Séduction

dans les grands bois sourds (v. 23-4)». Cet épisode la réveillera. En attendant, il ne remarque rien, ne se rend nullement compte des manoeuvres de séduction de sa compagne. C’est pourquoi il est défini dans le texte par des négations, aux vers 4, 20 et 28, ces deus derniers vers étant d’ailleurs remarquablement parallèles. et la tentative de séduction de la jeune femme n’aboutit pas. C’est une occasion manquée. La fin de cette petite histoire est marquée par la reprise en chiasme des deux premiers

d'un personnage infidèle, séducteur, libertin, blasphémateur: Don Juan, jeune noble accompagné de son fidèle valet Sganarelle, qui accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après qu'il s'en soit lassé. Malgré son grand succès, cette pièce sera censurée sous la pression de la compagnie du Saint-Sacrement. Dans la scène d'exposition Sganarelle discute avec

coutumier !) que ce n’est pas lui qui a pris l’initiative de la séduction : « C’est elle qui me témoignait une envie d’être ma femme »… • Puis il cherche à décrédibiliser la parole de la rivale, en l’accusant d’obstination, voire de folie. (on n’est pas loin de l’argument ad hominem) : un exemple parmi d’autres : « Elle est obstinée comme tous les diables » • Tout ceci se fait sous le mode de l’aparté, ce qui relève d’une stratégie de séduction, puisque chacune croit avoir le privilège d’un secret entre

Texte dynamique Anecdote qui rappelle l’Odyssée=> Lien/ connaissance commune 2. Différents moyens de persuasion Présentation ludique : exemple de mythologie et poésie antique (ni scientifique ni mathématiques) => séduit le lecteur CL dela séduction et du plaisir, répétition du mot « fable » Questions de rhétoriques Rapport au stoïcien => Montre un lien entre plaisir et enseignement => Donne crédit au propos d’Erasme II- Lesidées qu’il véhicule 1. Les matières fondatrices Deux pôles

jeune Cécile afin de ruiner le mariage de Gercourt. Valmont retenu chez sa vieille tante Mme de Rosemonde, par la présence de sa nouvelle proie, la Présidente de Tourvel, jeune femme dévote et vertueuse, refuse l’offre. Il veut faire de cette séduction une prouesse spectaculaire. Ce qui agace Mme de Merteuil: « Déjà vous voilà timide et esclave, autant vaudrait être amoureux. » (lettre 10, de Merteuil à Valmont) Tandis que la jeune Cécile s’éprend du Chevalier Danceny. Valmont, apprend que

but le plaisir de la chair, mais le véritable objectif de V et M n’est pas le plaisir sexuel (plaisir facile), sinon le plaisir intellectuel, donc un plaisir plus difficile à atteindre. Leur véritable objectif c’est la difficulté. Leur projet de séduction est un projet intellectuel cf. projet de Prévan. Explication du titre : liaisons dangereuses  entre Valmont et Mme de Tourvel, entre Valmont et Cécile et surtout entre Valmont et Mme de Merteuil Ce Roman libertin est d’un type particulier

On y trouve de nombreuses didascalies indiquant gestes et mouvements : l’entrée et la sortie des personnages en courant, la révérence de Suzanne, le geste de séduction du maître qui se croit tout permis sur sa servante et « veut l’embrasser ». – Les précisions sur les attitudes de Suzanne soulignent son art de la comédie et de la séduction : « les yeux baissés », « timidement ». – Les didascalies soulignent aussi la gaîté toujours présente dans ce théâtre, et précisent plusieurs fois « en riant »

selon Catalina Ferrer et Simone Leblanc-Rainville, deux professeures de l’Université de Moncton, que la société, à la place de favoriser un apprentissage sexuel sain et porteur d’épanouissement sexuel, favorise plutôt la précocité sexuelle, la séduction fortement sexualisée, la recherche persistante du plaisir comme le fait d’avoir des «fuckfriends» et des rapports sexuels centrés sur la pornographie. En effet, il est très vrai de dire qu’aujourd’hui en comparaison avec il y de cela quelques dizaines

monde des « démons » et celui des « anges » en remplaçant « les fées au cheveux verts » par : « des filles blondes (…)  aux nattes repliées », sachant qu’à cette époque, la longue chevelure déployée était connotée comme un élément de dangereuse séduction, à l’inverse des nattes blondes relevées et du regard « immobile » qui étaient d’emblée signe de pureté. C’est cependant le malaise de la vision initiale des ondines perverses qui l’emporte dans l’esprit désorienté et troublé du mal-aimé (Apollinaire)

personnage Tartuffe, est remplie de bougie. On pourrait penser que cette salle est une chapelle mais aussi une cachette. D’autant plus que cette image de chapelle seras déchirée lors la scène avec Elmire quand les bougies serviront d’instrument de séduction .Ainsi, même si nous ne voyons pas le Tartuffe, il est belle est bien là, à guetté la famille. Le scénariste a su exploiter tous les axes du plateau avec des mouvements en profondeur, en vertical, en premier plan à vous en donner le vertige. Toutes