Sensationnalisme

romains de l'Antiquité, el des jeux du cirque », « du pain où le spectacle des gladiateurs se terminait par la mort de l'un, sinon de plusieurs d'entre eux, pour se rappeler que la mort en scène fascine. Est-ce par voyeurisme, par sensationnalisme? Peut-être que voir l'autre mourir permet de se sentir encore plus vivant. Cette pratique, qui peut aujourd'hui paraître barbare, ne s'éloigne pas beaucoup de la peine capitale, laquelle n'est est pas moins barbare, et nous conduit directement

citées au début de cette introduction ont existé des actions parallèles. Les documents, les photographies et les faits contenus dans les pages suivantes n'ont d'autres buts qu'historiques. Ils sont dépourvus de toute recherche ou intention de sensationnalisme et ne cherchent pas à révéler des illégalités, qu'il s'agisse de personnes ou de sociétés ayant participé de quelque manière que ce soit à la distillation, à la distribution, à l'entreposage ou au transport de ces boissons alcooliques. La

familiarisant. Le petit format de l’écran permet de « transformer chaque événement du monde en un bibelot « . Il nous fait croire à la possibilité d’une vue d’ensemble sur l’événement, et à son caractère finalement anodin. « Il y a, à côté du sensationnalisme, certes caractéristique, un antisensationnalisme qui lui est étroitement lié et n’est pas moins dangereux ». III. La nouvelle. Nous avons dit que ce qui nous arrive par la télévision, c’est la chose sous forme de fantôme, c’est-à-dire ni la

français pour une meilleure (!) diffusion dans l'hexagone. On retrouve dans l'exemple ci-après la plupart des critères qu’une rumeur doit remplir pour réussir à leurrer son monde : - Existence d’un enjeu ou intérêt significatif. - Sensationnalisme. La rumeur est de nature à « appâter » les médias qui en sont avides (recherche de scoop), l’opinion publique qui y est sensible ou une communauté Internet particulière. La présentation est « accrocheuse ». - Accréditation effective de

«fauteurs de troubles», dont la présence et le comportement mettent en péril la prospérité et la coexistence pacifique en Allemagne. Dans la presse tabloïde en particulier, on a relevé de nombreux exemples de «dramatisation», d’«exotisation», de «sensationnalisme», de «déformations» et d’«inexactitudes», qualifiés par Bernd Scheffer (1997, p. 33) de manipulations. Selon Claudius Rosenthal (2000, p. 196), la présentation par les médias des problèmes et des processus migratoires a contribué à l’époque,

la publication d’une image : - Le caractère identifiable du défunt. - La notoriété → la notion de préjudice en la personne des proches du défunt est plus ou moins importante selon la notoriété du défunt. - Le contexte de la publication. - Le sensationnalisme et la recherche du voyeurisme est aussi un critère établi par la CEDH. - Le lieu de l’image (privé ou public). - L’époque de diffusion de l’image → la diffusion doit se faire dans un délai qui respecte le deuil des familles. Grandes affaires

musulman bénéficiaire de la rente pétrolière. Tout à côté de cet Etat, le Cameroun vit paisiblement une cohabitation religieuse sans problème Sur un plan ethnique, la situation est tout aussi paisible même si certains esprits en mal de sensationnalisme ont cru devoir expliquer la tentative de putsch de 1984 par le fait ethnique, ce que l'histoire ne retiendra pas comme une hypothèse scientifique. CONCLUSION. La logique étatique utilise parfois le religieux pour atteindre une fin

sensibilisation des médias sur ces questions Les journalistes travaillant sur la thématique de l’enfance ne connaissent pas « suffisamment » les droits de l’enfant, surtout ceux d’enfants aux besoins spécifiques, et déclarent traiter le sujet avec « sensationnalisme » (analyse de la situation des enfants au Maroc, UNICEF- ONDE 2014). De facto, moins de 50% des journalistes exigent l’autorisation parentale et moins de 40% d’entre eux ne le demandent pas aux parents, même si la majorité de ces journalistes

dynamique chargée qui se développait à notre insu au sein des groupes. Ainsi, le caractère incongru — ou par moments même scandaleux — de certaines des situations décrites semblait littéralement « allumer » nos étudiants, même les plus passifs. Le sensationnalisme ne paraissait pourtant pas être en cause, mais davantage le sentiment de vaguement deviner que « ces choses-là existent réellement » et que c’était souvent la première fois que nous les abordions ouvertement. Car les incidents critiques ne sont

cette logique de l’image et du scoop se fait la sélection des sujets par les journalistes des chaînes privées comme des chaînes publiques. Une telle information n’est pas non plus de nature à permettre au citoyen de se situer en tant que tel : le sensationnalisme ne permet pas vraiment la réflexion citoyenne. Dans une logique de marché, elle privilégie le scoop, et se retrouve dans des situations pour le moins ambigues déontologiquement (PPDA “interviewant” Fidel Castro; plus grave peut-être, la guerre