Sauron

de la nouvelle) qui se déroule à la pension de la Riviera, puis le second relatant les vingt-quatre heures de Mrs C. Ces vingt-quatre heures bouleverseront Mrs C. ; elle est veuve et cette rencontre, au casino, de ce jeune homme polonais. Nous ne saurons pas son nom, comme si l’auteur voulait respecter l’anonymat des deux protagonistes. On remarque aussi que la première partie du récit est séparée de la deuxième dans la construction du livre. On a l’impression de changer de chapitre. Il y a aussi

d'entrer et on se sert de notre sonar GPS pour aller à la pêche. La technologie est partout tout le temps et ne cesse de progresser, sans elle le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui ne serait pas le même. Peut-être serait-il mieux? Nous ne le saurons jamais. Alors oui le progrès technologique est clairement une nouvelle forme d'esclavage de l'être humain.

fin connaisseur de vin. Toute l’intrigue repose sur la relation qui unit les deux hommes. What is the story about? La situation initiale présente le narrateur et son désir de se venger d’un ami à lui qui l’a « insulté” nommé Fortunato. Nous n’en saurons pas plus sur les motivations du narrateur (et c’est bien là tout le mystère de cette nouvelle). Le soir du carnaval, les deux hommes se rencontrent et le narrateur emmène Fortunato chez lui. Montresor profite que Fortunato soit un peu ivre pour l’emmener

philosophie nous ordonne d’avoir la mort toujours devant les yeux, de la prévoir et de la considérer avant le temps. Or, si la mort est le bout de notre vie, elle n’est pas non plus un but. Si nous avons su vivre constamment et tranquillement, nous saurons mourir de même. Le savoir mourir est un art qui nous viendra spontanément au moment venu comme tout autre savoir faire ou savoir vivre son but.

première fois que je fais connaissance avec un col aussi bien protégé. Finalement, il ne semble pas si banal que cela, ce cinquante et unième! J'imagine notre tête en cas de fermeture... aurions-nous eu l'audace d'enjamber l'obstacle? Nous ne le saurons jamais et pour l'heure nous filons sans complexe. La pente devient plus rude que la montée et nous découvrons une face sud radicalement différente. La route plonge dans une gorge étroite et s'infiltre dans la paroi par une succession de tunnels en

les fenêtres petites et hauts perchées. Au lieu d'exploiter l'espace horizontal, ilexploite un espace vertical. Il le construit de droite à gauche, en hauteur et alors qu'on pourrait croire que l'ouverture des rideaux va élargir l'espace, nous ne saurons non seulement rien de l'extérieur, mais en plus l'espace où évoluent les personnages se réduit dès le début de la pièce. On voit à quel point le seul personnage apte à se déplacer dispose d'un espace extrêmement réduit soit pourdes raisons matérielles

savons que la littérature regorge de rôles. Nous espérons vous avoir convaincus que la littérature est d’une grande importance pour la société et la vie en général. Nous sommes confiants que vous saurez reconnaitre sa beauté et que tous ensemble nous saurons en prendre soin.

gouvernement d’extrême droite. C’est pourquoi, en raison de la position financière de tout un chacun, et de notre mentalité. Pour finir, je dirais que le capitalisme a surement un avenir dans le monde mais pour ce qu’il en est de la Belgique, nous ne le saurons qu’au vue des élections de juin.

personnes cela leur a couté la vie ou presque. Prenons pour exemple, Christian Ranucci, exécuté le 28 juillet 1976 pour l’enlèvement et le meurtre d’une petite fille de huit ans : nous ne savons toujours pas s’il est coupable ou non, et nous ne le saurons probablement jamais. Deuxièmement, la peine de mort n’est pas plus dissuasive que la prison à vie car quand on a abolit la peine de mort de nos états la violence n’a ni chuté ni augmenté. Au contraire, la peine de mort a entrainé des débordements

Faut-il être violent pour être puissant ? Sauron, Dark Vador, Voldemort, Robespierre, Malcolm X , Ceaucescu, Mussolini, Franco, Pinochet, Kim Jong Un, Trump, Poutine, Staline, Hitler : les figures violentes, imaginaires ou réelles, ne manquent pas… Mais face à elles, n’oublions pas John Lennon, Voltaire, Martin Luther King, Jean Jaurès, Simone Veil, Barack Obama, Gandhi, Malala... Dès l’âge de 11 ans, Malala s’est opposée aux Talibans qui voulaient mettre un terme à sa scolarité, à son