Science-fiction post-apocalyptique

de la physique et de la psychophysique associationnistes, qui détemporalisent le temps en le spatialisant[14]. L’espace dont parle Bergson ne doit pas se confondre avec les lieux, les paysages, les villes, les espaces, dont les personnages des fictions de Nerval ou de V Woolf ou nous-même pouvons faire l’expérience sensible, comme l’atteste l’exemple de la projection d’une part de nous-même dans les lieux que nous habitons, p.105-106. Dans l’Essai, l’espace, forme a priori, qui précède et organise 

carrières militaires (pour les constructivistes, l’engagement est du à un processus d’appariement). On étudie le rôle des pubs faites sur le métier. A la fin du service militaire obligatoire, on a eu peur de ne pas réussir à pourvoir l’ensemble des postes, pour cela la gendarmerie s’est lancée dans des campagnes de communication importantes et notamment auprès de jeunes non diplômés. Les militaires et gendarmes ont d’abord pensaient qu’il faudrait recruter par défaut. On pense le métier militaire comme

Centre de recherche en droit des sciences et techniques à Paris I ; - M. Laurent Gouzenes, directeur du Plan et programmes d’étude STMicroelectronics ; - M. Louis Laurent, responsable du secteur « matière et information » à l’Agence nationale pour la recherche ; - M. Francis Quinn, physicien au département recherche de L’Oréal ; - M. Claude Weisbuch, directeur de recherches au CNRS. La section, s’est rendue à l’exposition nanotechnologies organisée par la Cité des sciences et de l’industrie, ainsi qu’au

I - Un Bilan apocalyptique a) bilan humain et économique C‘est la guerre qui a fait le plus de dégâts (55 millions de pertes humaines), bilan extrêmement lourd 1 tiers des pertes humaines sont des pertes russes Plus de civils touchés que les militaires C’est la première fois que les populations civiles ont été plus touchées que les militaires L’Europe a été le théâtre principal de la seconde guerre mondiale Les US ont très très peu de pertes alors qu’ils étaient présents sur les

de réalité, des jugements de fait, par opposition aux jugements de valeur. On ne se préoccupe pas du bien et du mal mais seulement du vrai et du faux. Elle est considérée dans son fondement comme science dite « positive », de terme contemporain « exacte ». Autrement dit, la sociologie se veut une science qui étudie de manière objective les comportements sociaux. Par opposition à la philosophie qui constitue un ensemble de réflexion subjective n’ayant pas vocation à une application sociétaire.

Collège international de Philosophie que je venais, avec d'autres, de fonder le 10 octobre 1983 et dont j'avais été, ce jour-là, élu directeur. Je savais aussi devoir prochainement quitter l'École normale supérieure pour l'École des Hautes Études en Sciences sociales où je venais d'être également élu au titre de directeur d'études (direction d'études : Les institutions philosophiques). Je n'ai pu encore préparer pour leur publication les matériaux mis en œuvre dans ce séminaire. J'en rappelle seulement

famille catholique. En 1908, il entra au petit lycée du Havre où il fit toutes ses études primaires et secondaires, apprenant «bâtons, chiffres et lettres» (titre d’un de ses ouvrages), se montrant curieux, passionné de langues, d’Histoire et de sciences. Il y fut généralement bon élève, non sans quelques moments difficiles. Il manifesta une boulimie de lectures qui n’allait jamais cesser, lisant assidûment ‘’Les pieds nickelés’’ dans ‘’L’épatant’’, Jehan Rictus, Henry Monnier, et quelques autres

vers, des drames et des romans». Pourtant, en troisième, il opta pour la section des sciences Pendant ce temps, sa mère achevait de se ruiner de procès en procès. En 1858, Émile vint avec son grand-père la rejoindre à Paris, la famille habitant 63 rue Monsieur-le-Prince. Se sentant déraciné, il commença une abondante correspondance avec ses amis restés à Aix. Il entra au lycée Saint-Louis, en seconde ès science, externe surveillé. Il était encore boursier, mais ses condisciples, petits ou grands

Diable 1/j/aa 3 LIVERMORE Au printemps 1976 les Etats-Unis vivaient le bicentenaire de leur indépendance. La Science était encore belle et bonne et de nombreux temples lui avaient été consacrés dans le pays où on s'apprêtait à célébrer l'événement avec faste. A cette époque j'arrondissais mes fins de mois au CNRS en faisant de temps en temps des articles pour la revue Science et Vie. Philippe Cousin, son rédacteur en chef, me dit un matin : - J'ai envie de faire quelque chose sur ce bicentenaire

opérations semblables, raconter un événement et décrire un objet relèvent du langage narratif». Dans cette perspective, la littérature est un art du langage soucieux dans sa forme de ce qui concerne l’homme. Son contenu est différent d’une pure science ou d’une philosophie. Ce n’est pas un écrit journalistique dont le but est simplement d’informer le public. Elle vise l’essentiel et l’universel et doit être marquée du sceau de l’intemporalité. C’est la raison pour laquelle Paul Valéry dira que la