Second grand éveil

péjorative des habitants d'Oran se charge d'une portée symbolique. Le texte proposé est extrait du célèbre roman La Peste, de Camus, auteur et philosophe français, né en 1913 en Algérie. La publication du roman, en 1947 est très proche de la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Bien que la valeur allégorique du roman soit presque évidente pour un lecteur de l'époque, aujourd'hui la réception du message est tout à fait différente. Cet extrait est assez représentatif de l'œuvre de Camus, étant donné qu'il

« béni ». L’événement est présenté comme habituel et rituel : « quoique cela ne soit pas la coutume ». b) Un spectacle Dimension spectaculaire donnée à l’événement : « en grande cérémonie »/ « le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu ». Valorisation par adjectifs mélioratifs : « bel autodafé »/ « grande cérémonie »/ « belle musique ». Opposition entre la rapidité de l’évocation de la prison=ellipse pas de procès (« huit jours après ») et le ralentissement mettant en valeur la

guerre mondiale, il combat en France et en Russie. Il participe a a guerre des tranchées de l'Artois et de la champagne de novembre 1915 a décembre 1916 En 1938, dix est arrêté et enfermé pendant deux semaines par la Gestapo Il participe à la seconde guerre mondiale. Il sert le front occidental en 1944-1945. Il est fait prisonnier en Alsace par les français. À la fin de la guerre et jusqu'à sa mort, Dix s'éloigne des nouveaux courants artistiques allemands. Il ne s'identifie ni dans le réalisme

lutter contre un délit) qu'on exprime à travers des arguments. L'éloquence est-elle une arme efficace pour luter contre la peine de mort ou tout autre délit?Nous expliquerons dans une première partie, les différents pouvoirs de l'éloquence et dans une seconde partie nous en montrerons les limites. POUR: Pour commencer nous dirons que l’éloquence est avant tout une efficace pour faire passer une idée ou alors défendre une cause, un délit. Souvent, le fait de persuader son auditoire, avec les sentiments

simple moment à la vie entière et la conjonction de coordination « mais » permet d’insister sur la seconde partie de la phrase ; ainsi pour Néron, c’est le fait que cela le marquera toute ça vie qui compte, et non la soudaineté des événements. Malgré sa folie amoureuse, Néron a conscience de son excès comme le prouve l’adverbe quantitatif « Trop présente ». Il sait qu’elle occupe maintenant une trop grande place dans sa vie et que cela n’est pas forcément une bonne chose pour lui. C’est pourquoi il retombe

En effet, Sosie n'a pas conscience de qui est son double et pense sincèrement qu'il s'agit de lui-même. Son raisonnement se fait en plusieurs étapes : la première, il ne le croit pas « je ne l'ai pas cru moi, sans une peine extrême » (l.1), la seconde il nie les faits « Et longtemps, d'imposteur, j'ai traité ce moi-même » (l.3) et la troisième, il accepte ce qu'il voit « J'ai vu que c'était moi, sans aucun stratagème » (l.5). Il fait ensuite un éloge de son double « il est comme moi fait / Beau

d’ailleurs la plus préoccupante à ses yeux. La mort est le premier élément qui rend le bonheur accessible, car elle représente pour la grande majorité des individus un véritable saut dans le néant. Liée à la mort, la religion apparaît alors comme créatrice de bonheur. Elle apporte réconfort et confiance à l’homme par la promesse d’une autre vie meilleure. Cependant, s’il apparaît que la

dans cet espace séparant les deux gradins que les acteurs interpréteront leur rôle. L’intérêt porté à cette disposition des spectateurs leur permet de s’observer mutuellement, un spectateur du premier gradin ayant face à lui un autre spectateur du second gradin. Cette attention particulière portée envers le public lui permet d’apprécier la représentation dans une dimension plus profonde. Ex : Le théâtre grec et le théâtre. Ensuite une présence vivante des personnages. Les acteurs sont des êtres de

Dubois se livre à un inquiétant éloge paradoxal de Dorante. Puis nous étudierons de quelle manière, de la ligne 11, « Son défaut c’est là » à la ligne 20, « renversé », le valet décrit une ne folie énigmatique mais réaliste de son ancien maître qui éveille la curiosité d’Araminte. Enfin nous verrons comment, de la ligne 20 « et peut-être encore » à la fin, Dubois ménage un véritable coup de théâtre sur l’objet de la folie de Dorante, Araminte elle-même. I – L’inquiétant éloge paradoxal de Duboisa)

bateau Qu'elle porte Et qu’elle emporte. Paul Éluard Le jardin mouillé La croisée est ouverte ; il pleut Comme minutieusement, À petit bruit et peu à peu, Sur le jardin frais et dormant. Feuille à feuille, la pluie éveille L'arbre poudreux qu'elle verdit ; Au mur, on dirait que la treille S'étire d'un geste engourdi. L'herbe frémit, le gravier tiède Crépite et l'on croirait là-bas Entendre sur le sable et l'herbe Comme d'imperceptibles pas. Le jardin chuchote