Sensualité

humaine, microcosme galant Un filet d’eau claire… " Oh ! que j’ai soif ! "… elle releva la tête (peau, cheveux, cils, corsage)… " Comme vous êtes jolie ! " Progression liée nature/homme/femme 1.eau 2.soif 3.sensualité 4.déclaration La nature semble provoquer la sensualité (eau/soif/désir) et permet à Jean enivré de risquer les premiers mots galants… Un filet d’eau claire jaillissant…se répandant d’abord… puis tombant… s’enfuyait … puis disparaissait Métaphore filée : Eau/déclaration

n'oubliera pas, à la lecture de ces vers, que le poète, écartelé entre la tyrannie des sens et le rêve de pureté, sans cesse guetté par les démons de l''alcool, confie à l'art le rôle de réaliser son rêve de délicatesse et d'élégance, dans les jeux d'une sensualité devenue, ici, matière esthétique. Né à Valenciennes, en 1684, fils d’un maître-couvreur, marchand de tuiles, Jean-Antoine Watteau , dés l'âge de dix ans, est mis en apprentissage chez Jacques-Albert Gérin, l’un des peintres renommés de

poétique intitulé Les Fleurs du Mal. Un des poèmes « Les métamorphoses du vampire » fait partie des Épaves, ces pièces condamnées lors du procès en 1857. Voici un poème dans lequel l'auteur aborde le thème de la femme en l'associant principalement à la sensualité charnelle et à la mort. Nous nous demanderons comment le poète passe t-il d'une description sensuelle de la femme à une description repoussante d'un corps en putréfaction. Nous montrerons dans une première partie la le coté prédatrice charmante

de l’amour du poète sont évoquées. Dans le sonnet lyrique « aimez-moi donc Marie », Pierre de Ronsard invite sa muse à l’aimer dans un dialogue et en s’adressant à elle par une supplique et une projection tout en évoquant ses sentiments et la sensualité. L’invitation à l’amour débute dans le sonnet en alexandrins par une apostrophe, vers 1 « Marie ». Le prénom de la femme aimée encadre d’ailleurs les deux premiers vers puisque « Marie » est citée à nouveau dans le second vers. Le poète s’adresse

fermés » permettent la concentration sur son intériorité (de voir ce qu’on ne peut pas voir les yeux ouverts) et un « soir chaud d’automne » est une saison et un moment de la journée propices au regret, à la nostalgie… La femme est une source de sensualité (« odeur », « sein »). Le « sein chaleureux » a une connotation érotique. La femme est également une mère protectrice. L’odorat est le sens suprême chez Baudelaire, d’où le titre « parfum exotique ». C’est l’odeur du sein qui déclenche l’imagination

représentation des personnages pleine de force et de sensualité : la position agenouillée, l’étreinte puissante de l’homme et le visage extasié de la femme donnent aux deux amants une grande présence. Composition Le couple est sur un sol de fleur au bord du vide. La frontière entre les motifs masculins et féminins est nette, marquant la différence des sexes. L’expression du visage de la femme fait apparaître l’abandon et la sensualité. La position du visage de l’homme qui l’embrasse laisse

le moi est mis à distance et que le monde n’est évoqué que de manière fragmentaire et allusive. « Extase langoureuse » fixe un état particulier de ravissement. Le sujet est comme dépossédé de lui-même, hors de soi. Une sensualité diffuse parcourt les deux premiers vers, sensualité qui peut donner l’impression au seuil de l’œuvre que le poète renoue avec le 18° siècle raffiné et libertin du recueil précédent, celui des Fêtes galantes inspiré de Watteau. Mais la première ariette ne fait apparaître

est mis à distance et que le monde n’est évoqué que de manière fragmentaire et allusive. « Extase langoureuse » fixe un état particulier de ravissement. Le sujet est comme dépossédé de lui-même, hors de soi. Une sensualité diffuse parcourt les deux premiers vers, sensualité qui peut donner l’impression au seuil de l’œuvre que le poète renoue avec le 18° siècle raffiné et libertin du recueil précédent, celui des Fêtes galantes inspiré de Watteau. Mais la première ariette ne fait apparaître

Colin-Chloé, qui elle-même a été, nous allons le voir, choisie grâce au nom d'un morceau, Chlo-E (chap.6 et passim) 5). Et, les trois derniers titres (chap.4 5), dont deux comportent le mot �(blue (s)», terme qui résumerait ici toute la sensualité, la tristesse et même l'épreuve de la mort, décrivent successivement la situation de Colin. Blues de Vagabond révèle le héros entraîné dans le vagabondage après la maladie de Chloé qui l'oblige à quitter son appartement pour gagner de l'argent;

vers 3 « ma mère ». On note un jeu très fort sur les contrastes, après le sourire évoqué au vers 1 et la danse évoquée au vers 2, danse évoquée avec une allitération en « se », en sifflante (« Sire », « danserais » et « Séraphins »), qui crée la sensualité de cette danse. On passe donc du sourire et de la danse à la tristesse du vers 3, en antithèse. Ce jeu de contraste se retrouve complété au vers 4 par un autre effet, un 4ème effet de surprise, un jeu sur les anachronismes (périmé), avec Jean-Baptiste