Scènes de ménages

époux ? ». Il force l’intimité de sa femme, commettant un abus (« on n’a jamais poussé si loin la tyrannie » 13), presqu’un viol, ce que soulignent les didascalies des scènes suivantes (scène 17 : « il entre » et début scène 19 : « le Comte sort du cabinet d’un air confus : il n’y a personne et pour le coup j’ai tort. » Dans les scènes suivantes, les deux femmes auront beau jeu de lui faire remarquer qu’il a été poussé à la fois par la jalousie (cf « l’abandon et la jalousie que vous seul osez concilier »

mort des enfants n’apparait non pas comme secondaire mais mêlée dans un même temps à d’autres, tout aussi douloureuses. Ainsi l’émotion du public en est d’autant plus forte qu’il voit en un temps restreint, un royaume s’effondrer. En seulement deux scènes, la pièce est portée à son acmé. Plus que part l’infanticide, le spectateur romain est davantage poussé à l’émotion par la situation dans laquelle se trouve Jason, victime de sa position, presque contraint d’épouser Créuse pour assurer la paix et

personnage de Georges Duroy étant employé aux chemins de fer de la gare du nord avec un salaire médiocre, ses fins de mois sont difficile, il vit dans une maison dans la rue Boursault, au cinquième étage, il partage sa demeure insalubre avec vingt petits ménages. Il fait éprouvé à Duroy du dégoût «en montant les escaliers, dont il éclairait avec des allumettes-bougies les marches sales ou traînaient des bouts de papiers, des bouts de cigarettes, des épluchures de cuisine», « Une odeur lourde de nourriture

communauté prévoyait que celle-ci devait être pourvue d'une assise foncière suffisante pour satisfaire aux nécessités de la population. Les pâturages demeuraient indivis. Les terres de cultures étaient réparties au début de chaque cycle agraire entre les ménages. À la fin du cycle, les parcelles réintégraient le fonds commun qui était à nouveau alloti et distribué au début du cycle suivant. Toutefois, les menaces que ne cessèrent de faire peser les grands propriétaires métis ou blancs sur les tenures collectives

leurs prières s’opposent à Frère Jean, le moine courageux. Frère Jean n’est pas passif c’est un généreux courageux qui « écrabouillait » les cervelles, « brisait » les jambes «  démettait les vertèbres du cou », « disloquait les reins » (p. 227). Ces scènes de cruautés sont mêmes saluées «  tout ceux de l'armée qui étaient entrés dans le clos furent déconfits, et leur nombre se montait à treize mille six cent vingt-deux » (p. 231). B) Un courage salué Mais, le courage de Frère Jeann n’est pas seulement

ils portent des jugements permettant - par exemple lorsque Cléanthis dresse le portrait de sa maîtresse - une certaine complicité entre l’auteur et le public. Ils ont aussi une fonction d’information car ils sont présents dans presque toutes les scènes d’exposition et de dénouement. Ainsi de nombreuses facettes des maîtres sont dévoilées grâce au valet. Enfin, les valets ont une fonction dramatique : affrontant les maîtres, ils maintiennent la tension dramatique aussi longtemps que l'issue du conflit

(1834). Les scènes de la vie privée qui inaugurent la catégorie « études de mœurs » commencent avec Gobseck (1830), la Femme de trente ans (1831), et la construction de « l'édifice », dont il expose le plan dès 1832 à sa famille avec un enthousiasme fébrile, se poursuit avec les scènes de la vie parisienne dont fait partie le Colonel Chabert (1832-35). Il aborde en même temps les scènes de la vie de province avec le Curé de Tours (1832) et Eugénie Grandet (1833), ainsi que les scènes de la vie de

dramatiques en mélangeant de nombreux style différents. Les principaux sont la farce gauloise, la comédie italienne et la comédie réflexive. Dans la plus part de ses œuvres, Molière s’inspire de situation de la vie quotidienne comme par exemple les scènes de ménage, adultères, vols, tromperie etc. Il est important de savoir qu’à cette époque la farce était un genre jugé vulgaire et qu’elle n’était plus à la mode. Mais Molière triompha pourtant dans ce genre et le fit revenir à la mode, avec les précieuses

photographique. Il s'inscrit dans la suite du Pop’Art. Il est aussi nommé aux Etat Unis photorealism ou superralism. En effet, l’influence de la photographie dans le mouvement hyperréaliste est majeure. Les artistes hyperréalistes montrent des scènes de la vie courante, des portraits, ou encore des voitures rutilantes. On peut considérer que l’hyperréalisme est la suite logique du Pop Art, parce qu’il utilise comme lui des symboles populaires et s’inspire de la société de consommation. 

bactériologue, bourreau et astrologue) Le médecin est le scientifique qui prouve les choses. Son rôle surtout destiné à éviter des monologues et permet des jeux de scène, renvoyant la balle à Marguerite et la confortant. • Juliette : (femme de ménage et de chambre, infirmière, cuisinière et jardinière) elle est le peuple, la seule a travaillé, la force vive que le Roi admire sans vraiment l’écouter. • Le Garde : est en quelque sorte le représentant du pouvoir du Roi, il lui obéi, il est celui