Seine-Maritime

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne..., ou plus simplement Demain, dès l’aube..., est l’un des plus célèbres poèmes de l’auteur français Victor Hugo, publié en1856 dans le recueil Les Contemplations. Composé de trois quatrains d’alexandrins en rimes croisées, ce court poème n’a pas de titre, si bien qu’on le désigne traditionnellement par son incipit, c’est-à-dire les premiers mots qui le composent. Il constitue le poème XIV de Pauca meae(quelques vers pour ma fille), livre quatrième

Ju La Pa Sa Er Go Pa Pa Pa Na Éd Le Cl re lai Île aie r le op c s La Seine Université Paris10° @I Rue Guy u Por t r@ @ a en R. des A86 2 Gare s Arrêt non accessible aux UFR @r 27 RUEIL-MALMAISON tin a @ @ r Rue Pascal Bd Blaise Pascal Bd J . Ma nsar @ @ r a 159 160 378 b 157 @ Ligne Bleue 559d b 160 @ b 159 559c @ ZONE TARIFAIRE 3 t @ @ r a b 304 @ @o S rs ie l up e sP e .d R La Seine Rue @I des Hautes R. J. Jaurès Pâtures A 86 @H Hôpital de Nanterre

parlerai pas, je ne penserai rien: Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien Par la Nature,-heureux comme avec une femme.  Arthur Rimbaud, Mars 1870 Poésies (1870-187 Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous

c l'expression d sentiments *Le 4 septembre 1843, Léopoldine Hugo se noyait dans la Seine avec son mari. C'est un tournant pour Victor Hugo. Un recueil s'organise autour de ce tragique événement « Paucae Meae » dans les Contemplations (ces quelques vers pour ma fille). Racontant toutes les étapes de son deuil. Demain dès l'aube (quatorzième poème parmi les dix-sept) évoque le cheminement du poète allant sur la tombe de sa fille lors de son quatorzième anniversaire . Dans ce poème Hugo exprime

associé au vers suivant par un enjambement, et qui permet de mettre en valeur le thème principale du poème : la fuite du sentiment amoureux en analogie avec la fuite du temps associé à l’image de l’eau qui s’écoule « Sous le pont Mirabeau coule la Seine , Vers 1 ». L’auteur partage au lecteur la mélancolie du poète grâce au refrain « vienne la nuit sonne l’heure ; Les jours s’en vont je demeure ». On remarque un sentiment de tristesse face à la fuite du temps. Mais avec les côtés assez anciens du

|Sous le pont Mirabeau coule la Seine | |Et nos amours | |Faut-il qu'il m'en souvienne | |La joie venait toujours après la peine | | | |Vienne la nuit sonne l'heure | |Les jours s'en vont je demeure

Mirabeau" est un extrait du recueil Alcools paru en 1913. L'auteur y fait allusion а sa rupture avec Marie Laurencin et au-delа йvoque la fuite du temps semblable а l'eau qui s'en va. 2. Lecture du texte : | |Sous le pont Mirabeau coule la Seine | | |Et nos amours | | |Faut-il qu'il m'en souvienne | | |La joie venait toujours aprиs la peine |

pont Mirabeau coule la Seine" l'élément statique (pont) est rejetté en début de vers et l'élément dynamique (eau) en fin de vers, ce qui suggère une certaine fluidité. De plus, l'amour et l'eau semblent s'enfuir ensemble "Sous le pont Mirabeau coule la Seine et nos amours" (ce qui n'est pas vrai> verbe coule au singulier) Cette impression est renforcée à la 2ème strophe, où l'amour est passé sous le pont que le peintre et Apollinaire ont constitué avec leur bras, comme la seine est passée sous le pont

prendra le nom d’impressionnisme. En 1867, il se marie avec Camille qu’il prend pour modèle de ses tableaux. Il a un petit garçon prénommé Jean. Ses toiles ne se vendent pas bien, ils n’ont pas beaucoup d’argent. Ils partent habiter près de la Seine  où Monet adore peindre les reflets de lumière sur l’eau et s’aménage un bateau-atelier. En 1874, Claude Monet et ses amis organisent leur propre exposition. Un critique se moque d’eux en disant qu’ils ne peignent que des impressions, que ce sont

Le poème est écrit comme le discours d’un narrateur qui tutoie un interlocuteur restant inconnu, pour lui raconter, à la première personne et au futur, de quelle manière il va partir le lendemain dès l’aube et, sans jamais se laisser distraire par son environnement, marcher à travers la campagne pour le rejoindre. De manière inattendue, ce voyage s’avère finalement plus tragique qu’on aurait pu l’imaginer, puisque la fin du poème révèle que cette personne chère, à laquelle le narrateur s’adresse