Septième ciel

encore un jour , une heure obstinément. Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs qui n'en finissent pas de distiller l'espoir. Ils s'appelaient Jean Pierre, Natacha ou Samuel, certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou, mais qu'importe le ciel, ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux. 3. Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage; Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux. Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge, les veines de leurs bras soient devenues si bleues

vivent en harmonie et liberté ( symbolisée par le cheval ailé ) dans un univers où tout semble possible : des oiseaux vivent dans un bocal, des poissons dans une cage ; la couleur dominante, le bleu, crée une impression de sérénité et symbolise le ciel.

mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille

LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et

fissure, par un ciment invisible qui les rend solidaires. Dans la juxtaposition du Noir (substance) et du Blanc (essence), on retrouve le symbolisme du yin et du yang, qui n’existent que l’un par rapport à l’autre, indissociables par leur symbolisme du ciel et de la terre, du féminin et du masculin, le visible et l’invisible. C’est l’expression du dualisme et du complémentarisme universel. Comme le Yin sombre comporte un point yang clair et inversement, on trouve la trace de lumière dans l’ombre et de

bonheurs, si sa fille était triste. D’autre part, Victor Hugo préfère vivre dans le passer que d’affronter la réalité : « Entre un bois sombre et le ciel bleu? C’est là que nous vivions. Pénètre, Mon cœur, dans ce passé charmant! » En outre, le bois sombre sont représenté étant le présent, le « sombre» illustre le coter d’obscurité du poète. De plus, Le ciel bleu est illustré comme son passé heureux avec sa fille. Il explique que le présent n’est plus important pour lui et cet auteur préfère vivre dans

des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. 3. L'image de l'enfermement - La prison, d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure. - Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle . - La pluie dessine une immense prison, vaste (vers 10) mais extérieure. - La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme. De physique, la prison devient psychique; filet dans

de la trompette (08). Au milieu du ciel, et voisine des régions où le calme est souvent troublé par la tempête, elle marche sans éprouver d'outrage. Mais quand le vaste corps de la terre, placé au centre du monde, intercepte les rayons du Soleil son frère, alors une ombre épaisse se répand sur le disque pâlissant de la lune, jusqu'à ce que celle-ci , se dégageant des ténèbres projetées par les inégalités terrestres, roule en liberté dans un autre champ du ciel et recouvre les rayons de Phébus. Peut-être

hanches et ses formes si voluptueuses . Nous laissions nos corps se découvrir jour après jour sans se soucier du monde qui nous entourait , j’aimais à penser que nous étions seuls au monde , seuls dans ce champ de fleurs , où le ciel nous donnait toute sa chaleur. Ce ciel crépuscule aux couleurs nacrées venant à la rencontre du champ de coquelicots . Quand la nuit tombait , les fleurs devenaient nuages …ou était-ce les nuages qui devenaient fleurs ? Peu importe ,c’est à ce moment précis que nos

buisson tremble, Dans la maison qui touche aux bois, Elle avait dix ans, et moi trente ; J'étais pour elle l'univers. Oh! comme l'herbe est odorante Sous les arbres profonds et verts ! Elle faisait mon sort prospère, Mon travail léger, mon ciel bleu. Lorsqu'elle me disait: Mon père, Tout mon coeur s'écriait : Mon Dieu ! À travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front s'éclairait dans l'ombre À la lumière de ses yeux. Elle avait l'air d'une princesse