Schizophrénie

des cas. Les pathologies psychiatriques chroniques se divisent en 3 grandes catégories : Les troubles de la personnalité  Les troubles de l’humeur : dépression, troubles bipolaires, troubles maniaco-dépressifs Les troubles psychotiques : schizophrénie, paranoïa etc. Les troubles anxieux : attaque de panique, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), stress post traumatiques etc. Ici nous traiterons exclusivement des troubles de l’humeur et des troubles psychotiques. A. LES TROUBLES DE

Troubles de concentration ou indécision 9. Pensées sur la mort B. C. Pas la conséquence d’une affection somatique, de l’utilisation d’une substance ou d’une réaction de deuil Pas attribuable à une affection psychotique (ex. Dépression de la schizophrénie) DSM-IV TR, 2000 2. Symptômes De l’épisode dépressif au trouble dépressif Détermination d’un épisode Dépressif Diagnostic d’un trouble de l’humeur Trouble dépressif unipolaire Trouble bipolaire 1 Trouble dépressif, épisode unique 2 Trouble

nécessaire à la conscience de soi. Mais en vérité, que serais-je sans les autres ? Je suis devenue se que je suis grâce à autrui, je me suis découverte en tant qu 'être humain, certaines personnes n'ont pas connu cela. Prenons l'exemple de la schizophrénie, cette maladie est un ensemble de troubles mentaux qui affecte la pensée, la perception, les émotions, les comportements et le rapport aux autres. En s'isolant le schizophrène se construit une sorte de barrière, il ne peut pas être lui même et

fait un phénomène social grave, dont les mécanismes et les limites sont, dans la majorité des cas, difficiles à cerner. C’est un acte impulsif plus qu’il n’est prémédité et constitue la complication majeure des psychoses, des dépressions, de la schizophrénie, des bouffées délirantes, des délires chroniques et, surtout, de la mélancolie. C’est une forme extrême de retournement agressif contre soi-même, subite et incontrôlée ; une fatalité qui s’approprie l’allure d’un choix, donc un acte volontaire

mentale et le fou n’en serait pas un. Dans toute société, il existe des individus au comportement déviant par rapport à la norme imposée par les doctrines de leurs époques (ex : crises de monomanie en Malaisie, tarentulisme en Sicile,…). La schizophrénie apparait, de nos jours, comme la psychose ethnique dominante du monde occidental. Cette pathologie se définit comme le morcellement de l’âme et la perte d’identité, et ses principaux symptômes sont systématiquement encouragés par certains aspects

en première année d’étude d’infirmière et j’effectue actuellement mon stage dans un service de psychiatrie d’un établissement de santé. L’unité accueille des patients atteint de pathologies multiples et diverses telles que, des psychoses (ex : schizophrénie), des troubles du comportement (ex : bipolarité), des troubles de l’humeur (ex : état maniaque) et des personnes en dépression. Dans le service, une patiente est atteinte de troubles de l’humeur, depuis quelques jours elle se trouve en

Suite au décès de ses parents, il effectue un séjour à l’ EPSMM, et par la suite est placé en Etablissement pour personne âgée dépendante. Dû à son jeune âge, il a fallu obtenir une dérogation pour le placement. De plus, il est atteint d’une schizophrénie ayant pour conséquence une hospitalisation mensuelle de dix jours, dans un Etablissement psychiatrique. Après la vente de la maison de ses parents et le partage avec ses deux sœurs, Il hérite d’une somme de 40 000 euros, il est propriétaire d’une

piétine jusqu’au jour où un homme est arrêté pour tentative de meurtre sur des policiers lors d’un contrôle de routine. Il s’appelle Romain Dupuy. Il a 21 ans et est un ancien patient de l’hôpital psychiatrique où il a fait trois séjours pour schizophrénie. Son ADN le confond. Romain Dupuy est bien le meurtrier des deux infirmières. Celui-ci avoue par la suite ce double meurtre, il donne également tous les détails et pourtant il n’a pas été jugé, il n’y a pas eu de procès, il a été envoyé à l’hôpital

jamais de ces profondeurs muettes. » M.B exprime poétiquement qu’il sent déjà que dans cette chambre, il sombrera dans la folie. Dans cette solitude extrême, M.B est face à lui-même. Ainsi il est menacé par un dédoublement de conscience : une schizophrénie qu’il pressent venir. Aussi les dernières phrases marquent un changement de pronom personnel sujet. On passe de « je » à « on ». Ces phrases « Je ne voyais jamais aucune figure humaine. », « Je n’entendais jamais une voix humaine » sont en contrastes

* Autisme atypique : toutes les autres formes d'autisme, qui comportent des symptômes divers. 2) Histoire * Le mot autisme inventé en 1911 par Bleuler (vient du grec AUTOS qui signifie soi-même) qui l'apparente d'abord à de la schizophrénie * Origine notion ACTUELLE : 1943, Léo Kanner isole une identification clinique de l'autisme infantile : définit "dérangements autistiques du contact affectif" * Vers 1980, Lorna Wing découvre les travaux de Hans Asperger (datant de la même