Section française de l'Internationale ouvrière

SFIO, syndicalisme et luttes ouvrières (1905-1914) : des relations problématiques et volontiers distendues, portant donc sur la période qui débute à la naissance de la SFIO et qui se termine à la veille de la Première Guerre mondiale, pose les problèmes suivants : est-ce que les syndicats doivent être subordonnés à la doctrine socialiste, donc existés comme relais de l’action ouvrière, ou est-ce qu’ils sont en mesure de construire de manière autonome une action ouvrière et révolutionnaire ? Si les

La mise en place du "ministère des masses". Le front populaire remporte les élections de 1936 avec une avance légère en voix sur la droite mais plus importante en sièges, car la discipline a bien joué à gauche à l'occasion du deuxième tour. Le rapport de force au sein de la gauche est modifié. Les communistes progressent fortement. La SFIO devance le parti radical. Dans les semaines qui suivent, un vaste mouvement de grèves touche le pays. Plus de deux millions de travailleurs y participent. De

cette stratégie ait permis l’entrée d’adhérents plus jeunes, plus diplômés et où les femmes sont plus nombreuses. Dans beaucoup de sections, le nombre d’adhérents a ainsi presque doublé, l’afflux ayant généré des difficultés matérielles pour approvisionner ces adhérents en publications, les convoquer aux assemblées générales, et tout simplement les accueillir en section. La désignation de Ségolène Royal comme candidate du PS leur est en large partie imputable. L’issue de l’élection présidentielle risque

cette adhésion. Il va y voir une scission véritable à l’intérieur et la motion minoritaire quitte le Congrès et se réuni dans une autre salle. A l’intérieur de l’organisation concrète, il y a des sections. La section St Pierre des Corps vote totalement en faveur de la motion Cachin-Frossard. Les sections des partis socialistes continuent de se réunir. En réalité, la scission organisationnelle est entre la SFIO et SFIC. La conséquence de cette scission est très importante. On considère qu’à ce moment

Le Front populaire à la guerre. Pendant les années 1930, il y avait une crise forte. Le Front populaire accède au pouvoir au printemps 1936. Il regroupe socialistes et radicaux. Le chef du gouvernement est un socialiste (SFIO) : Léon Blum. I – Origine et formation du front populaire 1) La désunion originelle des gauches L’union des partis de gauche n’était pas une donnée évidente : congrès de Tours (1920) : proposition entre radicaux et socialistes. Les radicaux sont pour une république laïque

de raison entre les communistes, les socialistes et le MRP (aucun des trois ne souhaite un têteà- tête) qui dure seulement quinze mois. Attention 1er effet C’est la fin du tripartisme. C’est un événement important de l’histoire politique française car il faut attendre 34 ans pour que des communistes, considérés longtemps comme les hommes de l’étranger (Moscou), entrent à nouveau dans un gouvernement (en 1981). Attention 2e effet Les communistes entrent dans l’opposition. Selon les

(1946-1947) 1) Coalition hétérogène. * Depuis _45 : 3 forces gouvernent => redresser pays. = TRIPARTISME * Parti communiste (dissou 1939- pacte germano-soviétique MAIS reconstitué 1945 pr rôle ds résistance) * SFIO (Section Frçe de l’Internationale Ouvrière créée 1905 par Jean Jaurès, dirigé par Léon Bloom => ancien président du conseil sous Front pop. Déporté Buchenwald ap. jugé par Vichy) * MRP (Mouvement Républicain Populaire en 1945 par Georges Bidault ap. Jean Moulin à la

Affaire Dreyfus 1894-1906, Cartel des gauches 1924 > éléments nouveaux : menace fasciste intérieure (exagérée par la gauche) et extérieure (Italie et Allemagne) 1934 : Le PCF reste sourd aux appels d’union (ils veulent le monopole de la classe ouvrière et rejettent tout partis n’adhérent pas à ces idées ex. la SFIO considéré comme un parti « socio fasciste ») AU DEBUT prise de conscience des intellectuels coco - le groupe AMSTERDAM PLEYEL avec Romain Rolland et Henri Barbusse promeuvent l’idée

journal communiste pour lequel Raoul travaille. L’affiche électorale est créée pour inciter les gens à voter pour le «Front Populaire », une coalition de partis de gauche réunissant les trois principaux partis de la gauche, la SFIO (Section française de l’Internationale communiste), le Parti radical-socialiste et le Parti communiste. Le Front Populaire veut empêcher la France d’entrer en guerre lors de la montée en puissance de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler. Les élections législatives vont ensuite

11) pour arriver à 8 heures de travail par jour. Mais ce qui est également réaffirmé dans la charte d'Amiens c'est une demande "d'augmentation des salaires" (l.11). Le but est donc de satisfaire la demande ouvrière. Rappelons qu'a l'époque, la France est secouée par de nombreuses grèves ouvrières qui sont violemment réprimées. La CGT se présente ainsi comme étant un intermédiaire entre le patronat et le monde ouvrier. B-Un but ultime: renverser le patronat Les idées exprimées par la CGT dans