Sensualité

fléau de société → réalisme. Notion de participation du visiteur à son œuvre est une composante très importante. Pour le Caravage, tout peut devenir un sujet de peinture ? → Un jeune génie qui s'amuse, s'enfuit, son goût pour la sensualité → peint la sensualité, la violence... 1600-1606 La grande période noire et le scandale. La mort de la vierge le plus grand scandale ! La mort de la vierge n'est d'habitude jamais montrée → il s'agit là de la mort physique d'une femme pauvre, seule une

parmi tant d’autres. Le plus célèbre poète ayant les félins comme source d’inspiration reste sans doute Charles Baudelaire célèbre poète du XIXe siècle. Dans les Fleurs du Mal il écrit plusieurs textes à leur propos. Dualité, intuition, mystère, sensualité douceur sont des thèmes qui nourrissent le rapprochement entre femme et chatte dans l’imaginaire des poètes. Nul mieux que Baudelaire n’a su illustrer ce rapprochement dans l’un de ces poèmes tiré des Fleurs du mal s’intitulant le chat. Charles

personnage féminin puis on mettra dans un deuxième temps en évidence le voyage imaginaire sur une île paradisiaque et exotique. Une première lecture de ce poème suffit à faire remarquer le côté sensuel et érotique de ce celui-ci. L'auteur évoque cette sensualité à partir du corps féminin de sa maîtresse. Il évoque plusieurs sens comme le toucher: en effet il se concentre tout d'abord sur une partie du corps: le sein (v.2), qui est désigné comme chaleureux, ce qui invite le poète à s'y nicher (il y a alors

de réceptif, sensible aux impressions et juge celons les sentiments et les sensations. Jambage : partie du bas (j/Y) = le concret. Si développé est actif, attaché au concret (ce qui peut être perçu) et à l’aspect matériel, la matière et même la sensualité. Mais n’est pas rêveur. Direction : Gauche ()= relation forte avec le passé ; est centré sur lui-même Droite ()= ouverture sur le présent, futur et aux autres. Veut aller de l’avant Dimension : Plat : nature simple(pas difficile à cerner)

l'interpretation. La toile représente une femme nue allongée sur un divan turquoise recouvert de draps blancs. Son visage angélique dénué d’expression est à la fois de face et de profil et est tourné vers le spectateur. Pour recrée la beauté et la sensualité, Ingres a peint un nu aux lignes allongées telle une arabesque sans tenir compte de la vérité anatomique: on remarque en effet son cou qui se tourne vers nous dans un 180° improbable tandis que le nombre des vertèbres du dos ont été exagérés. Le

peignait plutôt des scènes galantes. Car le Néoclassicisme est un style qui s’exprime en réaction au Rococo, style aristocratique, qui révèle un goût pour la beauté, la sensualité, le galant, qui s'harmonise à une vie désinvolte, agréable et amoureuse de la nature. Le néoclassicisme lui, cherche à substituer à la sensualité qui émanait du style rococo un style simple, solennel et moral dans le choix de ses sujets, grâce à des thèmes historiques, mythologiques, ou religieux, des sujets nobles où

que toucher est permis...que masser ses amants est bien différent que masser ses enfants... Apprendre à être d'abord a l'aise avec soit même, s'aimer, savoir comment atteindre le plaisir, seul ou avec un partenaire... Trouver ce moyen terme entre sensualité, "sexyness", tout en maintenant les apparences, une allure qui correspond à sa vie. Avoir le look qui convient au job et à la vie d'épouse et de mère, mais savoir laisser entrevoir que dessous il y a plus. Et admettre que le désir dans les yeux

Quels que soient les efforts de l’apprentie libertine , Mme de Merteuil juge incurables la « sotte ingénuité » et la « faiblesse de caractère » qu’elle rejette dans la catégorie des « machines à plaisir » (l.106) a) la sensualité comme guide - le registre du corps - la sensualité l’emporte sur la réflexion « je sens bien », « je sens pourtant bien »pour exprimer ses ébauches de pensée b) incapacité d’utiliser son libre-arbitre - de fréquentes tournures impersonnelles qui montre qu’elle

privilégie le nu dans ce recueil : un dessin sur deux est un nu, trois femmes sur quatre sont dénudées. S’inspirant du genre du blason, il s’appesantit sur certains détails corporels dont la chevelure, les yeux et la main, emblèmes de la beauté et de la sensualité. - Ainsi le titre "Belle main" (p.69) associe le mot « main » non plus à l’adjectif « libre », mais à « belle », sans déterminant avant le nom. Le recours au singulier, par opposition au pluriel du titre du recueil suggère une forme de généralisation

le moi est mis à distance et que le monde n’est évoqué que de manière fragmentaire et allusive. « Extase langoureuse » fixe un état particulier de ravissement. Le sujet est comme dépossédé de lui-même, hors de soi. Une sensualité diffuse parcourt les deux premiers vers, sensualité qui peut donner l’impression au seuil de l’œuvre que le poète renoue avec le 18° siècle raffiné et libertin du recueil précédent, celui des Fêtes galantes inspiré de Watteau. Mais la première ariette ne fait apparaître