Seigneurie foncière

Comendatio ou recommandation. 2) Conséquences politiques éclatement empire carolingien. Partie 2) Construction de l’unité étatique française. Chapitre 1) Féodalité : éclatement de l’unité du pouvoir. Section 1) Seigneurie : une entité souveraine. §1) Seigneurie banale : cadre du pouvoir. Ddsdd B) Personnes sous la dépendance du seigneur. 1) Les roturiers. 2) Les serfs. C) Division de la société en ordre. 1) Partition en ordres de la société. 2) Compilation des 3 ordres

paysan du XI au XIII°s ? I-La vie des communautés paysanne.(l.p102-103). A) UN monde rurale encadré par la seigneurie. L'asséneurie correspond a un territoire dont la taille varie ces terres sont souvent dissimilé sous plusieurs paroi voir même région. Dés prés, des forêts. La seigneurie est demeurer par un château qui est la demeure du seigneur celui ci exerce sont pouvoir sur la seigneurie. Le seigneur accorde a ses paysans la propriété a condition quel soit mise en valeur et en échange d'une

appelé aussi roturier, car ruptura signifie en latin «terre brisée», ou manant, de manere qui veut dire «demeurer». C'est parce que le vilain demeure attaché au sol qu'il laboure qu'il porte ce nom. Il est propriétaire ou exploitant des terres de la seigneurie. Il existe deux types de paysans : les vilains et les serfs. Les serfs faisaient partie du domaine. Ils étaient associés à un terrain qui, lorsqu'il était vendu, passaient d'un maître à l'autre, de la même manière que les animaux de la ferme. Le

------------------------------------------------- DM HISTOIRE ------------------------------------------------- Le rôle de l’abbaye de Saint Denis dans l’essor agricole L'abbaye de Saint-Denis a été construite au VIIe siècle par Dagobert Ier. Celui-ci la fit élever à l'endroit où, d'après la tradition, furent inhumés saint Denis, le premier évêque de Paris, et ses deux compagnons, le prêtre Rusticus et le diacre Eleuthère, après avoir été décapités à Montmartre. C'est donc grâce au roi Dagobert

nourrit, tout soustient Par sa haulte digne provisïon*; Mais, pour tenir la terre en unïon, A ordonné chascun en son office: Ly un seigneur, l'autre en subjectïon Pour Foy garder et pour vivre en justice. Et qui de Dieu le plus hault honneur tient Par seigneurie ou dominacïon, Plus est tenu et plus lui appartient D’avoir en lui entiere affectïon, Crainte et honneur, bonne devocïon Et vergoigne de meffait et de vice, Et faire tout en bonne entencïon Pour Foy garder et pour vivre en justice. 52 Cil est

laïcs (comtes, ducs, chevaliers…) ou des ecclésiastiques (abbés, évêques) Il joue un rôle protecteur et défensif. Les relations entre le seigneur et ses paysans sont basées sur une forme de contrat : en échange de l'exploitation des terres de la seigneurie, les paysans paient des redevances Le lien vassalique est à la base du système féodal. Il s'agit d'un contrat entre un grand seigneur (le plus puissant est le suzerain) et un seigneur moins puissant (le vassal). La société féodale possède sa propre

l’activité de l‘un d’eux permet aux autres de vivre .» 2 Adalbéron de Laon, Évêque, poème au roi Robert 1025-1027 3 LE MOYEN AGE: Les 3 ordres de la société féodale (2) Cm La terre appartient au seigneur : « La seigneurie » Le seigneur est propriétaire de la terre. La seigneurie comprend deux parties : la réserve du seigneur et les tenures que cultivent les paysans. Le seigneur doit protection et justice à ses paysans. En retour, ceux-ci travaillent la réserve (on parle de « corvées ») et doivent

seigneurs. Exemples : Saint-Montan, situé en Ardèche, était un bourg castral au XIème siècle. Un bourg castral est un village qui s'est réunit autour d'un château. Coucy était une grande et importante seigneurie au XIIIème siècle. Une seigneurie est un ensemble de territoires sur lesquels la seigneurie à des droits. B. La vie des paysans contrôlée par les seigneurs Exemples : Certains paysans, les serfs, dépendent totalement de leur seigneurs. Ceux-ci ont des plusieurs types de droits sur leurs

 FULBERT DE CHARTRES Recueil des Historiens des Gaules et de la France Ce texte de nature historique intitulé « Fulbert de Chartes » est un extrait de l’ouvrage «  Recueil des Historiens des Gaules et de la France » écrit par FULBERT DE CHARTES, évêque de Chartes né vers 960 et mort en 1028. Ce texte, écrit au XIème siècle plus précisément en 1020, définit les relations et les obligations instaurées entre le vassal et son seigneur durant le régime féodal. C’est d’ailleurs sur ces relations

seules richesses du paysan. La perte imprévue d’un animal est vécue comme un drame parce qu’elle met le propriétaire dans une situation inconfortable et annonce des lendemains incertains. L’auteur rappelle aussi la cupidité des autorités de la seigneurie : du prévôt voleur et insensible au châtelain qui prélève de lourds impôts sur la population de son domaine, chacun profite de la moindre occasion qui lui est offert pour s’emplir les poches. Taxés plus que de raison, les paysans se ruinent à payer