Sens et dénotation

La Formation et le sens des motsLa formation et le sens des mots : étude du lexique • On appelle lexique l’ensemble des mots d’une langue. Cet ensemble varie selon le temps, l’espace, les locuteurs... • Les mots constituent un élément du lexique. Ils sont délimités à l’écrit par un blanc graphique. Mais il s’agit d’un terme générique qui regroupe différentes catégories grammaticales : table est un mot, mais manger, de, par, etc. sont aussi des mots. Ainsi le mot peut être un nom, un verbe, une

œuvres en général afin de mieux créer les leurs. A/ la dénotation et B/ la connotation. A partir du repérage et de la reconnaissance (dénotation) chacun pourra alors chercher tout ce à quoi ces éléments renvoient et font penser (ce qui est connoté). Une fois en possession de ces éléments, chacun devra pouvoir repérer le sens global des images. L’analyse se fait en deux étapes l’analyse dénotative et l’analyse connotative. A/ La Dénotation : Ici la seule question que l’on doit se poser est : qu’est

de Paris : Le Jugement Dernier. b) Illustration de La Divine Comédie de Dante par Sandro Botticelli c) Détail du triptyque, le Jardin des Délices de Jérôme Bosch : l’Enfer Analyse de l’image : chaque groupe devra analyser une des images (dénotation et connotation) puis en fera part à ses camarades. Donner quelques pistes de réflexion : type d’oeuvre, personnages, lieu, symbolique des couleurs, réalisme ou fantasmagorie ? Quelles impressions ? Quelle intention chez l’auteur ? SEANCE

elles, rappellent l'art primitif africain. La toile est découpée en plans triangulaires et se présente comme un montage de l'actualité de l'époque en noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. Description (Dénotation ) : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe

suspecter la nature linguistique de l'image ; l'opinion commune elle aussi tient obscurément l'image pour un lieu de résistance au sens, au nom d'une certaine idée mythique de la Vie : l'image est représentation, c'est-à-dire en définitive résurrection, et l'on sait que l'intelligible est réputé antipathique au vécu. Ainsi, des deux côtés, l'analogie est sentie comme un sens pauvre : les uns pensent que l'image est un système très rudimentaire par rapport à la langue, et les autres que la signification

suspecter la nature linguistique de l'image ; l'opinion commune elle aussi tient obscurément l'image pour un lieu de résistance au sens, au nom d'une certaine idée mythique de la Vie : l'image est représentation, c'est-à-dire en définitive résurrection, et l'on sait que l'intelligible est réputé antipathique au vécu. Ainsi, des deux côtés, l'analogie est sentie comme un sens pauvre : les uns pensent que l'image est un système très rudimentaire par rapport à la langue, et les autres que la signification

l’ensemble des personnages .Toutes les bouches sont ouvertes et expriment l’effroi, la terreur ou la douleur, les personnages hurlants sont tournés vers le ciel, position qui accentue l’expression intense des visages . Les sens dénotés et connotés : La lumière Dénotation : Il y a plusieurs sources lumineuses dont la lampe du plafond, la lampe à pétrole, les ouvertures vers l’extérieur (portes et fenêtres) .La lumière divise la scène en deux parties (gauche et droite).Les contrastes de valeurs

exprimant le doute ou la certitude ( croire, douter, certifier, confirmer, sans doute,...), le mode conditinnel, la négation... *Le discours rapporté: Le discours direct, indirect ou indirect libre. 2/ Les procédés lexicaux *Le sens propre (la dénotation) / Le sens figuré (la connotation). *Le champ lexical. *Le vocabulaire mélioratif ou péjoratif. *La variété de langue. 3/ Les procédés syntaxiques et grammaticaux *Les types de phrases ( type déclaratif, interrogatif, exclamatif

d'un « plan d'expression » (signifiant) et d'un « plan de contenu » (signifié). Il met en place deux niveaux de langage : le dénoté et le connoté. On est dans la dimension de la dénotation et de la connotation. Dénotation répond à la question « Que voyez-vous sur cette image ? » (couleur, forme, typo, redactionnel, objet, sens de lecture, logo...) Connotation répond à la question « Qu'est ce que cela vous évoque ? » (références, symboles, interprétation...) Barthes implique une certaine implication

concrétisé par une forme. Contraintes deviennent spécifications de la forme. Une image est une représentation (ou réplique) perceptible d’un être ou d’une chose. Une représentation concrète servant à rendre sensible une idée abstraite. En littérature (au sens le plus lare du terme) fondée sur la similitude (notamment allégorie), métaphore. Etymologiquement, au XIIe siècle : « ce qui reproduit ou imite quelqu’un, quelque chose », « à la ressemblance de, en conformité avec », « représentation mentale produite