Sentiment De Culpabilité

du mouvement, Antoine est associé au reste de la famille par l’emploi de la première personne du pluriel, « nous » « notre » ou encore par l’association du déterminant et de l’adverbe « tous ensemble ». Dans ce mouvement, Antoine évoque la culpabilité qui le blesse, au début du mouvement, la famille porte ce poids comme le montre la ligne « nous rendaient responsables tous ensemble »

phrase : Elle revit, elle a changé d'état d'esprit, « quand » (anaphore), cheminement de ses pensées, on est dans sa tête, crime, poids de la culpabilité, elle va se sacrifier, « elle lui avait fait paraître » condamnation classique, héroïne tragique classique, « elle ne se reconnaissait plus elle-mê » CHUTE. 3ème phrase : Poids lourd de la culpabilité de son mari vis à vis de son amant. Elle se reproche tout ? fatalité tragique. 4ème phrase : « Mais » connecteur logique d'opposition, cette

bibliothèque Payot »(2004) ( Freud émet l’hypothèse que c’est le complexe d’Œdipe qui a suggéré à l’humanité au début de son histoire, la conscience de la culpabilité, cette source dernière de la religion et de la moralité. « J’ai trouvé en moi comme partout ailleurs des sentiments d’amour envers ma mère et de jalousie envers mon père, sentiments qui sont, je pense, communs à tous les jeunes enfants ». C’est par ses mots que Sigmund Freud introduit pour la première fois en 1897, à travers une

arguments successifs.    La torture montre la capacité à endurer    Elle ne prouve ni l'innocence ni la culpabilité  le résultat est toujours le mensonge  Démonstration par raisonnement : 2 cas de figure -          peut supporter (coupable) -          ne peut pas supporter (innocent) Un innocent avoue une faute non commise pour ne plus être torturé Un coupable cache sa culpabilité pour avoir la vie sauve  Recours à la question oratoire "que ne dirait-on pas, que ne ferait-on pas..."

déportés à Auschwitz puis gazés le lendemain de leur arrivée. 6. Pouvoir en indiquer les principaux thèmes : Les principaux thèmes de cette histoire sont la Shoah, mais aussi le fait qu’il est très dur de vivre après avoir vécu la guerre, et la culpabilité de perdre des êtres chères. 7. Repérer les principales allusions historiques (p.98, 100, 108, 123, 138, 152, et 180) : On fait allusions à : l’entrée en guerre de la France (p.98) la victoire de l’Allemagne nazie (p.98) la signature de l’armistice

etc.   - Le Rapport De Brodeck a été écrit et publié en 2007   - Cette oeuvre a eu un fier succès auprès de publics différents. D’après certaines critiques ce livre nous fait réfléchir sur notre humanité ( ou manque d’humanité) ainsi que sur la culpabilité. Les critiques sont très positives " un livre à lire absolument ". Le Rapport de Brodeck a reçu le prix Goncourt des lycéens 2007   -Ce livre à pour thème: les souvenirs de la Shoah ( "raconté" par un homme l’ayant vécue)     II- Structure et genre:

l’étendue de sa souffrance : « Ma blessure trop vive aussitôt a saigné ». Ici, la blessure désigne son esprit, son âme, déchirée par le sentiment amoureux, a tel point que sa blessure semble physique. D’autre part, à travers la phrase « Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue », Phèdre montre a quelle point son esprit est en perdition, écartelé entre son sentiment amoureux et la morale. Enfin, non pas dans le texte mais dans la pièce de théâtre, Phèdre s’effondre au sol, se tient au mur, gémit et

tout. Thésée a de plus en plus de doutes concernant la culpabilité de son fils quand il le voit courtiser Aricie et lui promettre de l'épouser hors de la ville.
On apprend qu'Oenone s'est suicidée et Théramène annonce la mort d'Hippolyte, écrasé par un monstre marin. Phèdre s'est quant à elle empoisonnée et elle monte sur scène pour faire une confession publique avant d'expirer. Thématique Phèdre est un drame qui met en scène la culpabilité, la trahison et l'amour. Ces thèmes sont traités suivant

avec Œnone, sa nourrice. Dans cette scène on peut remarquer la honte d'avouer ses sentiments pour Hippolyte et la peur de révéler son secret (Acte I, scène 3, l. 182: "Œnone, la rougeur me couvre le visage. Je te laisse trop voir mes honteuses douleurs, et mes yeux malgré moi se remplissent de pleurs."). Phèdre se trouve dans un état de désespoir et de manque d'assurance et est entièrement soumise à ses sentiments envers Hippolyte. "Elle est perdue dans un cauchemar"1, comme constate Roger Mathé

pas être vrai, je ne suis pas lâche » l.17 - intonation : “ ! ” ≈ cris • Le jeu avec le manteau : - « Je ne peux plus supporter ce regard » l.11 (elle recouvre le corps d’Egisthe) = remords et culpabilité - « Que m’import ce regard » (elle arrache le manteau) = elle accepte / assume sa culpabilité hybris (= la fureur) • Opposition entre ce qu’avait imaginé Electre et la réalité « Je ne m’en rendais pas compte « l.4 en songe : « Ses yeux étaient clos, il avait