Science Et Religions S Opposent Elles

présence d’une altérité, que la philosophie classique a eu beaucoup de mal à penser : pour les Grecs, les autres (non-Grecs) ne sont que des « barbares » (non authentiquement humains). La prétention ultérieure du christianisme à être la seule vraie religion a freiné la reconnaissance de l’humanité non chrétienne. Ambiguïté de l’« alter ego » On peut être tenté de définir rapidement autrui comme « alter ego » (autre moi). Cela semble affirmer son égalité par rapport à ce que je suis, et garantir qu’il

être enracinée dans le corps et sans dépendre de lui ? La conscience n'entretient-elle pas avec elle-même un rapport illusoire ? L’inconscient: 1) Les petites perceptions (Leibniz) : Il y a en nous une infinité de perceptions. Beaucoup d’entre elles ne pénètrent pas la conscience soit parce que celle-ci est accaparée par d’autres perceptions soient parce que leur combinaison ne parvient pas à dépasser le seuil d’intensité qui nous les rendrait conscientes. 2) L’inconscient freudien : Le rêve

connaissance des différents Etats réalisés successivement dans le passé par un objet de connaissance. »  Cet objet de connaissance peut être un peuple, une institution. Peut être l’histoire d’une espèce vivante ou d’une autre espèce. L’histoire des sciences, d’une langue, des idées. ➢ La nature et la fonction de l’histoire Un auteur messin Philippe de Vigneulles et cet auteur a écrit une chronique qui concerne l’histoire de Metz replacée dans l’histoire universelle. La description proposée commence

pouvoir royal qui aboutit, sous Louis XVI à la mise en place de l’absolutisme. II Face aux multiples contestations, la monarchie s’affermit d’autant plus sous louis XIV pour devenir « absolue » 1) Les guerres de religion sapent l’autorité royale Les guerres de religion opposent protestants et la catholique entre 1562 et 1598 sous les règnes successifs de Charles IX, Henri III et Henri IV. Ces conflits sont de véritables camouflets à la puissance royale, et ce pour de multiples raisons : ➢

est une science humaine avec comme sujet d’étude le passé. C’est une science car elle recherche la vérité. Donc elle cherche la vérité du passé, ce qui s’est passé ou non. C’est une science humaine comme la psychologie, la sociologie, … différente des sciences pures et dures. Il y a deux différences : *Dans les sciences pures, on peut élaborer des lois. Pour les sciences humaines, c’est impossible. Il n’y a que des tendances, des lois tendancielles. *Le sujet d’étude des sciences humaines

le parlement : souveraineté législative au nom du peuple qui l’élit. 2ème selon les juristes contemporains c’est la jurisprudence. Ce sont les décisions rendus par les tribunaux, par les court de justices. Décisions qui pour certaines d’entres elles sont susceptibles d’acquérir autorité de précédent. C'est-à-dire que une décision rendu par une cours de justice qui interprete une règle ou même en pose une va etre reprise éventuellement par une autres court de justice. 3ème c’est la coutume,

Sujet 1, composition Sujet national, juin 2014, série L Les œuvres d’art éduquent-elles notre perception ? „Comprendre le sujet Ce sujet porte sur l’influence des œuvres d’art sur notre perception : ont-elles pour effet de l’éduquer, c’est-à-dire de la former, de l’améliorer, de la conduire et de l’élever vers son plein épanouissement ? Nous reconnaissons aux œuvres d’art le pouvoir de frapper notre perception en lui donnant à voir une beauté ou des nuances que nous ne savons ordinairement pas

exprime quelque chose sur la vie en société Il faut se débarrasser des définitions de la politique, pour s’ouvrir à un ensemble de phénomène qui ne sont pas aprioris politique mais qui ont une charge politique. 2.2) Ni la science du l’Etat, ni celle du pouvoir : - Une science de l’Etat ? * Machiavel, Hobbes, le renforcement de l’Etat au XX° siècle * Une approche trop restrictive : - Un phénomène daté (l’état n’a pas toujours existé, le politique lui à préexister avant qu’il n’y ai des états)

"La mondialisation et ses ennemis" de D. Cohen 1. L’auteur Daniel Cohen est professeur de sciences économiques à l'Ecole Normale Supérieure et à l'Université de Paris-I (Panthéon-Sorbonne). Il est membre du Conseil d'Analyse Economique du Premier Ministre et éditorialiste associé au journal Le Monde. Il a également été co-directeur du Programme de Macro-économie Internationale du Center for Economic Policy Research (CEPR) à Londres, membre de l'Institut Universitaire de France et membre du

transformation, se fera grâce à trois grandes périodes : la Renaissance de 1380 à 1580, puis les Lumières de 1715 à 1789 et enfin la révolution industrielle de 1800 à 1850. En quoi ces trois périodes transforment-elles les techniques et la société européenne ? Comment permettent-elles progressivement à l’Europe de dominer le monde ? Pourquoi ces changements ? Dans une première partie, nous verrons comment la Renaissance a bouleversé les valeurs et les techniques traditionnelles de la société européenne