Schœlcher

une place importante dans l'activité économique du François. Avec 566 entreprises recensées en 2005, le François est la 5ème ville ayant le plus grand nombre d'entreprise des villes de plus de 20 000 habitants (après Fort-de-France, Le Lamentin, Schoelcher et Le Robert). La Zone artisanale de Trianon regroupe un grand nombre d'entreprises et constitue le véritable poumon économique de la Ville. Le commerce occupe une place importante dans l'activité économique. Entre 2005 et 2006, plus de 130 entreprises

Rubicon) Il a tout fait pour éviter de faire couler le sang. Une liste de 78 personnes a arrêté afin d’écarter les opposants les plus gênants, arrêtés dans la nuit. Morny (demi-frère de Bonaparte) Interdiction aux députés de siégés. Les républicains : Schœlcher, Carnot, Victor Hugo, Baudin. Plébiscite le 20 et 21 décembre 18517.1 millions pour II) Un empire autoritaire. a) L’organisation du régime. Il est prince président, élu 10 ans renouvelables. A la tête des armés, il peut signer des décrets de

république et voir en quoi c’est une démocratie libérale. Puis, nous verrons le second Empire et le fait que c’est une démocratie illibérale. La deuxième république a succédé en quelques points. En effet, lors de la deuxième république, Victor Schœlcher a abolit l’esclavage en 1848. L’esclavage est un système idéologique, philosophique, économique, politique et juridique. Le tableau de François Biard illustre l’abolition de l’eclavage, on voit d’un côté, des esclaves qui se libèrent en pleurant

également André Schwartz-Bart, La mulâtresse Solitude, 1972). Dès 1809, les Anglais s’emparent de la Guadeloupe puis reprennent la Martinique, maintenant l’ordre esclavagiste. En 1814, les deux îles reviendront à la France, avant que le député Victor Schœlcher, en 1848, ne prononce l’abolition de l’esclavage. On fera alors plus tard venir des Indiens sous contrat pour compenser la perte de la main-d’œuvre noire. B. La littérature antillaise. a. Origines et idéologie. Au début, on ne parle pas encore

senat.fr/evenement/archives/D22/abolition3.html Jules Simon, député républicain, dépose en 1869 une proposition de loi en faveur de l’abolition de la peine capitale. Il est rejoint dans son combat, au début de la IIIème République, par Victor Schœlcher et quelques autres députés. Aristide Briand, Garde des Sceaux dans le Gouvernement Clemenceau, dépose un projet de loi abolitionniste en 1906 – 1908. Jean Jaurès intervient en faveur de l’abolition. Après la guerre, la peine de mort continue

combattants des colonies et les primes de guerre sont abaissées de 50% pour ceux d’entre eux qui en bénéficient, sous prétexte qu’il faut indexer les primes au faible niveau de vie des colonies. Si la fin de l’esclavage est voté depuis 1848 grâce à Victor Schoelcher, le travail forcé demeure jusqu’en 1934. Enfin, le comité français créé afin de représenter les intérêts des indigènes n’est pas démocratique et n’a aucun pouvoir réel. Cet état de fait nourrit donc une volonté d’émancipation de plus en plus forte

actuelle. La technique et ses progrès ont fait évoluer les modes de vie des hommes. On peut d’abord évoquer certaines institutions que le progrès technique a bouleversées. L’abolition de l’esclavage est dûe à l’action de penseurs tels que Victor Schoelcher et à l’ouverture d’esprit de la société en grande partie. Mais, on peut y voir aussi un mouvement pratique et stratégique de la part des patrons, simplement en raison de l’apparition des machines. Les esclaves s’avérant bien moins utiles qu’avant

TELEPHONE DE L’I.E.J Faculté de droit 15, quai Claude Bernard 69007 Lyon ou BP 0638 69239 Lyon Cedex 02 Tél : 04.78.78.70.57 Fax : 04 78 78 74 44 iej@univ-lyon3.fr Faculté de droit et d’économie Université des Antilles et de la Guyane BP 7209 97275 SCHOELCHER Cedex Tél : 0 596 72 73 80 Fax : 0 596 72 73 73 iej@martinique.univ-ag.fr Faculté de droit 39, rue de l’Université 34060 Montpellier Cedex Tél : 04 67 61 51 94 Fax : 04 67 61 46 81 delphine.simon@univ-montp1.fr Faculté de droit, sciences économiques

sa mère couturière, et il a six frères et soeurs. Son grand-père était le premier enseignant noir de Martinique, et sa femme savait lire et écrire. De 1919 à 1924, Aimé Césaire va à l'école primaire de Basse-Pointe, puis il est boursier au lycée Schoelcher à Fort-de-France. En 1931, il suit une classe d'hypokhâgne au lycée Louis le Grand, à Paris. Il y rencontre Léopold Sédar Senghor, avec qui il sera ami jusqu'à la mort. En septembre 1924, Césaire cofonde le journal L'Etudiant noir, et c'est de

En 1937 Césaire épouse Mlle Roussy. 1937 voit la naissance de son premier enfant et il vient de terminer le Cahier qu’il publiera en 1939 dans la revue Volontés. Césaire et sa femme Suzanne Césaire sont affectés comme professeurs au lycée Victor –Schoelcher de Fort-de-France. Césaire est élu député-maire de la ville sous les couleurs du Parti Communiste Français (PCF) qu’il quittera en 1956 et adresse à l’occasion une lettre à Maurice Thorez. Il renonce à la députation en 1993. Il quitte la politique