Se Méfier Des Certitudes

d’un but ultime qui dépasse toutes les contingences (possibilité qu’un chose arrive ou n’arrive pas)et où l’homme parviendra à concilier sa liberté et son jugement moral avec le déterminisme (volonté)universel(cosmique planétique) L’homme doit se méfier des passions, de toute émotion forte qui le rend dépendant d’autrui(son prochain). Il doit se rendre compte de sa condition : pour Montaigne : philosopher , c’est apprendre à mourir. Ce qui veut dire qu’il faut se préparer chaque jour à la mort

un bonheur… » Peut-on vivre heureux dans la solitude ? (Le bonheur) Peut-on vivre heureux dans la solitude ? (Le bonheur) Le bonheur est-il le bien suprême ? (Bonheur) Certitude Pensez-vous, comme Francois Jacob(biologiste, prix Nobel de médecine, 1965) que rien n'est plus dangereux que la certitude d'avoir raison? (La certitude) Communication Comment peut-on avoir la meilleure communication possible ? La civilisation de l'image condamne-t-elle l'écrit à disparaître? Les moyens de communication

de me mentir si cela est possible ? Enjeux : - Il est nécessaire de savoir si je peux me mentir à moi-même pour savoir quelle attitude je dois adopter vis à vis de moi-même : puis-je me faire confiance aveuglément ou au contraire dois-je me méfier de moi comme étant quelqu’un susceptible de me trahir, de me tromper ? - Pour ce faire, il est nécessaire de savoir ce qu’est la conscience de l’être humain afin de pouvoir déterminer si celle-ci est une ou duelle. - De même est-il nécessaire

preuves. La logique, si elle est nécessaire, n’est donc pas suffisante. Une démonstration, en outre, peut n’être que faussement probante. Limites de la démonstration Tout d’abord une démonstration ne sera jamais suffisante pour établir une certitude de manière totalement incontestable. En effet, toute démonstration doit elle-même partir d’un point de départ qui n’est pas démontrable. Ainsi la géométrie d’Euclide repose sur des définitions et des postulats, qui sont posés à titre de préalables

naissance, selon la tradition, dans les tout premiers temps de l’histoire humaine, à l’origine de l’humanité, la fable a pour public privilégié l’enfance de chaque génération. Son enveloppe puérile est un moyen efficace d’enseigner les vérités et les certitudes d’une époque qui touchent aux fondements originaires de la connaissance. C’est pourquoi ce genre est devenu prioritairement un genre destiné à l’éducation des enfants ; le récit permettant de séduire et l’apologue d’instruire. En principe, la structure

rencontre est à oser. Car inconsciemment nous la redoutons, aussi fort que nous la désirons. Nous la rêvons si belle, si parfaite, que nous avons peur de concrétiser ce rêve, et de peut-être le perdre... Pour pallier à ces peurs, nous nous bardons de certitudes sur ce que doit être une « vraie » rencontre, un couple « normal »;, un homme « comme il faut », une féminité « accomplie ». Autant d'idées préconçues qui souvent nous entravent, et nous font passer à côté de cet(te) autre que nous voulons si fort

dans l’observation des faits environnementaux ne génère le plus souvent que des préjugés, des stéréotypes dont il faut se méfier et qu’il faut toujours chercher à vérifier. Il y a aussi la croyance, un jugement de valeur fondé sur une opinion cristallisée, difficile à remettre en question, à faire passer au crible de la pensée critique. C’est un dogme dont il faut également se méfier quand on fait de la recherche scientifique qui se veut objective. Il faut plutôt adopter le raisonnement logique, structurant

nombre. Nous sommes ainsi faits que les idées partagées par le plus grand nombre nous paraissent avoir force de vérité. Magie du nombre et pourtant les grandes erreurs furent des erreurs collectives. Ex : Galilée. A bien y réfléchir on devrait se méfier de telles idées car comme l’écrit Descartes :  » Il ne servirait à rien de compter les voix pour suivre l’opinion qui a le plus de partisans car s’il s’agit d’une question difficile, il est plus sage de croire que sur ce point la vérité n’a pu être

ou du préjugé. Toutes les croyances se valent-elle ? Ce qui va être problématique à gérer ce n'est pas le savoir, mais les croyances et les opinions car on ne peut pas ne pas en avoir. Et comme elles portent sur tous les sujets il faut s'en méfier, elles peuvent être rationnelles et vraisemblables, donc logiques. Or d'autres sont irrationnelles et il faudra les éliminer et les trier. Elles ont aussi une portée morale ou éthique, elles sont malsaines. La croyance est une attitude d'esprit

fille d’un Comte. Mademoiselle Julie arrive pour retrouver Jean, qui lui préfère rester avec Christine. Elle demande à Jean de se changer et en profite pour demander à Christine si elle et Jean son fiancé, ce à quoi elle répond oui mais sans grosse certitude. Après le retour de Jean, il discute avec Mademoiselle Julie qui se rend compte qu’il est très cultivé. Elle essaye de le séduire, mais il est toujours gêné par le fait qu’elle est une maitresse et lui un valet. Mademoiselle Julie en demande toujours