ». On note aussi la présence d’un ange, personnage surnaturel Voltaire fait une satyre de la justice européenne et française en particulier en se cachant derrière le conte oriental afin d’éviter la censure. Il utilise l'ironie pour lui reprocher sa cruauté, le fait qu'elle puisse être intéressée et corrompue et qu'elle soit soumise

constante confusion lexicale entre l'humain et l'animal: le rapprochement à l'initiale des vers 12 et 14, et l'association des vers 30,31 et 33. La parole donné aux bêtes renvoient à l'univers humain. Cette utilisation permet d'éviter la censure et une satyre indirecte du roi et des courtisans, renforcé par les commentaires de l'auteur. B. La morale directe La Fontaine s'adresse au lecteur à l'aide d'impératif: il donne des conseils à l'aide de ce mode. Cette moralité dénonce l'hypocrisie des courtisans

fermé, figé, où les inégalités persistent. Candide est un véritable intrus qui va être maintenu dans cette image de « Paradis Terrestre », dont il ne voit pas les limites. Ce monde traduit des fondements non-acceptables que l’on retrouvera dans la satyre de l’optimisme. III. La dénonciation de l’optimisme et des philosophes optimistes A. L’optimisme Référence à Leibnitz : philosophe Allemand qui théorise avec WOY la théorie de l’optimisme selon laquelle « Tout est au mieux dans le meilleur

un Jeudi soir, jour traditionnel de réception chez le Raquin. Les habitués ont joués aux dominos et ont été ravis de cette soirée « exceptionnellement gaie ». Les convives font l’éloge du couple et de leur appartement, véritable « temple de paix » (satyre de Zola qui se moque du manque de discernement des invités). Une fois partis, les invités laissent le couple face a eux-mêmes. La scène finale est très sombre, pour cela Zola décrit avec précision les préparatifs des meurtriers qui laissent à présager

monarchie tout en avançant masqué. De plus, ce style de correspondance ne peut qu'inspirer le lecteur à la confiance. Cependant, bien que cela ne puisse passer que pour la description de Paris du point de vue 'un étranger, il s'agit bien d'une satyre du roi que Montesquieu a su nous faire parvenir. De plus, il serait intéressant d'étudier le point de vue d'un autre philosophe des lumières afin de comparer opinion sur la capital et les mœurs qui l'entourent.

entre autres choses qu’il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis de petites boites, comme celles que nous voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, sur lesquelles étaient peintes des figures drôles et frivoles : harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes batées, boucs volants, cerfs attelés, et autres figures contrefaites à plaisir pour inciter les gens à rire (comme le fut Silène, maitre du Bacchus). Mais à l’intérieur on conservait les drogues fines, comme le