Sepp Blatter

juin 2006, lors du congrès de Munich, précédant la Coupe du Monde, pour que la FIFA accepte le principe d’une suspension minimale de deux ans en cas de première infraction et d’une suspension à vie en cas de récidive. La Fédération dirigée, par Sepp Blatter s’est laissé la latitude d’« une gestion individuelle des cas ». La FIFA a fini, lors de son 57e congrès à Zurich, par mettre ses statuts en conformité totale avec le Code mondial antidopage. La FIFA pourra désormais déposer un recours auprès du

tutelle a accordé à la Fsf une subvention de 1 500 000 francs. La Fifa, fidèle à sa tradition, a été aussi un grand bailleur du football. Car, en sus des formations qu’elle a organisées en faveur des cadres du football sénégalais, les services de Sepp Blatter lui ont apporté une assistance financière de 220 272 940 Cfa. Des institutions nationales ont également alloué des subventions pour accompagner le renouveau du football. Il s’agit de l’Assemblée nationale (3 600 000), de la présidence de la République

n'ont aucune obligation d’aligner un nombre défini de joueurs formés localement sur le terrain de jeu ; ils sont entièrement libres dans leur composition d'équipe. Le projet de la FIFA : Le 6+5 est un projet de la FIFA porté par son président, Sepp Blatter, et qui consiste à rendre obligatoire la présence au début de chaque match d’au moins six joueurs sélectionnables dans l’équipe nationale du pays auquel appartient le club. Les arguments de la FIFA sont les suivants66 : le football repose sur un

Samaranch – respectivement président de la FIFA entre 1974 et 1998 et président du CIO de 1980 à 2001 –, s’est joué notamment dans les coulisses, sur fond de lobbying, de retours d’ascenseur plus ou moins discrets. Ainsi, l’actuel président de la FIFA, Sepp Blatter, avait peu caché qu’en tant que membre du CIO, sa voix irait pour Rio et son ancien mentor Havelange. À quelques semaines du verdict, ce dernier se prévalait de l’appui de 20 votes de membres du CIO en la faveur de Rio. Les Européens désirant voir

son règlement en repoussant au plus tard possible le moment du choix. Cela permet à certains pays d’élargir leur réservoir de joueurs potentiels. Le DTN François Blaquart commente cette décision de la FIFA : « En prenant cette décision, en 2008, Sepp Blatter envoie un message politique Sur cette question de la binationalité, on ne peut pas ne pas souligner que l’opportunisme existe également du côté fédéral. Si la réflexion autour du concept d’attachement est récente, pendant longtemps, on n’a pas

cas pour Arsenal 536 ou l’Inter Milan 537 par exemple. Pour favoriser l’intérêt des sélections nationales et encourager la formation de jeunes joueurs afin de leur permettre de jouer au plus haut niveau dans leur pays et dans leur club, Joseph Sepp-Blatter, le président de la FIFA, veut instaurer cette réforme dans les années à venir538. "Le 6+5 veut conserver une certaine identité des clubs et les sélections nationales. Que ce soit la FIFA ou l’UEFA, il y a une véritable volonté de maintenir la

«l’homme noir [l’arbitre], placé en totale infériorité technologique» (Blociszewski, 1996, p. 33). Le troisième effet est d’ordre quantitatif. Il consiste à chercher à rentabiliser les investissements en modifiant le nombre des épreuves porteuses. Sepp Blatter, président de la Fifa, réclame ainsi l’organisation d’une Coupe du monde tous les deux ans : proposition non retenue car elle se heurte aux intérêts des organisateurs des coupes continentales (Championnat d’Europe des nations 152 0366 Sports