Saule

expulsés Ernest Pignon-Ernest 1979 Période : XXè siècle Domaine artistique : ''Art du visuel'' Thématiques : ''Arts, espace, temps'' et ''Arts, états et pouvoir '' Matières concernées : L’œuvre est uniquement composée de fusain (branche de saule carbonisée en vase clos) sur du papier Autres œuvres traitant du même thème : ''La maison manquante'', de Christian Boltanski, ''Projet Face 2 Face'', par le français JR et le suisse Marco, ''Napalm'' et ''Le Manifestant'', de Bansky Auteurs

Développez et justifiez votre réponse. William Shakespeare, Hamlet (1601) La mort de la jeune Tarentine semble faire écho à la mort d’Ophélie, la fiancée d’Hamlet dans la pièce éponyme de Shakespeare. Votre sœur, Laërte, s’est noyée. [...] Il est un saule, penché au-dessus d’un ruisseau, Qui mire dans les eaux ses feuilles argentées. Elle en prit pour tresser de fantasques guirlandes [...]. Comme elle se hissait Aux branches qui retombent, afin d’y accrocher Sa couronne de fleurs, un rameau malveillant

parle aux animaux et aux plantes, quand elle est dans la nature il se passe des choses étranges. « Au retour, ils racontèrent à leur parents qu’Emerentia, par sa seule présence, faisaient sortir les fleurs de la boue. » (page 18) Il y a aussi le saule qui s’est cassé quand les enfants et Emerentia sont entrés dans un trou de l’arbre. «-Voilà qu’elle commande aux arbres à présent et qu’ils lui obéissent. » (page 24)

référence au complexe de Caron qui, dans la mythologie grecque, est chargé de faire passer aux âmes des morts, les fleuves des Enfers : symbole du passeur. Et au complexe d’Ophélie qui dans Hamlet est celle qui se noie en voulant déposer des fleurs sur un saule bordant un ruisseau. Elle est dès lors le symbole de la mort jeune et belle et de la rêverie des eaux. Le quatrième chapitre traite de la combinaison, l’union, le mariage des éléments : L’eau et le feu, auparavant étudié dans la psychanalyse

triangle du feu, de la terre et de l'air. " Ecoute ! - Ecoute ! - Mon père bat l'eau coassante d'une branche d'aulne verte, et mes soeurs caressent de leurs bras d'écume les fraîches îles d'herbes, de nénu- phars et de glaïeuls, ou se moquent du saule caduc et barbu qui pêche à la ligne ! " Sa chanson murmurée, elle me supplia de recevoir son anneau à mon doigt pour être l'époux d'une Ondine, et de visiter avec elle son palais pour être le roi des lacs. Et comme je lui répondais que

parce qu’il fallait bien que ça se termine, d’une façon ou d’une autre. On n’en pouvait plus, vous savez. Chacun était comme replié dans son silence, même si à presque quarante personnes dans l’auberge, on se trouvait serrés comme des joncs de saule dans un fagot, à s’étrangler, à sentir les odeurs des autres, leurs haleines, leurs pieds, la poisse âcre de leur sueur, de leurs vêtements humides, de vieille laine et de drap, frottés de poussière, de forêt, de fumier, de paille, de vin et de bière

- Niedersachsen : p16 … hat eine reizvolle und in vielen Gegenden fast unberührte Natur. Es gibt ein Still sehr einfachen. - Stiftskirche St. Michael in Hildesheim. - Kaiserpfalz Goslar  - In Bremen es gibt ein Rolandsäule : es ist eine Säule mit einer Statue der Rolan. Es ist eine Region im Hafen. p18 - In Sachsen-Anhalt es gibt ein « Gotisches Haus » Wörlitzer Park p20 - Berlin : Es gibt alte Denkmäler : (Still der Antike) p24 - Reichstag (Parlamentssitz) - Branderburg

renforcée par l’euphémisme « s’en aller » pour designer la mort. La réplique « je ne peux plus continuer comme ca » reflète l’image du publique qui au fond de lui-même veut échapper à cette pièce incompréhensible mais ne peut pas. N’oublions pas le saule pleureur, métaphore de la vie et symbole de l’élévation impossible. C'est-à-dire, l’incapabilité d’être heureux et de jouir du temps qui reste. Le temps passe sans apporter la moindre modification condamnant les personnages à un ennui terrible. Tout

attendre, Parlent encore de vous en remuant la cendre De leur foyer et de leur coeur ! Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? O flots ! que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds

le maître d'école. Dans ce récit je prétends faire voir D'un certain sot la remontrance vaine. Un jeune enfant dans l'eau se laissa choir, En badinant sur les bords de la Seine. Le Ciel permit qu'un saule se trouva, Dont le branchage, après Dieu, le sauva. S'étant pris, dis-je, aux branches de ce saule, Par cet endroit passe un Maître d'école. L'Enfant lui crie : "Au secours ! je péris. " Le Magister, se tournant à ses cris, D'un ton fort grave à contre-temps s'avise De le tancer : "Ah! le petit babouin