Secours populaire français

Mardaga. Pellion, F. (2007). Le problème de la mélancolie anxieuse. Cliniques méditerranéenne, 76, 287-296. Porte, J. (2005). Le stress : « angoisse du pauvre » ?. Revue française de psychosomatique, 28, 125-128. Secours Populaire, IPSOS. ( juillet 2010). Les jeunes français à la recherche du bonheur. IPSOS.fr [en ligne ou en diaporama à télécharger]. Page consultée le 4 octobre 2010. http://www.ipsos.fr/canalIpsos/articles/3194.asp Widlöcher, D. (2002). Dépression et anxiété. Revue française

Alternatives économiques : Mutualité (histoire de) n°022 de janvier 2006 Premier mouvement social français par son ancienneté – on trouve une référence à une société de secours mutuel* dès l’an 1319 –, la mutualité a contribué au développement de la protection sociale dans le domaine de la santé et, peu à peu, des retraites sur la base de pratiques démocratiques et en opposition aux modèles assurantiels : les cotisations* étant forfaitaires, voire proportionnelles, aux revenus et non établies

syndicales sont tolérées (circulaire du ministre de l’intérieur aux préfets) Le Second Empire cherche à contrôler les mutuelles ouvrières ; certains patrons, à la fin de l’Empire, sous la IIIème République constituent des mutuelles (Société lyonnaise des secours mutuels ; caisse des retraite pour les ouvriers de la soie après 1848 ; 1853 Emile Peugeot. Une bataille entre ouvriers et patronat pour le contrôle des mutuelles 1871 : la Commune, 1er gouvernement ouvrier ; dislocation du mouvement socialiste ;

Mussolini et Hitler (respectivement dictateurs de l'Italie et de l'Allemagne) fournissent les franquistes en armes, tanks et munitions pour que ces derniers restaurent la monarchie. Franco, fait appel a des mercenaires venus du Maroc espagnol et français pour renforcer ses rangs. Ces soldats vont non seulement tuer les républicains mais aussi massacrer les civils. Après avoir perdu une multitude de compagnons, les républicains prennent les choses en main et décident de s'organiser, de discipliner

les conditions climatiques exécrables. Débute ainsi le scénario catastrophe qui aurait dû être anticipé par les autorités. En effet les digues lâchent et la ville se retrouve engloutie par l’eau du lac Pontchartrain. Les populations des quartiers populaires situés sous le niveau de la mer et peuplés en grande majorité par les populations Afro-américaines sont dans l’obligation de quitter la ville mais faute de moyens se retrouvent bloquées par la montée des eaux qui par endroits s’élève à deux mètres

sociales et à la demande de salariés Laïcité de l'Etat Émancipation progressive des femmes 1934, une triple crise secoue la France -krach de 29-> économique -> politique de déflation = échec Deux crises politiques: division de la gauche Montée en puissance des ligues d'extrême droite (6 février 1934 : assaut du palais Bourbon) -1935 -> coalition de la gauche = Front populaire (14 juillet, grandes manifs antifa) Ne pas effrayer les classes moyennes « le pain, la paix, la liberté » ->obtient

L’Affaire Dreyfus n’arrange pas la situation des juifs. En effet il est présumé coupable d’avoir délivrer des informations sur l’armement français à l’Allemagnes. Elle provoque donc des mouvements antisémites. Celle ci produira des violences simultanément en province et en Algérie. De plus, une autre crise économique se déclenche en 1929, elle va secouer l’Europe entière, et aggravé l’antisémitisme une fois de plus. L’année 1933 est marqué par l’arriver au pouvoir d’Adolf Hitler, lui-même antisémites

Organisée par deux ministères -culture et communication, éducation nationale- avec le soutien des éditeurs et des organismes de la profession, dont la puissante Fédération nationale de la presse française, cette initiative a pour objectif d’inciter les Français à prendre -ou à reprendre- le chemin des kiosques à journaux. L’opération a pour origine un constat amer bien qu’il ne soit pas nouveau : dans la patrie de Théophraste Renaudot, nombreux sont ceux qui rechignent à se plonger dans les pages des

financée par les conseils généraux et versée par les caisses d’allocation familiales ou la MSA (mutualité sociale agricole) aux personnes sans ressources ou ayant des ressources inférieures à un plafond fixé par décret. En 2008, près de 1.5millions de français l’ont perçue. Le montant de cette allocation varie en fonction de différents éléments : l’âge, les ressources, la situation professionnelle, la nationalité, la situation en matière de logement et le nombre de personnes à la charge du demandeur.

Organisée par deux ministères -culture et communication, éducation nationale- avec le soutien des éditeurs et des organismes de la profession, dont la puissante Fédération nationale de la presse française, cette initiative a pour objectif d’inciter les Français à prendre -ou à reprendre- le chemin des kiosques à journaux. L’opération a pour origine un constat amer bien qu’il ne soit pas nouveau : dans la patrie de Théophraste Renaudot, nombreux sont ceux qui rechignent à se plonger dans les pages des quotidiens