Séisme de 1755 à Lisbonne

précepteur, Pangloss, philosophe à la langue trop pendue, défenseur d’un optimisme béat. Le Baron, en apprenant les sentiments que Candide nourrit pour sa fille, le chasse de ses terres. Ainsi va commencer une suite interminable de malheurs qui infirmeront définitivement la devise de Pangloss (« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles »), menant Candide de Westphalie en Hollande, puis à Lisbonne où il survivra au tremblement de terre de 1755, et de là aux Amériques, au merveilleux

Introduction Voltaire (de son véritable nom François-Marie Arouet), né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des français. Il était chef du parti philosophique, était déiste et il se servait de sa notoriété pour prendre la défense des victimes de l'intolérance, notamment religieuse. Ses œuvres qui sont encore aujourd'hui populaire sont Candide et

François Marie Arouet, dit Voltaire est né le 21 novembre 1694, à Paris, dans une famille aisé (son père est notaire). Il étudie chez les jésuites au lycée Louis le grand où il y fait des études brillantes. Il gardera toujours en mémoire ses professeurs. Il se tourne ensuite vers la poésie mais son insolence le conduit dés 1717 à la Bastille. Ensuite il écrit Œdipe, une tragédie. Un voyage en Angleterre lui inspire ses Lettres philiosophiques. A la cours  de Frederique II de Prusse, il écrit ses contes

avec Diderot, Rousseau et Montesquieu afin de combattre l'obscurantisme. A travers son conte philosophique Candide paru en 1759, il critique l'optimisme leibnizien représenté par un personnage nommé Pangloss. Effectivement, Candide s'est inscrit dans un débat important du XVIIIe sur l'optimisme, le fatalisme et l'existence du « Mal ». Voltaire fit aussi référence au tremblement de terre de Lisbonne de 1755 dans son œuvre qui a secoué la capitale d'un pays profondément catholique, et nul n'a pu expliquer

de Voltaire, est à l’origine de plusieurs œuvres historiques, pièces de théâtres et écrits philosophiques. Par ses œuvres, il est devenu un des plus grands écrivains français du dix-septième siècle. Candide, parut d’abord sous le titre de «Candide ou l'Optimisme, traduit de l'allemand de Monsieur le Docteur Ralph», est un conte philosophique publié en 1759. Pour cette œuvre, Voltaire était alors dans le contexte de la guerre de Sept Ans de 1756 et du tremblement de terre de Lisbonne du premier novembre

d’écriture : 1755 : tremblement de terre de Lisbonne 1756 : Voltaire écrit Sur le désastre de Lisbonne 1759 : Voltaire écrit Candide Dans Candide, Voltaire réfute l’optimisme exagéré qu’il attribue à Leibnitz (1646-1716) qui pense que la vertu est une tendance naturelle de notre être vers le bien. Voltaire va y opposer la réalité du monde et de la nature humaine (l'homme peut être cruel). Le conte philosophique est un genre argumentatif que Voltaire a beaucoup employé, même s'il a aussi publié

Synopsis : Candide est un jeune garçon vivant au château du baron de Thunder-ten-tronckh qui se trouve en Westphalie. Il a pour maître Pangloss, philosophe qui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », et qui professait, à l'instar de Leibniz, que l'on vit dans le meilleur des mondes possibles. Cependant Candide est chassé de ce meilleur des mondes possibles à la suite d'un baiser interdit échangé avec Cunégonde, la fille du Baron. Candide découvre alors le monde et passe de déconvenues

Introduction : Ce texte nous fait réfléchir à comment penser le mal au 21ème siècle, et y inclut aussi bien le tsunami de 2004 à Sumatra que trois autres catastrophes, Auschwitz, Hiroshima et Nagasaki, revenant même sur le tremblement de terre de Lisbonne de 1755. Le lecteur peut être pris de suspense car dans le premier cas et celui de 1755, on a affaire à une catastrophe « naturelle », alors que dans le second, la tragédie est morale, et liée à des activités et des intentions humaines. Mais

empêcher les tremblements de terre, et comment Candide fut fessé. Apres le tremblement de terre qui avait détruit les trois quart de Lisbonne, les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel-audodafé ;il était décidé par l'université de Coïmbre que le spectable de quelques personnes brulées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infallible pour empêcher la terre de trembler, On avait en conséquence saisi un Biscayen

L’écrivain et la littérature possèdent une liberté que ne possède pas l’historien. Mais comment définir vraiment le réel ? Le réel existe-t-il ? Paradoxalement, le réel n’existe pas tout à fait : en effet, le réel est filtré par le regard de celui qui l’appréhende. Un lieu réel et quotidien pour une personne peut être complètement imaginaire pour une autre. Il en est de même pour un personnage, un évènement, un environnement… Par conséquent, l’imaginaire dépend du quotidien vécu par la personne