Sentiments Julien Sorel

jeunes gens aux aspirations romantiques: le rêve, la puissance et la gloire. C’est pourquoi Stendhal met en scène le personnage de Julien Sorel, simple fils de charpentier, dans son premier grand roman à succès Le Rouge et le Noir. Dès le début du roman, Julien apparaît comme un personnage voulant s’élever au dessus de sa condition : aux durs travaux que le père Sorel lui impose il préfère la lecture de livres, source d’évasion à son quotidien. Hanté par le mythe napoléonien, il espère satisfaire

Scène de rencontre De Mme de Rênal et de Julien Le Rouge et Le Noir De Stendhal Faire de ce texte un commentaire En 1830, Stendhal rédige Le Rouge et le Noir, roman qui nous livre une description de la France de la Restauration présentée comme un monde médiocre où domine principalement l’arrivée d’une nouvelle classe sociale : la bourgeoisie. Stendhal nous fait part du chemin que suit son héros Julien Sorel, qui à travers ses conquêtes sentimentales parviendra à gravir les échelons de la

pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je n'ai point l'honneur d'appartenir à votre classe, vous voyez en moi un paysan qui s'est révolté contre la bassesse de sa fortune. « Je ne vous demande aucune grâce, continua Julien en affermissant sa voix. Je ne me fais point illusion, la mort m'attend : elle sera juste. J'ai pu attenter aux jours de la femme la plus digne de tous les respects, de tous les hommages. Mme de Rênal avait été pour moi comme une mère. Mon crime

héros A- Des destins d'exception * Les histoires des romans doivent sortir de l'ordinaire Cf. la vie de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal. * Ex : les romans d'apprentissage. Le héros, jeune homme souvent plein de grâces (Cf. Julien Sorel assimilé à une « jeune fille déguisée »), est à la conquête de la capitale (héroïsme) => paysan (Julien Sorel ou Duroy de Bel Ami) ou aristocrate ruiné (Cf. Rastignac), il est désireux d'échapper à son milieu et est près à tout pour

Dans ce le livre le personnage principal est Julien Sorel, jeune homme de 19 ans, fils d’artisan, ambitieux qui admire Napoléon et qui rêve de gloire et qui veut conquérir la société. Nous avons aussi Mme de Rênal qui est une jeune femme de la noblesse provinciale sensible et prisonnière d’un entourage ennuyeux, elle tombe amoureuse de Julien et elle causera la mort de Julien et mourra à son tour d’amour pour lui. Le marquis de La Mole qui prendra Julien sous sa protection et s’en servira pour sa conspiration

tourmentée à une époque où chacun se cherche sans vraiment se trouver. Le roman compte deux parties : la première retrace le parcours provincial de Julien Sorel, son entrée chez les Rênal, et la montée de ses ambitions au séminaire, et la seconde la vie du héros à Paris comme secrétaire de monsieur de La Mole et son déchirement entre ambitions et sentiments. L'intrigue de ce roman a été inspirée à Stendhal par un fait divers dont le dénouement eut pour cadre les assises de l'Isère, son département

identité, une hérédité et un caractère propre. Julien Sorel personnage romantique et attachant en est l’exemple ici qu’Alain Robbe-Grillet oppose aux personnages des romans modernes comme de Meursault dans l’Etranger de Camus. Alain Robbe-Grillet écrit que le caractère des personnages de romans classiques permet aux lecteurs de les aimer, de les haïr ou de les juger. Est-ce ce qui permet d’apprécier la lecture d’un roman ? Ces trois sentiments résument ils les impressions ressenties par le lecteur

Texte 3 : Julien Sorel Nous ne sommes pas dans le premier chapitre du roman, mais au chapitre IV, « Un père et un fils ». Verrières et ses luttes de pouvoir nous ont été présentées. M. de Rénal, le maire, a proposé au père Sorel, propriétaire d’une scierie, de prendre son fils, Julien, comme précepteur de ses enfants car il est l’un des seuls de la ville à maîtriser le latin, étudié auprès du curé Chalan. 5 10 15 20 En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix

moins » ici c’est l’emploi du « moins » qui est accentue le dégout que Tchen ressent en effet qu’il utilise le poignard ou le rasoir cet acte le dégoute. Le point de vue omniscient, c’est a dire que le narrateur voit tout sait tout et perçoit les sentiment des personnages, nous permet de découvrir les pensés de Tchen « car il savait qu’il le tuerait. ». La dernière phrase de cet incipit : « Mais non, il ne se passait rien : c’était toujours à lui d’agir » montre une dernière fois la réticence qu’éprouve

principal. L’intrique commence lorsque l’un des deux personnages tombe amoureux de l’autre puis les possibilités se multiplient : si les sentiments ne sont pas partagées, le but du personnage sera de séduire l’autre ; si leurs sentiments sont réciproques, des difficultés tels que la famille ou un rival peuvent venir ébranler le couple. L’évolution des sentiments des personnages est un thème récurrent dans le roman, l’amour étant un sujet populaire depuis la nuit des temps. Par exemple, dans Mme de