Science Et Religion

échapper à la philosophie, en effet on ne peut pas ne pas se poser de questions, à part dans la bêtise et l’ignorance. De plus ce n’est pas une science mais une réflexion sur elles. Kant dit que toute la philosophie se résume par trois questions : * « que puis-je savoir ? » (notre connaissance) * « que m’est-il permis d’espérer ? » (religion, art…) * « que dois-je faire ? » (notre morale) Ces trois questions se ramènent à une quatrième : * « qu’est ce que l’homme ? » La philosophie

Chapitre 5 Ce n'est pas sans quelque dessein que j'appelle du nom de science ce que d'ordinaire on appelle philosophie. Philosopher est le mot sous lequel j'aimerais le mieux à résumer ma vie ; pourtant, ce mot n'exprimant dans l'usage vulgaire qu'une forme encore partielle de la vie intérieure, et n'impliquant d'ailleurs que le fait subjectif du penseur solitaire, il faut, quand on se transporte au point de vue de l'humanité, employer le mot plus objectif de savoir. Oui, il viendra un jour où l'humanité

expression) + une rapide définition du mot Sens qui peut signifier sa valeur (morale), sa direction, sa finalité (ses buts) (Soit l’un ou l’autre, soit les deux) Développement / discussion I. L’archéologie, une science nécessaire pour faire renaitre le passé * science nouvelle (XVIII-XIX-XX) grands explorateurs du passé (les français, allemands, anglais) * Tous les éléments retrouvés dans les sols et les meurs sont analysés, datés, comparés à d’autres plus récents. Ex : les tablettes

et des images d'autant plus différentes lorsqu'il s'agît de la bourgeoisie, du Tiers-Etat et du clergé. Les valeurs des Lumières sont donc la raison, la tolérance, l’égalité (sociale, homme/femme, européens/ « nègres »…), la liberté (de pensée, de religion, d’opinion, de presse…), la Justice, le discernement, la réflexion, le progrès, le pacifisme. Les philosophes imaginent la société idéale, où régnerait la justice, l’égalité, la liberté & la laïcité. Ils aspirent donc à l’abolition de l’esclavage

individuel et collectif tout en affirmant déjà les valeurs qui seront proposées quelques années plus tard par la devise même de la Révolution Française : «Liberté, égalité et fraternité ». II• La religion : l’ordre religieux contesté 1) Les lumières mettent en question la religion car pour penser par soi-même et de ce fait, défendre leur idéologie, il faut d’abord disposer d’une entière liberté d’examiner, de questionner, de critiquer, de mettre en doute : plus aucun dogme ni aucune

Jusqu’au Moyen-Âge, les fidèles de la religion catholique étaient extrêmement soucieux de leur salut éternel. Ils voulaient être sûrs d’atteindre le paradis après leur mort et pour ce faire, ils faisaient plein de gestes comme parcourir de longue distance pour aller prier en Terre Sainte. Au fil du temps, les chrétiens ont subi des transformations en direction du progrès en passant par des réformes, des doctrines, des guerres ainsi que par la science. À partir de la fin du XVe siècle, de grandes

questionnements, il a inventé la religion, la philosophie puis la science. Les trois utilisent des techniques différentes afin de répondre à nos questions. Le problème, aujourd’hui, est de choisir parmi les trois. Un des critères sur lequel nous devons nous baser pour faire notre choix est le bonheur. Qu’est-ce qui est le plus à même d’aider un individu à atteindre le bonheur : la pratique de la science, de la philosophie ou de la religion? Selon moi, la religion est celle qui apporte le plus le

étaient les principaux objectifs des Lumières ? II. La religion : l’ordre religieux contesté 1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ? (1), (2) Ces philosophes pensent que chaque individu à le droit de prendre ses propres décisions sans être influencé par la religion. 2) Sur quoi porte la critique religieuse ? (3), (4) Elle porte sur la structure de la société, c’est-à-dire qu’elle ne remet pas en cause, la religion en elle-même mais ce que l’Eglise en a fait. Et par l’Eglise

paradigmes de l’analyse sociologique 1) Un science sociale récente La sociologie est une science sociale récente qui présente deux grandes caractéristiques dans sa création entre la période des « lumières » et le XIXème : - elle vient de communauté d’intellectuels isolés (sans aides de l’Etat) - se rattache à d’autres sciences sociales comme la philo, l’économie politique… Elle s’affranchit progressivement de ces sciences vers 1950, c’est une discipline cumulative,

est-elle un objet scientifique ?Les études scolaires nous ont habitué à considérer qu'il y avait des sciences de la vie : ce qu'on appelait autrefois les « sciences naturelles » ou « l'histoire naturelle » devenant aujourd'hui les sciences de la vie et de la terre. Or cette appellation de « sciences de la vie » nous fait oublier que la vie ne se limite pas aux caractères du vivant étudié par les sciences expérimentales : lorsqu'on demande à quelqu'un que fais-tu dans la vie, il ne répond pas je mange