Sensualité

I) Un anti-portrait On verra comment la révolte de la sensualité de Madame de Mortsauf à l’agonie déclenche paradoxalement le dégoût de Félix dans la description qu’il en fait. Le dégoût se marque par un présentatif associé à la négation « ne … plus » montrant l’irrémédiable : « Ce n’était plus ma délicieuse Henriette ». Les adjectifs et les désignations s’opposent. L’adjectif valorisant « délicieuse », qui connote la sensualité, est associé à « Henriette », qui marque l’intimité soulignée

d’autres mais nous pouvons tout de même citer comme exemple « Sensations » d’Arthur Rimbaud qui illustre à merveille la sensualité de la poésie. Le fait que ce soit des éléments pris à vif justifie la longueur du poème. En effet, on ne peut retranscrire ces moments que par des courtes tournures qui illustrent bien le côté spontané. Les poèmes ont donc un part prédominante de sensualité et de spontanéité, ce qui les différencie. De plus, les poètes ont une vision du monde totalement différente de celle

épargnée de la honte physique, où la sensualité est assurée, avec ce parallélisme aux vers sept et huit avec « […] dont le corps est mince et vigoureux, » et « […] dont l’œil par sa franchise étonne. », ces vers indiquent clairement par le sens de la vue, que les femmes expriment ce qu’elles désirent sans frustration, ce qui dégage enfin sur un dépaysement total. Par conséquent, on peut dire que l’auteur part d’un voyage déclenché par la sensualité, et nous emmènes vers un lieu qui a une

intimité, échelle humaine, microcosme galantUn filet d’eau claire… " Oh ! que j’ai soif ! "… elle releva la tête (peau, cheveux, cils, corsage)… " Comme vous êtes jolie ! " Progression liée nature/homme/femme 1.eau 2.soif 3.sensualité 4.déclaration La nature semble provoquer la sensualité (eau/soif/désir) et permet à Jean enivré de risquer les premiers mots galants… Un filet d’eau claire jaillissant…se répandant d’abord… puis tombant… s’enfuyait … puis disparaissait Métaphore filée : Eau/déclaration Eau/désir

une merveille », alliant sensualité (« une aspiration ardente vers la vie sensuelle ») et « grâce indescriptible ». Tout tend à idéaliser ce personnage de femme facile. La courbe ici, domine ; elle renforce l’élégance exprimée au début du texte, et surtout suggère la pureté - « l’expression virginale » - des traits, « dans un ovale ». Les « cils », la « bouche » qui s’ouvre, les « bandeaux » réfèrent implicitement à la courbe. ». […] Si la pureté est soulignée, la sensualité est suggérée: le nez «

rien n’est trop beau pour son amant, et transforme son appartement en véritable boudoir, source de plaisir interdit. Là encore, l’imparfait nous renseigne quant à l’aspect répétitif de ses actions, les roses font partie de sa séduction, voire de sa sensualité. On perçoit un certain raffinement, mis en valeur à travers certains détails donnés par l’auteur «roses », « grand vases de verre bleu » « bracelets, de bagues, de colliers ». Emma recrée l’ambiance romantique des romans « à l’eau de rose ». Les

Françoise Sagan écrira une cinquantaine de romans : 30 millions de livres vendus en France, de nombreuses traductions (en 15 langues). Ses thèmes favoris : la vie facile, les voitures rapides, les villas bourgeoises, le soleil, un mélange de cynisme, de sensualité, d'indifférence et d'oisiveté.Souvent considérée comme faisant partie de la Nouvelle Vague, elle a aussi contribué à la co-écriture de scénarios et de dialogues de films. En 1957, au volant de son Aston Martin, elle est victime d'un grave accident

«chaud», «grande» et «svelte». Cette femme exotique représente la noblesse, la sensualité et l’élégance aux yeux de Baudelaire. Dans cette première moitié de poème, Baudelaire compare la beauté d’un paysage exotique à la beauté d’une dame créole. Il y a une forte comparaison entre les deux quatrains. Baudelaire utilise des adjectifs et termes très similaires pour exposer ses idées. Le thème de l’exotisme et de la sensualité sont au cœur de ces deux premières strophes. Baudelaire décrit un décor et

modernité, les maux d'amours... Depuis toujours, la femme a été l'inspiratrice, la muse d'une infinité de poètes. Encore aujourd'hui, il reste l'un des thèmes le plus beau et le plus inépuisable. La femme, par sa beauté, son élégance, sa grâce, sa sensualité, sa douceur et ses charmes divers a été comparée à toutes les plus belles choses dont regorge notre monde. La femme, évocatrice d'admiration, de fougue et d'amour pasionnel a été décrite et adorée par une multitudes de poètes faisant l'éloge de

globalement l’image quand on suit les formes des principaux éléments représenté. Les lignes de force droite (horizontal, verticale, oblique ou diagonale) suggere la rigueur ou la rigidité. Au contraire les lignes courbes renvois à la douceur la sensualité, la féminité… Les lignes verticale renvois le regard du spectateur vers le haut de l’image suggerant ainsi l’esprit, l’intellecte, la sciences ou la spiritualité, les lignes horizontal surtout lorsqu’elles arrivent dans la moitié basse de l’image