Schinderhannes Apollinaire

Portrait prémonitoire de Guillaume Apollinaire, 1914 L’œuvre : Portrait prémonitoire de Guillaume Apollinaire peint par Giorgio de Chirico en 1914 est une huile sur toile qui mesure 81,5 x 65 cm . Il s'agit d'une peinture figurative très énigmatique. L'artiste : Giorgio De Chirico, (né en1888 à Volos en Thessalie, Grèce, mort en 1978 à Rome, Italie). Il est un peintre, sculpteur et écrivain italien dont les œuvres ont été unanimement admirées par les surréalistes jusqu'en 1925 qui le rejetèrent

dignité des mœurs, l'élégance de la tenue, la pureté du langage. Ainsi les recueils Alcools (1913) et Fleurs du Mal (1857) illustrent ceci à travers de nombreux poèmes concernant l’amour passionnel et destructeur éprouvé par les poètes Guillaume Apollinaire (auteur du XXème siècle) et Charles Baudelaire (XIXème siècle). Ainsi ils feront des femmes aimées de véritables icônes soit par l’incarnation de l’amour sensuel, ou au contraire par la cruauté de celles-ci. Mélangeant ainsi l’Idéal et le Spleen

Apollinaire Guillaume Apollinaire de son vrai nom Guglielmo Alberto Wladimiro Alessandro Apollinare de Kostrowitzky , est un poète français né le 26 août 1880 à Rome ,de mère polonaise et de père inconnu. Ils emménagent par la suite en France, à Monaco, où il fera ses études et s’intéressera très jeune à l’écriture. Il est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle, pour ses nombreux poèmes tels que Zone, La Chanson du mal-aimé, Mai ou encore, ses poèmes

est « la médiatrice inconsciente de Satan. Elle incarne Hécate(divinité de l’enfer)qui reçoit du soleil cette clarté devenue ténébreuse en elle ». ROSEMONDE Louis Marcoussis, 1934 «Mes doigts jetèrent des baisers » ROSEMONDE Guillaume Apollinaire, Alcools, XXème (1934) Longtemps au pied du perron de  La maison où entra la dame  Que j'avais suivie pendant deux  Bonnes heures à Amsterdam  Mes doigts jetèrent des baisers Mais le canal était désert  Le quai aussi et nul ne vit  Comment mes

Proposition de commentaire Guillaume Apollinaire (1880-1918) occupe une place singulière dans la littérature française : il se place en effet à une époque charnière. Il incarne l’entrée dans la modernité au tournant du siècle mais aussi les audaces artistiques qui vont éclore tout au long du XXème siècle. Il ne s’agit plus simplement de représenter le réel, d’en proposer une photographie, mais de l’augmenter par la création d’une réalité nouvelle. L’œuvre ne doit plus être « mimesis » mais «

que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu’on foule Un train Qui roule La vie S’écoule Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 --------------------------------------------- Printemps Après l’hiver N’attendez pas de moi que je vais vous donner Des raisons contre Dieu que je vois rayonner ; La nuit meurt, l’hiver fuit ; maintenant la lumière,

Alcools Le rôle des femmes Introduction Alcools a souvent été présenté comme une incessante quête amoureuse ; d'où un rôle essentiel joué par les femmes, objets d'un amour presque toujours malheureux. Deux autres aspects : la femme maléfique ; la femme victime ou passive. I) Le poète amoureux 1. Annie Personnage très important dans le recueil, puisque "la Chanson" devait être, initialement, le poème liminaire. Présence d'Annie dans "la Chanson", "Annie", "L'émigrant", les poèmes de

peint des masques, arlequins, dompteurs et clowns. Picasso privilégia pendant cette période le travail sur le trait, le dessin, plutôt que sur la couleur... C'est aussi l'époque des maternités roses. Picasso fait la connaissance de Guillaume Apollinaire et d'André Salmon. Du 25 février au 6 mars 1905, Picasso expose à la galerie Serrurier, ses premières toiles roses. Au printemps, il peint Les Saltimbanques (Washington, National Gallery). Pendant l'été, il fait un séjour à Schoorl en Hollande

«  Les Femmes » (sept 1901-mai) 1902, In Alcools de Guillaume Apollinaire Il n’est pas rare que les poètes s’inspirent de la vie quotidienne et on bien souvent recourt au thème récurent de la mort. Ici ds « Les Femmes » du recueil Alcools (1913) de G.Apollinaire, grand poète du XXème siècle et précurseur du mvt surréaliste, retrace pas des fragments de dialogue, matérialisés pas l’italique, des histoires banales et quotidiennes d’un village. Il peint l’intérieur et les activités

le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Analyse : I-L'univers fascinant des légendes. Ici le poème se met à l'écoute d'un autre poème (" écoutez la chanson... " => mise en abyme) Cet autre poème raconte une hallucination (sans doute due à l'absynthe, evoquée par